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  • Recours à l’armée ? Aujourd’hui non ? Mais demain ?

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2019

     

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

     
     
    Recours à l’armée ?  Aujourd’hui non ? Mais demain ?
    La droite nationale à toujours fait de la cohérence de la pensée le socle de son action politique.
    C'est à la mesure de cette constance de la raison et de l'analyse que nous devons aborder la question de savoir si la décision prise par le gouvernement – en réalité par Emmanuel Macron - d'engager des unités de l'Armée pour protéger les bâtiments publics sensibles lors des manifestations des Gilets jaunes est juste, justifiée et acceptable ou si elle relève de la faute politique d'un pouvoir en voie de liquéfaction mais prêt à tout pour assurer sa survie.
    La menace est-elle réelle qui conduit à une telle décision ou sommes-nous en présence d’une tentative d’intimidation pour pousser les Gilets jaunes à cesser toute action, voire d’une volonté crypto totalitaire d'enrayer le mouvement par tous les moyens ? Les pouvoirs faibles sont souvent les plus dangereux pour les libertés publiques.
    Le Parti de la France défend ces libertés publiques. Celle de manifester en est une, majeure, qui ne souffre aucune limitation si ce n'est celle qu'impose une situation révolutionnaire ou insurrectionnelle.
    Est-ce le cas ? Sans doute pas ! Mais la multiplication des violences, des saccages, des pillages, commis de samedi en samedi par les bandes armées de l’extrême gauche la plus radicale, l’étendue de la sauvagerie destructrice rouge et noire, malheureusement parfois teintée de complicité jaune, imposent à un État digne de ce nom des réponses sévères en matière de maintien immédiat de l'ordre et de suites judiciaires.
    Entraînées à ces tâches, police et gendarmerie, à condition de disposer des moyens de leur mission et de recevoir les ordres adaptés, sont aptes aujourd’hui à faire face et à maîtriser le terrain.
    Le recours à l'armée apparaît, dans ces conditions, d'autant plus superfétatoire que la mission qui leur est confiée est ambiguë, voire équivoque, qu'il semble que le Chef d'État-major n'ait pas même été consulté et que nul ne peut dire – et le gouvernement moins que quiconque (l'assurance donnée par Florence Parly, ministre de la Défense selon laquelle l'Armée n'ouvrira pas le feu est, de fait, volontairement anxiogène) – ce que devraient faire nos soldats en cas d’attaque de tel ou tel site, eux qui ne disposent que de leurs fusils d'assaut dont le pouvoir n'est certainement pas prêt à assumer une éventuelle utilisation. Le cafouillage des déclarations entre les uns et les autres ajoute au sentiment de désarroi que suscite un exécutif incapable et désormais acculé.
    Tout s'est à peu près bien déroulé ce samedi et tant mieux. Principalement du fait de l’absence des bandes armées anarcho-gauchistes qui avaient fait l'impasse sur cette journée, eux qui, comme tout révolutionnaire selon Lénine, n'ont pas de montre et savent attendre le moment propice. Leur absence prudente autant que complaisante rend un service insigne au gouvernement qui peut ainsi se féliciter d'avoir maintenu un ordre qui n’était pas menacé. Castaner ne s'en est pas privé. Mais qu'en sera-t-il demain ?
    La droite nationale à toujours, par esprit patriote autant que par attachement aux vertus glorieuses de l’honneur militaire, été proche, par la raison et le sentiment autant que par le souvenir et par le cœur, de l'Armée française.
    Nous ne sommes donc pas de ceux qui excluent par principe le recours à la troupe même si nous avons toujours été méfiants à l’égard des fausses bonnes idées qui poussent certains à prôner l'engagement de la puissance militaire pour « nettoyer les banlieues». Ce n'est pas, pour l'heure, le rôle de nos soldats et, si la possibilité leur en était donnée de le faire avec toute l’efficacité nécessaire, nos forces de sécurité classiques seraient tout à fait en mesure d'y rétablir rapidement l'ordre public, la paix civile et la légalité nationale.
    Mais si demain survenaient des événements lourds relevant du terrorisme islamique, de l'émeute ethnique généralisée et massive ou d'une action insurrectionnelle concertée de l'ultra gauche – ce serait sans doute, à vrai dire, une conjugaison de ces trois éléments – alors, oui, l'Armée deviendrait la solution comme elle le fut, avec honneur, efficacité et savoir faire, en 1957 à Alger.
    Pour l'heure l'engagement de l'Armée dans les rues de nos villes est une faute. Demain, elle sera peut-être une nécessité.
    Mais sous la direction d'un pouvoir politique fort débarrassé de l'impuissance publique qui est la marque sigillaire du Système.
  • Les banques centrales ont capitulé. Que va-t-il se passer ?

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2019

    PAR  LE 

    Express.be 22/03/2019

    « Tous ceux qui me suivent depuis 20 ans savent que je ne suis pas un grand fan des banques centrales. Ce sont des bureaucrates pontifiants avec un sens académique de l’infaillibilité qui croient avoir la vision d’une puissance supérieure dans l’économie et les marchés. Mais mercredi, le monde des banquiers centraux a atteint un nouveau creux. La banque centrale américaine FED a alors jeté l’éponge sur le ring pour de bon.

    C’est ce que Steen Jakobsen, économiste en chef et directeur des investissements de la banque danoise Saxo, écrit dans un courrier électronique adressé à notre rédaction. 

    En décembre, le même Jakobsen avait écrit que le monde était « un mois, voire deux d’une panique économique mondiale ». « A quoi ressemblera cette panique ? Les politiciens feront tout ce qui est en leur pouvoir pour maintenir à flot une économie en perte de vitesse. Une économie qui souffre encore des conséquences des erreurs commises au cours des dix dernières années et tout cela six mois à peine après que l’on nous ait annoncé la fin de la criseQuel dommage ! « , écrivait alors le Danois.

    Et il semble qu’il ait maintenant raison. La banque centrale américaine a annoncé mercredi que le taux d’intérêt principal resterait inchangé. De plus, le système des banques centrales n’augmentera plus les taux d’intérêt pour le reste de l’année. La FED cessera également de réduire son bilan après septembre. Selon Powell, cela n’est plus nécessaire car «le bilan est de taille saine». Mais lorsque l’on examine le graphique ci-dessous [le rectangle rouge indique le moment où la baisse progressive a été stoppée en septembre] on peut avoir une opinion différente. Il semble fortement qu’une sortie n’est plus possible. Les dollars supplémentaires qui ont été mis en circulation après la crise ne disparaîtront donc jamais.

    La théorie monétaire moderne (MMT) n’en est pas une

    Selon Jakobsen, dans la prochaine étape, les banques centrales n’agiront plus que comme des auxiliaires des gouvernements, en prolongement de leur politique fiscale. Cela sous couvert de l’application de la soi-disant MMT, ou théorie monétaire moderne. Celle-ci sera introduite rapidement et avec des mesures puissantes, probablement après un été de stagnation économique. [Qui se traduira par une détérioration des données économiques, un cadre géopolitique opposé au multilatéralisme et sous l’impulsion d’agendas nationalistes hasardeux).

    « Pour mémoire, la théorie monétaire n’est ni moderne, ni monétaire, ni même une théorie » écrit le Danois. [Selon les tenants de la MMT, des taux d’intérêt auxquels les pays empruntent sont depuis longtemps inférieurs à la croissance de la production. En d’autres termes, la richesse que nous créons grâce à cette dette est supérieur au montant que nous devons rembourser].

    MMT : la légende politique doit justifier la capitulation de la FED

    «C’est une légende politique aussi bien à la disposition des banquiers centraux que des politiciens. […] Ce qui compte vraiment, c’est que le MMT est la réponse évidente aux déséquilibres créés par le QE (Quantitative Easing) et aux cris des populistes. Dans le contexte d’ascension du trumpisme et du socialisme démocratique aux États-Unis et des révoltes populistes de tous crins dans toute l’Europe, nous savons que lorsque les négociations budgétaires débuteront au sein de l’UE après les élections européennes du mois de mai et aux États-Unis en octobre les gouvernements commenceront à promouvoir le programme de MMT. Sous le prétexte d’investir dans les infrastructures, de réduire les inégalités et de réformer le code des impôts en faveur des emplois pour la classe moyenne inférieure. »

    « La Fed a eu besoin d’un peu plus de temps que la BCE pour capituler, mais mercredi, elles avaient cédé toutes les deux ». Selon Jakobsen, les bourses ont déjà pris en compte la conclusion d’un accord commercial parfait entre la Chine et les Etats-Unis. Alors même que cette conclusion demeure très incertaine. Le coût du Brexit qu’elles ont pris en compte est aussi très mal calculé, dit-il. En d’autres termes, les marchés boursiers sont révélateurs de tout ce qui ne va pas dans le monde financier.

    Le marché boursier avec ses «valorisations de type 1929»

    Le graphique ci-dessous montre comment les banques centrales ont inondé à plusieurs reprises les marchés avec de nouvelles liquidités. C’est ce qui s’est passé au cours des 10 dernières années, lorsque que les marchés boursiers ont commencé à baisser.

    Selon l’analyste Jesse Colombo (Real Investment Advice), cela a conduit à des « valorisation boursières de type 1929, qui rendent inévitables une correction douloureuse ».

    Un krach ultime est inévitable

    «En intervenant constamment sur les marchés, la FED est à la base d’un aléa moral d’une ampleur sans précédent. Une génération entière de traders et de spéculateurs en bourse est devenue convaincue que les marchés ne peuvent jamais chuter. Parce que la Fed interviendra encore et encore pour les sauver. Cela signifie qu’ils pensent pouvoir continuer à prendre des risques sans entrave. La Fed ne fait qu’encourager la prise de tels risques. Mais au final, sa capacité d’intervention pour sauver les marchés sera anéantie. C’est alors que l’ultime krach se produira. »

    Aux USA, les inquiétudes liées à l’économie mondiale sont de retour. Ce vendredi 22 mars, le Dow Jones a lâché 1,77 % tandis que le NASDAQ dévissait de 2,50 % et le S&P 500 de 1,90 %, soit la pire séance depuis le 3 janvier. Autre fait marquant, le taux d’intérêt de la dette américaine à dix ans est même passé un petit moment en dessous de celui de la dette à 3 mois de 2,455 %, phénomène anormal communément appelé « inversion de la courbe des taux » qui a toujours précédé de quelques trimestres la quasi-totalité des récessions américaines des dernières décennies.

    Et comme la BCE, la Fed révise à la baisse ses prévisions de croissance, de dépenses des ménages et d’investissement des entreprises en indiquant qu’elle n’augmentera plus ses taux d’intérêt en 2019, qu’elle inversera même en septembre 2019 sa politique de « QE » à l’envers, autrement dit qu’elle cessera de réduire son portefeuille accumulé, depuis 2008, de bons du Trésor. Le déficit commercial américain se creuse malgré les droits de douane de Trump, tandis que la dette privée continue d’augmenter et que la dette publique américaine a explosé de 217 % entre 2007 et 2016. La hausse des actions, depuis le début de l’année, semble donc un simple rebond au sein d’un marché baissier, alors que les cours du pétrole retombent.

     

    Source : leblogalupus

  • Grand Paris : les migrants mineurs isolés délinquants chassés de Paris frappent désormais en banlieue et s’attaquent aux maisons ou aux voyageurs

    Publié par Guy Jovelin le 25 mars 2019

    Des bandes de jeunes voleurs étrangers étendent leur terrain de chasse, depuis Paris, à l’ensemble de l’Ile-de-France. Très certainement téléguidés par des donneurs d’ordre restés dans leur pays.

    (…)On les appelait les enfants des rues du XVIIIe arrondissement, mais bon nombre de ces jeunes à la dérive squattent désormais un immeuble de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Depuis le début de l’année, ces mineurs marocains ou algériens, pour la plupart toxicomanes et violents, spécialisés dans les cambriolages et les agressions dans les transports, ont changé de stratégie. Jusqu’ici, ces jeunes gens, apparus fin 2016 dans le quartier de la goutte d’or, se regroupaient et « oeuvraient » dans la capitale.

    « Ils prennent le RER ou le train et s’attaquent aux maisons ou aux voyageurs »
    « Depuis l’automne dernier, une augmentation significative des délits perpétrés en banlieue par ces jeunes est clairement perceptible », précise un policier parisien. Durant les neuf premiers mois de l’année 2018, en ce qui concerne les seuls cambriolages commis par ces mineurs isolés, 57 % des faits étaient répertoriés dans Paris intramuros, le reste en banlieue. En octobre et novembre, le phénomène s’est inversé. 88 % de passages à l’acte ont eu lieu en petite couronne.

    La grande couronne parisienne n’est pas non plus épargnée. « Ils prennent le RER ou le train par groupes de trois et s’attaquent aux maisons ou aux voyageurs pour leur voler leurs téléphones portables ou des sacs à main, précise un gendarme. Au palais de justice de Versailles dans les Yvelines, le tribunal pour enfant et la section mineurs du parquet gèrent au moins trois cas par semaine avec une première difficulté : connaître leur âge réel car lorsqu’ils sont arrêtés ces voleurs, souvent connus sous plusieurs allias, disent tous être âgés de 16 ans.

  • Le Havre : le maire (LR) poussé à la démission après avoir envoyé des photos de son sexe à quatre femmes

    Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2019

    le havre,maire,photo,sexe

    On le surnomme le porc du Havre. Luc Lemonnier a déclaré à la police qu’il avait “un mode de vie libertin” :

     

    Quotidien
     
    @Qofficiel
      

    Le maire du Havre, Luc Lemonnier, a jeté l’éponge hier soir. Pourquoi ? À cause d’une photo de son sexe, qu'il a envoyé à plusieurs femmes qui... n'en voulaient pas
    Edouard Philippe, proche de Luc Lemonnier, était-il au courant des photos ?
    Réponse avec @PaulLarrouturou 

     
    Source : ndf
  • Le candidat nationaliste a dépassé les 10% à l’élection présidentielle slovaque

    Publié par Guy Jovelin le 24 mars 2019

    Slovaquie – L’information est passée inaperçue en France mais à la mi-mars, aux élections présidentielles de Slovaquie, Marian Kotleba président du parti nationaliste L’SNS (Notre Slovaquie) a réalisé l’exploit de franchir le cap des 10%, se classant quatrième avec 10,6% des voix.

    Son parti mène en ce moment une campagne contre l’américanisation de la Slovaquie.

     

    Source : medias-presse.info