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  • Nicolas Dupont-Aignan pense déjà à la présidentielle de 2022

    Publié par Guy Jovelin le 09 avril 2019

    Nicolas Dupont-Aignan pense déjà à la présidentielle de 2022

    en totale contradiction avec la promesse prise lors du débat du 4 avril de ne pas quitter son mandat de député européen jusqu’en 2024 s’il était élu :

    Le président de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan a lancé lundi sa campagne pour les élections européennes sur le thème du “courage de défendre les Français”, son slogan, mais n’a pas exclu de quitter son mandat d’eurodéputé avant la fin.

    Je me suis engagé à rester au maximum” du mandat d’eurodéputé, qui est de 5 ans. “Après, ce qui se passera an 2022, libre à moi de juger selon les circonstances“, a déclaré lors d’une conférence de presse l’ancien allié de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle de 2017, dans une allusion à la prochaine élection présidentielle en France.

    On peut revoir ci-dessous le passage du débat où Nicolas Dupont-Aignan prend l’engagement de rester député européen jusqu’en 2024 :

    L'Emission politique

    Si vous êtes élu(e) vous engagez-vous à rester député(e) européen(ne) jusqu’à la fin de votre mandat, en 2024 ? Les résultats du vote des têtes de liste aux dans

    Voir l'image sur Twitter
    L'Emission politique
     

    Si vous êtes élu(e) vous engagez-vous à rester député(e) européen(ne) jusqu’à la fin de votre mandat, en 2024 ? 11 têtes de liste répondent "oui", sauf @UPR_Asselineau, qui annonce vouloir être "candidat à la prochaine présidentielle" pic.twitter.com/eXQmqDpPUL

     

    Soit Jean-Frédéric Poisson a raison de dire que Nicolas Dupont-Aignan est incapable de tenir ses promesses, soit ce dernier est persuadé qu’il ne sera pas élu le 26 mai prochain…

     

    Source :lesalonbeige

  • Des députés de la France Insoumise font la guerre aux traditions catholiques au sein de l’armée française

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2019

    Le député d’extrême gauche Bastien Lachaud (France Insoumise) est à la pointe d’une nouvelle bataille contre le catholicisme en France. Plus précisément, ce député laïciste mène une bataille visant à supprimer toute trace de catholicisme au sein des traditions militaires. Cette nouvelle charge anticatholique fait suite aux travaux de la Commission Défense de l’Assemblée nationale.

    L’examen du « rapport d’information sur l’évaluation des dispositions de lutte contre les discriminations au sein des forces armées » fut en effet pour deux députés l’occasion de dénoncer le caractère religieux catholique de certaines fêtes ancrées dans la tradition militaire. Et quoi d’étonnant puisque la foi catholique était la foi de nos ancêtres jusqu’à ce que la Révolution française vienne tout subvertir.

    « Nous croyons utile de veiller à un strict respect de la neutralité. La laïcité et la neutralité prémunissent de tout mélange des genres préjudiciable à la cohésion du groupe » a donc déclaré Bastien Lachaud (France Insoumise), l’un des deux rapporteurs de cette commission.

    Et d’illustrer son propos :

    « Les moyens généraux sont en effet trop souvent utilisés pour envoyer des invitations à des cérémonies catholiques. Il n’est pas rare que le courriel d’invitation à la messe en l’honneur du saint patron soit envoyé depuis la boite mail de l’unité ou depuis celle du commandant »

    Rappelons que Jean-Luc Mélenchon, patron du parti d’extrême gauche La France Insoumise, est un franc-maçon notoire.

     

    Source : medias-presse.info

  • Alliance atlantique :    soixante-dix ans, ça suffit.

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2019

    alliance atlantique,otan

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans

     
    Le 4 avril 1949, était signé le Traité de l'Atlantique Nord, ouvrant la porte à la création de son organisation militaire intégrée, l’OTAN.
    Soixante-dix ans plus tard, la menace soviétique disparue, les divergences entre les États-Unis et l'Europe, tant au niveau stratégique qu’économique et commercial allant en s’élargissant, les intérêts des uns, en matière diplomatique ou militaire, ne rencontrant pas spontanément ceux de l’autre, rien ne subsiste plus de la nécessité d'un Pacte euro-atlantique.
    Face à la menace d’une extension du communisme soviétique vers l'Europe d’ouest, l'Alliance atlantique fut un outil de résistance et d'endiguement (Containment Strategy). Elle fut la marque d'une volonté de solidarité du monde libre, et c'est pourquoi, dans son immense majorité, la Droite nationale, jusqu'à la fin des années 1980, eut pour position constante d'y être favorable (Jean-Marie Le Pen, par anticommunisme et par réaction à la position gaulliste, fit, très logiquement, de la réintégration de la France au sein du commandement intégré de l’OTAN, un point fort de sa première campagne présidentielle en 1974). Une position largement partagée dans notre camp même si, dès le début de la mise en exercice du Traité, de sérieux doutes se firent jour sur l'automaticité d'une riposte militaire venue de la lointaine Amérique en cas d'attaque soviétique sur le vieux continent, et malgré la pleine conscience qu'avaient les diverses organisations nationales du caractère humiliant d'une situation de protégés, autrement dit de vassaux, dont les États-Unis jouaient pour maintenir Europe de l'ouest en état de dépendance, comme finit par le reconnaître John Foster Dulles, Secrétaire d'État de 1954 à 1959.
    Le départ, en 1966, de l’organisation intégrée, voulue par De Gaulle, si elle eut pour effet de réjouir le Kremlin et de provoquer la colère de Washington, ne changea pas profondément la donne si ce n'est en rendant une indépendance de façade et d'apparence à la France.
    Au lendemain de la chute du bloc de l'est, deux options se présentaient : soit la dissolution pure et simple de l'Alliance que l’écroulement de l’URSS et la fin du Pacte de Varsovie rendait caduque, ou sa transformation en une nouvelle organisation, excluant la Turquie mais englobant la Russie et ses anciens satellites, créant les conditions d'une défense des intérêts convergents de l’Europe et de l’Amérique face à la menace islamique qui se développait et à l’émergence de nouvelles puissances planétaires comme la Chine.
    Comme toujours les dirigeants américains qui avaient lu Bismarck et avaient retenu de lui que, « dans une équation à deux facteurs, il faut toujours choisir le troisième », décidèrent de suivre la voie de leur penchant naturel, celle d'un Nouvel Ordre Mondial, autre mot en langage diplomatique américain, de l’Imperium US.
    Les deux guerres d'Irak, la pression constante sur les voisins de la Russie pour qu'ils rejoignent l'OTAN, la déstabilisation du proche orient, la montée du Djihad, la déferlante migratoire, les bombardements, soixante-dix-huit jours durant, de la Serbie en 1999, avec pour effet l’installation d'une république Islamique au cœur de l'Europe, le début d'une nouvelle guerre froide, furent les conséquences de ce choix aussi politiquement aberrant que stratégiquement funeste.
    Le Parti de la France – qui sait qu'une nation n'a pas d'amis mais des alliés – constate que ce qui aurait pu être une chance historique pour l’Occident au début des années 1990, n’a pas été saisi.
    Malgré les tentatives menées par la France de rééquilibrage des commandements et de renforcement du pilier européen après son retour au sein du dispositif militaire intégré envisagé par Chirac et finalisé par Sarkozy, et quelles que soient les récriminations maintes fois rééditées par Trump contre l'organisation qu'il assimile à un gouffre financier, l'OTAN reste ce que son ADN lui commande d’être : un outil militaire et politique au service exclusif des États-Unis qui, en dépit de ses tentations isolationnistes passagères, veut en conserver le levier. La réunion des ministres des affaires étrangères des vingt-neuf pays membres de l'Alliance atlantique qui vient de se tenir à Washington à l’occasion des soixante-dix ans du Traité l'a amplement démontré, tout comme a été démontrée où se situe la priorité des missions fixées à l’organisation, celle-ci ayant été définie par le Secrétaire d'État américain, ancien directeur de la CIA, Mike Pompeo : le renforcement de sa présence en mer noire et de son soutien à l'Ukraine.
    Le PDF se prononce, en conséquence, en faveur du départ de la France de cette organisation qui ne peut ni ne veut dans un cadre civilisationnel, et de la constitution d’une Alliance Européenne de Défense reposant sur la coopération stratégique et opérationnelle de nos armées nationales comme de nos industries d’armement, en partenariat avec la Russie et, si cela s’avérait nécessaire, de la renégociation, sur ces bases et sur elles seules, de nouvelles relations euro-atlantiques à redéfinir.
    L'Europe des Nations et des États, l'Europe de la souveraineté continentale, de la sécurité et de la reconquête civilisationnelle, « ce rêve des sages, ambition des puissants » ne se fera que par la volonté de ses peuples. Seules comptent durablement les communautés de destin.
  • Fiscalisme : plus Darmanin parle de baisses,     plus les taxes augmentent.

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2019

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    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans

     

    Dans le Journal Du Dimanche, le ministre des comptes publics, Gérard Darmanin affirme et claironne que, depuis l’arrivée à l’Élysée d'Emmanuel Macron, la pression fiscale exercée sur les Français et sur nos entreprises n'a cessé de baisser.

    Les retraités qui subissent une augmentation de 1,7 % de la CSG, sans aucune contrepartie mais avec gel de l’indexation sur le rythme de l’inflation, les automobilistes sur lesquels pèse toujours l’épée de Damoclès de l’augmentation de la taxe sur les carburants qui n'a été, par l’action des Gilets jaunes, supprimée que pour l’année 2019, et l’ensemble de nos compatriotes à qui le gouvernement avait promis la suppression de la taxe pour 2021 et qui constatent que cette mesure est bel et bien repoussée jusqu’à 2022 au plus tôt, apprécieront
    Sans même évoquer le poids de la fiscalité sur le tabac (80 % du prix du paquet de cigarettes) qui a rapporté à l’État 15 millions d'Euros en 2018, ce n'est pas moins de 10 taxes, impôts ou contributions nouvelles qui, depuis mai 2017, ont été créés ou fortement relevés par la République macronnienne.
     
    • La taxe inondation
    En vigueur depuis le 1er janvier 2018, la taxe Gemapi (gestion des milieux aquatiques et de prévention des inondations) qui sert à l'entretien des ouvrages de protection contre les crues (comme les digues ou les bassins de rétention). Ces missions - et donc leur collecte - ont d’ailleurs été transférées aux intercommunalités ce qui nullement Bercy de prélever sa dîme.
     
    • La taxe soda
    En vigueur depuis le 1er juillet 2018, elle vise les boissons non-alcoolisées comme les sodas et les jus de fruits à partir de 5 g de sucre par 100 ml. À partir de 8 g, le montant de la taxe double et à partir de 10 g, il triple.
     
    • La taxe additionnelle à la taxe sur les cartes grises
    En vigueur depuis le 1er janvier 2018, cette taxe peut coûter jusqu'à 8 000 €. Elle sert à limiter les émissions de gaz à effet de serre causées par les véhicules à moteur. Le montant dépend du nombre de chevaux fiscaux du véhicule.
     
    • L’IFI, l'impôt sur la fortune immobilière
    Depuis le 1er janvier 2018, l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) a été transformé en un impôt sur la fortune immobilière (IFI). Tout particulier est soumis à l'IFI si la valeur nette de son patrimoine immobilier excède 1,3 million €. Celui-ci comprend tous les biens et droits immobiliers détenus directement et indirectement au 1er janvier. Impôt injuste, punitif et incantatoire au droit de chacun à se constituer un patrimoine et de le transmettre à ses enfants
     
    • La taxe sur la vente de logement par les offices HLM
    La taxe sur les plus-values réalisées par les bailleurs sociaux (offices HLM et SEM) s'ils revendent un logement social à un particulier. Elle sera versée à la Caisse de garantie du logement locatif social qui la reversera au Fonds National des aides à la pierre.
     
    • La taxe sur l'exploration des hydrocarbures
    Mise en place au 1er janvier 2018, elle concerne les titulaires du permis de recherches d'hydrocarbures liquides ou gazeux.
     
    • La taxe sur l'exploration des gîtes géothermiques à haute température
    Elle sert à financer le développement des énergies renouvelables et concerne les titulaires des permis de recherches de gîtes géothermiques à température élevée.
     
    • La taxe "papier"
    La taxe pour le développement des industries de fabrication du papier, du carton et de la pâte de cellulose concerne les fabricants de certains produits. Cette taxe est reversée aux collectivités locales en charge de l'élimination et du recyclage des déchets. Les entreprises de presse peuvent remplacer la contribution financière par des prestations en nature (comme insérer des encarts publicitaires).
     
    • Les taxes additionnelles pour les sociétés
    Elle concerne les entreprises qui payent l'impôt sur les sociétés (IS) et ont été mises en place par deux lois de finances rectificatives votées dès le début du quinquennat. Elles peuvent aller jusqu’à peser sur 30 % du bénéfice des entreprises.
     
    • La taxe « Abri de jardin » 
    qui concerne un très grand nombre de nos compatriotes propriétaires. Elle vient de subir une forte hausse de 3,8 % au 1er janvier 2019, après une augmentation de 3 % en 2018.
  • Paris : nuit de violences entre migrants porte de la chapelle, dans le 18e arrondissement.

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2019

    Par  le 07/04/2019

    A leur arrivée porte de la Chapelle ce samedi 6 avril, vers 22h15, les policiers interpellent huit individus, armés de bâtons : des afghans et tunisiens, de 20 à 38 ans. Un afghan de 19 ans est blessé à la joue et transporté à l’hôpital Bichât. Parallèlement, des pierres sont jetées sur les agents. L’un est blessé légèrement avant que le calme revienne.

    Mais cela ne dure pas. Plusieurs personnes rappellent les autorités et signalent des rassemblements armés. Les secours et forces de l’ordre retournent sur place aux alentours d’1h15 du matin ce dimanche et trouvent deux blessés, dont un afghan de 22 ans, le crâne en partie enfoncé par une pierre. Transporté d’urgence à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière, son pronostic vital était engagé ce dimanche matin et son agresseur en fuite.