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  • A Paris, des habitants vivent “un véritable enfer” : un bel exercice de novlangue

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2019

    Auteur : Michel Janva

    A Paris, des habitants vivent “un véritable enfer” : un bel exercice de novlangue

    Dans un article publié sur le Hufftington Post, on découvre le terrible quotidien des habitants du 18ème arrondissement et du nord du 10ème à Paris : insécurité, saleté, trafics, disparition de la mixité femmes-hommes, toxicomanie, rixes, prostitution… L’article est écrit par Ruth Grosrichard, Professeur de langue et civilisation arabes (Sciences Po). Dans cet article, les termes “islam”, “musulman” ou encore “immigration” sont absents. C’est pratique pour identifier les causes des problèmes…

    Si chaque quartier concerné a des spécificités, tous ont en commun de souffrir de maux devenus endémiques et dont la liste est longue comme une nuit sans fin: insécurité, saleté, incivilités, trafics en tous genres, toxicomanie, rixes, prostitution, ghettoïsation, disparition progressive de la mixité femmes-hommes… […]

    A Château Rouge, où pourtant une association de quartier a réussi le tour de force de faire condamner la Ville de Paris et l’Etat pour “carence fautive”, une habitante dresse un tableau bien sombre: saleté, captation de l’espace public, infraction aux lois, commerçants indélicats et prostitution; à Barbès ce sont les vendeurs de cigarettes de contrefaçon “Marboro bled” et les vols à l’arraché au pied de la station du métro; à la Goutte d’or: une jeune commerçante dénonce le trafic de drogues et autres pratiques illégales qui découragent tous ceux qui veulent faire vivre ce quartier pacifiquement; à La Chapelle où des groupes communautaires rivaux se disputent l’occupation des trottoirs parfois à coups de couteau et barres de fer, la vie est devenue “un véritable enfer” pour les riverains. S’y frayer un passage au milieu d’attroupements composés uniquement d’hommes représente pour une femme une épreuve quotidienne: l’engagement des politiques, venus dans le quartier, en 2017, afficher leur soutien aux femmes et dire leur indignation lorsque ce sujet faisait la Une des journaux, n’aura été qu’un feu de paille. Quant à la station de métro du même nom, essayer d’y entrer ou d’en sortir sans être agressé relève de l’exploit. Et ce n’est pas par hasard que celles et ceux qui sont obligés d’emprunter le souterrain qui mène à la Gare du Nord l’ont baptisé “passage de l’angoisse” ou “couloir de la mort”. Sans parler de la fameuse “colline du crack” et des campements où s’entassent des migrants dans des conditions indignes, un peu plus loin au Nord. Du côté des rues Pajol et Philippe de Girard, les habitants n’en peuvent plus des déchets laissés sur place après les distributions alimentaires assurées par certaines associations dont les motivations idéologiques font question. Près de l’hôpital Lariboisière, la SCMR communément dite “salle de shoot” -qui, les riverains en conviennent, entend répondre à un problème sérieux de santé publique-  les nuisances à l’extérieur, de jour comme de nuit, se sont multipliées: deal et consommation de rue, bagarres entre dealers, incivilités, commerces obligés de mettre la clé sous la porte, etc. Autant de problèmes qui s’étendent par capillarité jusqu’à la Gare de l’Est et le voisinage de la rue Lafayette. Que dire enfin des abords immédiats de la Gare du Nord? Sinon qu’ils sont un vaste cloaque à la porte de la première gare d’Europe.

    A cela, ajoutons la disparition des commerces traditionnels de proximité au profit de la mono-activité (téléphones portables, vêtements de mariage, produits “exotiques”…), la multiplication d’officines multifonctions mêlant téléphones mobiles recyclés, produits alimentaires, alcools, bar à chicha et trafics en tous genres. […]

    De ce rapide panorama, il ressort qu’une “ghettoïsation” s’est installée, avec le risque fort que s’amenuise la mixité sociale caractéristique de ce Nord-Est de Paris, à laquelle les habitants sont attachés. Face à l’inertie des pouvoirs public qui, jusqu’ici, ont fermé les yeux sur la gravité de la situation, les moins optimistes en viennent à penser qu’ils vivent dans des “territoires perdus de la République”. […]

    C’est la “théorie” du grand remplacement…

     

    Source : lesalonbeige

  • Bureau politique du PdF (13/04/19)

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2019

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  • Un musée de Francfort glorifie la mode islamique conforme à la charia

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2019

     

    Un musée de Francfort glorifie la mode islamique conforme à la charia

    Le 4 avril s’est ouvert au Musée d’arts appliqués de Francfort une exposition intitulée « Mode islamique contemporaine », montrant combien un habillement féminin conforme à la charia peut être élégant. Cette manifestation de propagande ne fait pas l’unanimité et l’on se demande qui des femmes musulmanes ou des féministes iront la voir.

     

    http://www.pi-news.net/2019/04/mit-kopftuch-im-hirn-islamische-mode-in-frankfurt/

     

     

     

    Traduction (Claude Hanggli) : Seuls ceux qui ont déjà un voile devant les yeux peuvent ignorer ce que le voile islamique ou d’autres formes encore plus sévères de camouflage des femmes et des jeunes filles signalent aux hommes non-musulmans : ce sont « nos » femmes et filles, veillez à vous tenir à l’écart d’elles ! Par cela, on rend en fait impossibles, voir dangereuses, des formes d’intégration et d’assimilation particulièrement efficaces, comme les relations amoureuses ou conjugales. Cela n’est naturellement pas valable pour les hommes musulmans, non habillés à la « mode islamique », qui s’intéressent beaucoup, comme on le sait, aux femmes et aux jeunes filles non-musulmanes.

     

    Claude Haenggli, 5.4.2019

     

    Source : lesobservateurs

  • Manche : Gilles Le Guen, le djihadiste breton d’Aqmi, remis en liberté

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2019

    Gilles Le Guen est libre. Selon LCI, l’ancien djihadiste, figure française d’Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi), a quitté la maison d’arrêt de Condé-sur-Sarthe le 25 février dernier.

    Cette remise en liberté, six ans après avoir été arrêté au Mali par des militaires tchadiens et français de l’opération Serval, s’expliquerait par des remises de peine.

    Le Guen, 64 ans aujourd’hui, avait été condamné en mai 2015 à huit ans de prison ferme pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. Il avait déjà effectué une partie de cette peine en détention préventive.

  • Allemagne : des parents font sécher l’école à leur fils pour éviter la visite de la mosquée, ils sont condamnés à une amende

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2019

    Par  le 11/04/2019

    Rendsbourg (Allemagne) – Des parents n’ont pas envoyé leur fils à l’école afin de l’empêcher d’aller visiter la mosquée. Maintenant, le couple doit payer : Le tribunal régional supérieur de Schleswig a fixé une amende d’un montant de 50 euros.

    Les parents ont fait appel, il a été rejeté.

    En juillet 2018, le tribunal avait jugé que les parents de l’élève devaient payer une amende pour avoir fait sécher l’école à leur fils en juin 2016 pour éviter la visite scolaire de la mosquée de Rendsbourg.

    (…) Mopo.de

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