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  • Lübcke (CDU) invite les Allemands en désaccord avec la politique d’asile à quitter l’Allemagne (MàJ : retrouvé mort une balle dans la tête)

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2019

    Par  le 05/06/2019

    05/06/19

    Walter Lübcke avait été menacé de mort à plusieurs reprises par des groupes d’extrême droite pour avoir soutenu la politique d’accueil des migrants d’Angela Merkel.

    (…) Le Monde


    16/10/15

    Allemagne. Hesse. Le président du district [fonctionnaire politisé nommé par le Land de Hesse pour diriger le district et y appliquer la politique du gouvernement de Hesse] de Kassel, Walter Lübcke (CDU), a déclaré lors d’une réunion de citoyens rassemblant 800 participants à Lohfelden à propos d’un centre d’asile, face à un citoyen critique à l’égard de la politique d’asile du gouvernement allemand : « Celui qui ne partage pas nos valeurs peut quitter à tout moment ce pays. C’est la liberté de chaque allemand ! »

    Lionel Baland

     
    Source : via fdesouche
  • Petit-Couronne (76) Enquête après l’agression d’un journaliste de France 3 près d’une mosquée

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2019

    Par  le 05/06/2019

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    L’un de nos confrères s’est fait agresser lundi dernier en début d’après midi, alors qu’il tournait des images devant la mosquée de Petit-Couronne, près de Rouen.

    Un homme a été mis en examen ce mercredi 5 juin pour vol avec violences en réunion, et placé sous contrôle judiciaire.

    L’agression d’un journaliste de France 3 Normandie s’est produite lundi après-midi devant la mosquée de Petit-Couronne, alors qu’il tournait des images pour illustrer le procés à Boulogne-sur-mer d’un imam et d’un fidèle de cette mosquée.

    Une vingtaine de fidèles a voulu empêché notre collègue d’effectuer son travail alors qu’il était sur la voie publique. S’en est suivie une altercation violente pendant laquelle sa caméra a été déteriorée. Il a ensuite été gardé contre son gré dans l’enceinte de la mosquée avant que la police n’intervienne.
    Notre confrère est légèrement blessé et choqué (il s’est vu prescrire 5 jours d’ Incapacité Totale de Travail), et nous lui apportons tout notre soutien.

    L’un des agresseurs présumés avait été arrêté le jour même et placé en garde à vue.
    Il s’agirait du président de l’association qui gère la mosquée de Petit-Couronne.
    Il a été mis en examen ce mercredi pour vol avec violences en réunion et placé sous contrôle judiciaire.

    Cette agression survient dans un contexte de défiance vis à vis des journalistes, devenus pour certains des cibles idéales et des boucs émissaires.
    La direction de France 3 Normandie et l’ensemble des salariés condamnent fermement cette violence gratuite et inacceptable

    France 3 via fdesouche

  • La France populaire invisible à la télévision

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2019

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    La France populaire, à la télévision, est invisible. C’est ce que l’on comprend en lisant le dernier rapport – le troisième en date – de L’Observatoire des inégalités, publié le 4 juin, dans lequel est dressé un état des lieux presque exhaustif des inégalités en France, que ce soit entre les hommes et les femmes, les jeunes et les vieux, ou encore les riches et les pauvres.

    Concernant l’aspect « médias » et notamment télévisé du rapport, il pointe du doigt l’absence des milieux populaires sur notre petit écran. Ainsi, à la télévision, les cadres supérieurs sont quinze fois plus visibles que les ouvriers dans les oeuvres de fiction et les programmes d’information, alors que « les employés et les ouvriers représentent la moitié de la population active« , note le rapport. À titre de comparaison, les cadres supérieurs, eux, constituent seulement 9 % de la population totale. […]

    Des chiffres édifiants. « Les catégories socioprofessionnelles supérieures (CSP +) sont surreprésentées (74 %) au détriment des catégories socioprofessionnelles inférieures (CSP -), représentées à hauteur de 12 %, et des inactifs (14 %)« , déplorent les auteurs de l’étude. Il y a bien donc une « représentation totalement distordue » de notre société, favorisant, selon ce rapport, les tensions sociales. […]

    news.yahoo via fdesouche

  • Manque de moyens, vols annulés… le système défaillant des reconduites forcées à la frontière

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2019

    Par  le 05/06/2019

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    Un rapport parlementaire que nous dévoilons met en lumière les faiblesses du dispositif des expulsions de sans-papiers.

    (…) Jean-Noël Barrot et Alexandre Holroyd commencent par se prononcer favorablement sur le dispositif de retour aidé (…) Tous bénéficient d’un «pécule» pour leur retour, de 300 à 650 euros par personne. En complément, un quart d’entre eux bénéficient également d’une « aide à la réinsertion », de 2000 à 7500 €, sous la forme de projets de développement dans leur pays d’origine.

    La procédure est avant tout utilisée par les déboutés du droit d’asile, qui représentent 40 % des bénéficiaires. Ces dernières années, la majorité d’entre eux étaient Afghans, Pakistanais ou Irakiens. À l’inverse, les auteurs du rapport déplorent « un nombre limité de retours aidés organisés à destination des pays africains ou du Maghreb ».

    (…) Ainsi, seuls 15,5 % d’entre eux, l’année dernière, étaient sous le coup de l’une des 103 852 obligations de quitter le territoire français (OQTF) prononcées par les autorités. En pareil cas, la personne est cette fois « invitée » à quitter la France par ses propres moyens, ce qu’elle ne fait que très rarement.

    C’est après avoir été interpellé par les forces de l’ordre que l’étranger sans-papiers, notamment s’il n’a pas respecté cette OQTF, peut faire l’objet d’un éloignement forcé. En fonction de ses garanties de représentation, il pourra être par exemple assigné à résidence ou à défaut placé en centre de rétention administrative (CRA).

    (…) « Au-delà du bon vouloir des consulats, nous sommes aussi confrontés à des migrants qui mentent sur leur nationalité pour ne pas être expulsés », décrypte un policier spécialisé.

    (…) Ainsi, près d’un millier d’expulsions n’ont pas eu lieu suite à « un défaut d’escorte. » Un point qui étonne les agents concernés, lesquels disent se retrouver très souvent au « chômage technique. » « C’est assez paradoxal, note un fonctionnaire de l’Unesi. Car on nous impose encore régulièrement des jours de repos faute d’escorte à effectuer. Il doit y avoir un défaut dans la gestion des plannings et des effectifs… »

    Au quotidien, les policiers de l’Unesi sont aussi confrontés à ceux qui refusent d’embarquer, soit plus de 3000 expulsés l’année dernière. Parfois, le décollage ne se fait pas car il n’y a pas de vol aux dates requises. (…) Sans compter les aléas du transport aérien. 826 vols ont ainsi été annulés l’année dernière par les compagnies aériennes, sur lesquels les policiers devaient embarquer.

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Grand Remplacement en Europe. La folie suédoise

    Publié par Guy Jovelin le 06 juin 2019

    Grand Remplacement en Europe. La folie suédoise

    Grand Remplacement en Europe. La folie suédoise

    Par Paul Tormenen, juriste ♦ Avec le présent article sur la Suède, Polémia ouvre un « tour d’Europe » sur l’immigration extra- européenne dans quelques pays européens. L’objectif est de dresser un panorama de la situation dans plusieurs pays, dont certains ont connu durant les dernières années une transformation rapide de leur population, sur le plan ethnique, religieux, social et culturel.


    Le concept de Grand Remplacement

    Peut-on qualifier le processus migratoire qui est à l’œuvre dans différents pays européens de « grand remplacement » de la population ? Ce terme est désormais utilisé par les partisans de l’immigration pour désigner une théorie complotiste, voire dangereuse et caricaturer les arguments des opposants à l’immigration de masse. Le fait que l’auteur de l’attentat commis le 15 mars à Christchurch en Nouvelle Zélande ait fait référence au « grand remplacement » a été du pain béni pour nombre d’éditorialistes, qui ont utilisé l’occasion pour jeter le bébé avec l’eau du bain. Pour ce sujet-là comme pour d’autres, la caravane passe, les chiens aboient. Les éditorialistes et politiciens de grand chemin ne voudront jamais admettre l’impasse dans laquelle ils nous ont menés.

    Renaud Camus a eu le mérite de traduire avec cette expression une réalité sensible, empirique, qui s’offre à chacun de nous : l’immigration extra-européenne est devenue massive, particulièrement dans les « zones urbaines ».

    Néanmoins, à l’instar d’Alain de Benoist, force est de constater qu’en Europe, le pouvoir politique n’organise pas l’éviction de natifs pour mettre à leur place des étrangers, souvent extra-européens. Des européens de souche (des « natifs au carré », pour reprendre l’expression de la démographe Michèle Tribalat désignant les européens dont les deux parents sont nés dans le pays de résidence) ne sont pas « remplacés » par un processus volontaire.

    Ils sont moins nombreux en raison d’une faible natalité et de la mortalité. Les immigrés et les descendants d’immigrés, issus de façon croissante d’Afrique, sont quant à eux de plus en plus nombreux, à cause de la politique menée par nos gouvernants. Le grand remplacement doit donc s’entendre comme une politique migratoire volontariste, qui aboutit à un changement profond dans la composition de la population et qui a de multiples impacts. Ce phénomène est observable dans plusieurs pays européens, comme nous allons tenter de le démontrer.

    La Suède

    La Suède est un exemple assez édifiant de la transformation de la population d’un pays européen. Alors que le pays a connu une immigration européenne modérée jusque dans les années 60 (1), la proportion d’étrangers, essentiellement extra-européens, a augmenté significativement depuis les années 1970. La dite « crise des migrants » en 2015 a entraîné un pic dans l’afflux de non européens en Suède. Elle en subit encore aujourd’hui certaines conséquences.

    Une politique migratoire débridée jusqu’en 2015

    D’après les chiffres de l’institut suédois de la statistique, la population suédoise était dans les années 1950 composée de 7 millions d’habitants, dont 197 000 nés à l’étranger. Alors que la population atteignait 10 millions en 2017, le nombre d’habitants nés à l’étranger en Suède a été multiplié par dix, pour atteindre 1,8 million. La population étrangère depuis deux générations est passée de 20 % de la population totale en 2002 à 30 % en 2017. Alors que la population autochtone baissait dans la période de 94 000 habitants, la population étrangère a augmenté de 1,1 million d’habitants(2).

    La politique d’asile de la Suède a été un facteur majeur d’immigration. L’abaissement des frontières et des critères d’admission généreux ont contribué à l’explosion du nombre de demandeurs d’asile.Cette augmentation a été particulièrement sensible dans les années 2010. La Suède a été ainsi en 2015 un des pays qui a, par habitant, accueilli le plus de demandeurs d’asile en Europe. Des demandeurs d’asile qui viennent essentiellement d’Afghanistan, d’Iran, d’Iraq, de Syrie et de Somalie. Cette politique que d’aucuns qualifieraient de « généreuse » et d’autres de démagogique a été abandonnée à partir de 2016. Mais elle illustre de façon édifiante la pertinence de la théorie de l’appel d’air : le nombre d’arrivées d’étrangers dépend des conditions d’entrée et d’accueil sur le territoire.

    Le résultat est là : la population étrangère dans les villes de plus de 200 000 habitants atteint 44 % (3). L’islam est devenu la deuxième religion du pays. Une étude récente met en avant la progression de l’islam le plus radical en Suède, avec une sécession de certains quartiers du reste de la société (4). Si une partie des nouveaux arrivants a pu trouver un travail, un rapport réalisé en 2018 par un groupe d’experts rattaché au ministère de l’économie suédois (5) évalue à 8 000 euros le coût annuel tout au long de sa vie d’un migrant récemment arrivé.

    Un durcissement de la politique d’asile à partir de 2016

    A l’instar de l’Allemagne, après une ouverture inconsidérée des frontières en 2015, la Suède a dû faire face à un afflux massif et incontrôlé de migrants. Le gouvernement a pris à partir de juin 2016 des mesures visant à stopper les entrées : fermeture et contrôles aux frontières, refus d’entrée dans le territoire aux individus non munis de titres d’identité, limitation de la durée des titres de séjour, limitation du regroupement familial (6), renvoi de mineurs n’étant pas reconnus réfugiés politiques (7)… Autant de mesures qui ont prouvé leur efficacité, et dont le gouvernement français pourrait s’inspirer… s’il en avait la volonté. Ce qui n’est manifestement pas le cas.

    Insécurité et délinquance

    Une femme politique suédoise, Ebba Bush Thor, affirmait récemment que la politique migratoire est responsable de l’insécurité que ressent désormais un nombre important de femmes suédoises(8). Un sondage réalisé en 2018 par l’Agence de sécurité nationale (NTU) fait ressortir un sentiment d’insécurité grandissant des jeunes femmes dans les rues du pays (9) : 42 % des jeunes femmes de 20 à 24 ans partageraient ce sentiment d’insécurité. Les différences culturelles entre natifs et nouveaux venus, la place de la femme dans la société et la rue, l’afflux d’hommes jeunes et parfois désœuvrés, autant de réalités qui semblent revenir comme un boomerang(10).

    Certains faits divers ont ému l’opinion publique, comme l’agression de jeunes femmes par des étrangers lors d’un festival de musique en 2016 (11), l’autorisation donnée en 2018 à une mosquée de diffuser l’appel à la prière le vendredi (12) et le procès gagné par une femme musulmane qui a refusé de serrer la main lors d’un entretien d’embauche(13). Dans un autre registre, des études réalisées dans le pays mettent en avant une sur-représentation des migrants dans certains crimes et délits, notamment concernant les viols.(14).

    Réactions et perspectives

    En Suède comme dans d’autres pays européens, c’est la montée des partis populistes qui a été le signal de l’exaspération du peuple face à la politique migratoire débridée du gouvernement. Le parti des Démocrates de Suède a ainsi réalisé un score inégalé (19 %) aux dernières élections législatives (15). Une universitaire d’un institut d’études prospectives suédois, Bi Puranen, affirmait récemment que « les trois quart des suédois considèrent que l’immigration ne fonctionne pas bien » (16).  La bonne santé de l’économie et la légendaire tolérance suédoise n’auront donc pas suffi pour assurer une intégration sans heurts d’une partie de la population récemment arrivée.

    Une étude du Pew Research Center sur l’augmentation de la population musulmane en Europe (17)met en avant un pourcentage de 8,1 % de musulmans dans la population suédoise. Les auteurs de l’étude concluent que quelle que soit la politique d’immigration qui sera menée, y compris l’immigration zéro, cette population sera amenée à prendre plus d’importance, en raison notamment du taux de natalité plus élevé chez les musulmans. Une projection avec une hypothèse haute d’immigration dans les 30 prochaine années fait ressortir que les musulmans pourraient représenter 30 % de la population en Suède à l’horizon 2050.

    En Suède comme ailleurs, la population n’a jamais été consultée sur la transformation qui est en cours dans le pays.

    Paul Tormenen
    03/06/2019

    (1)« Les suédois et l’immigration ». Fin de l’homogénéité. Fondation pour l’innovation politique. Septembre 2018.

    (2) Statistics Sweden. Cité par Michèle Tribalat dans « L’immigration extra-européenne a explosé en Suède ». Causeur. 30 août 2017.

    (3) ibid (2)

    (4) « Entre le salafisme et le djihadisme salafiste ». Ouvrage collectif.Université de la défense suédoise. 2018.

    (5) « Sweden’s economy is giving a lift from migrant». Bloomberg Businessweek. 21 août 2018

    (6) « Comment la Suède a durci sa politique d’asile ». Le Monde. 28 mai 2018.

    (7) « Sweden’s migration and asylum policy ». Site du gouvernement suédois. Février 2018.

    (8) « Mass immigration has led to insecurity for women ». Breitbart. 10 mars 2019.

    (9) « L’insécurité et l’anxiété face à la criminalité limitent la vie quotidienne ». Agence de sécurité nationalesuédoise. 2018.

    (10) « Les valeurs traditionnelles, les valeurs séculières et rationnelles ». World value survey. 2017.

    (11) « Suède : la police a caché une vague d’agressions sexuelles ». Le Point. 11 janvier 2016.

    (12) « La Suède autorise une mosquée de diffuser l’appel à la prière le vendredi ». Paris Match.  8 mai 2018.

    (13) « Suède : une femme refuse de serrer la main lors d’un entretien d’embauche et gagne son procès ». RT France. 17 août 2018.

    (14) « Sweden to release first report on migration and crime since 2005». Breitbart. 2 avril 2018.

    (15) « La percée des anti-migrants ». Valeurs actuelles. 10 septembre 2018.

    (16) ibid (1)

    (17) « L’augmentation de la population musulmane en Europe ». Pew research center. 2017

    Source : Correspondance Polémia