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  • Implantation de l’islam, en France et dans le monde

    Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2019

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    Implantation de l’islam, en France et dans le monde

    Cette carte, trouvée ici, permet de visualiser la répartition des établissements assurant la propagation de l’Islam en France, département par département. En d’autre termes, cette cartographie illustre le degré d’islamisation de la France. Pour réaliser cette carte interactive de l’implantation (et donc de l’expansion) de l’Islam en France, une base de données recensant les mosquées, salles de prière, associations cultuelles, associations culturelles, lieux de culte, lieux de recueillement, centres cultuels, écoles coraniques (madrassa), centres éducatifs, instituts et associations islamiques présentes en France métropolitaine, a été utilisée. Cette base de données, la plus complète du genre, semble être reconnuepar l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE).

    La Seine-Saint-Denis bat tous les records, avec 503 lieux de propagande islamique, parfois islamiste, soit environ une structure pour 3300 habitants. La ville de Paris arrive sur la deuxième marche du podium avec 325 établissements islamiques, suivie des Bouches-du-Rhône qui en comptent 305 répertoriées. En dehors de la région parisienne, c’est l’Isère qui semble être le premier département en voie d’islamisation, avec 176 établissements, soit un établissement islamique pour 7000 habitants. En moyenne, chaque département français accueille 69 établissements consacrés à la diffusion de l’Islam, soit un établissement pour 9 700 habitants.

    Le même auteur a réalisé une carte mondiale en recensant, cette fois, les pays où l’islam est absent. Mis à part plusieurs pays asiatiques dont le Japon, le Vietnam et les deux Corées, il est possible de distinguer 3 grands espaces géographiques au sein desquels la pratique de l’Islam est ultra-minoritaire (moins de 1% de la population totale), voire totalement absente: les deux continents américains, l’Europe centrale et orientale et la partie ouest de l’Afrique australe :

     

    Source :lesalonbeige

  • La racaille algérienne était encore de sortie hier soir

    Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2019

    La racaille était de sortie hier soir. Et pas seulement sur les Champs-Élysées. Pas seulement à Paris. Des scènes d'émeutes, de violences, de pillages ont eu lieu dans toute la France à l'occasion de la victoire des Fennecs lors du 1/4 de finale de la Coupe d'Afrique des Nations face à la Côte d'Ivoire (voir ici).

    Le meilleur est à venir dans les prochains jours. Demi-finale. Peut être finale... Et le 14 juillet ne saurait rompre ni avec la liesse habituelle de ses pyrotechnies où automobiles et matériels urbains partent en fumée dans la joie et la bonne humeur allogène ni avec ses rassemblements festifs pour « patriotes » venus d'ailleurs.

    Scènes hélas habituelles d'une France qui n'est plus la France.

    Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire

  • Homard, caviar et grands crus : de Rugy profite de la vie et de la République

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2019

    Rédigé par notre équipe le 11 juillet 2019.

    Il y a des jours plus difficiles que d’autres. Cela est vrai pour le quidam comme pour les plus grands de nos ministres. Depuis hier, il paraît certain que François de Rugy traverse un petit creux. Il faut dire que se faire épingler pour ses dîners luxueux organisés par sa femme et lui aux frais de l’Etat, cela donne quelques sueurs froides. Le numéro 2 du Gouvernement a compris que se faire prendre la pince de homard dans la louche à caviar était plutôt malvenu, alors il a servi une défense qui tombe déjà en ruines. Attention chutes de gravas et peut-être de ministre en vue ! 

    Beaucoup a déjà été écrit ici sur François de Rugy. L’homme aux multiples retournements de vestes a enfin connu le succès au terme d’une carrière marquée par une incompétence réelle et des convictions en papier mâché. Enfin ministre (de l’Ecologie de surcroît !), il a dû attendre dans une antichambre dorée entre 2017 et 2018. Devenu président de l’Assemblée nationale grâce au bon vouloir d’Emmanuel Macron, il a enfin pu jouir des honneurs et de la renommée conférés par ce titre prestigieux, mais en rien mérité. Mais la jouissance pour ceux qui ont attendu bien longtemps n’a pas de limites, alors de Rugy a mené la vie de château avec les Français dans le rôle de gueux sommés de payer les dépenses somptuaires du petit marquis de l’Assemblée nationale.

    De Rugy se défend et prend les Français pour des idiots

    L’article de Mediapart qui révèle les extravagances de l’ancien président de l’Assemblée nationale ne laisse pas de place aux doutes. A tel point que de Rugy n’ose pas démentir les faits et se borne à édulcorer la nature des dîners au cours desquels des mets raffinés et très chers comme du caviar, du champagne et des grands crus ont été consommées sans retenue aucune. Reste à savoir combien exactement ces dîners ont coûté à la collectivité. Car oui, malgré sa très forte rémunération de président de l’Assemblée nationale, de Rugy n’avait pas les moyens de payer de sa poche des repas somptueux comprenant entre dix et une trentaine d’invités. C’est l’Assemblée nationale qui a payé la note – ou plutôt les notes car Mediapart a relevé une dizaine de ces dîners. Et quand l’Assemblée nationale paye, c’est avec l’argent des Français… !

    Sommés de se serer la ceinture, les Français voient donc ceux qui les mettent à genoux se gaver comme des petits fous. Dans une République qui se respecte, de Rugy aurait déjà démissionné, présenté ses excuses et assuré qu’il paierait de sa poche ces repas scandaleux, mais non ! Le désormais ministre ne s’excuse pas, reste accroché à son ministère comme une moule malade à son rocher mazouté et le pire est qu’il a le soutien officiel du président de la République. Il faut avoir une sacrée bonne justification pour se sortir d’une telle situation avec tout le soutien de l’appareil d’Etat. Et de Rugy pense l’avoir trouvée.

    Les dîners du couple de Rugy faisaient partie du « travail informel » du petit François… Dur métier que de s’attabler sous les ors de la République pour y déguster des mets hors de prix entourés de ses amis et de ceux de sa femme ! Et tout ça pour rester en contact avec la société civile clame de Rugy ! C’est très fort ! Et pour justifier le ministre affirme qu’il ne s’agissait pas de dîners entre amis, mais bien une manière de prendre la température avec la société française. La preuve, il aurait causé avec un paléontologue professeur au Collège de France. Un tel intellectuel ne fait clairement pas partie du réseau amical du ministre. Tout doit donc lui être pardonné. François de Rugy n’a fait que son boulot, un travail certes coûteux pour la collectivité, mais d’une extrême utilité. Parions qu’il est aussi professionnel au ministère de l’Ecologie… Oui, mais pour combien de temps encore ?

     

    Source : 24heuresactu

  • Traité du Mercosur : trocs et petites affaires entre amis.

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2019

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans. 

     
    Traité du Mercosur : trocs et petites affaires entre amis.
    En 2014, les principaux postes à pourvoir à la tête des institutions européennes, les fameux top jobs en novlangue mondiale, ne l’avaient pas été avant le mois d’août suivant les élections.
    Cette fois-ci tout avait été fait pour que les décisions soient prises avant la première réunion du Parlement européen dans sa composition nouvelle afin de tenter de faire briller l’image d'une UE soudée et décidée à aller de l'avant.
    Las… Si le calendrier fut bien respecté, la multiplication des réunions en forme d'impasses, les intérêts divergents de l’Allemagne, de la France et du groupe de Visegrad réunissant quatre pays d'Europe centrale dont la Hongrie, les oppositions de surface uniquement dictées par l'attrait des bonnes places, ont montré la réalité d'une Europe en miettes.
    Pendant la campagne pour les élections européennes, les promesses n’avaient pourtant pas manqué d'une nouvelle donne et d'une volonté retrouvée. Au final, trocs et petites affaires entre amis ont retrouvé toutes leur place, malgré l'influence nouvelle des pays de l'est… Passe-moi la Rhubarbe, je te passerai le séné.
    Sous réserve que le Parlement ratifie leurs choix les chefs d’États et de gouvernements qui composent le Conseil de l’Europe ont, au bout d'interminables négociations, abouti comme d'habitude à un compromis et à une répartition consciencieusement dosée des postes non pas entre Nations – le patriotisme pour ces gens-là est une affaire très subalterne – mais entre gens de bonne compagnie, partageant tous la même vision planétariste, financiariste et libre-échangiste.
    • Ursula von der Leyen sera donc la nouvelle présidente de la Commission. Totalement acquise à la cause fédéraliste, elle qui, voici quelques mois appelait à la création des États-Unis d’Europe, l’ancienne ministre allemande de la défense est pourtant durement contestée dans son pays du fait d'une série de scandales qui ont éclaboussé la Bundeswehr et son ministère : matériel obsolète, sous-investissements, experts surpayés, opacité budgétaire… Si bien que le verdict des Allemands est sans appel : selon un sondage récent du quotidien Bild, elle est considérée comme l'une des deux ministres les moins compétents du gouvernement. Cela n’a pas empêché Emmanuel Macron de la soutenir tandis qu’Angela Merkel considérait que cette nomination était celle du moindre mal.
    • Charles Michel, quant à lui, sera un président du Conseil arrangeant et accommodant comme il sied à un libéral et comme il a pu en faire la démonstration à la tête du gouvernement belge où il sut pratiquer avec zèle l’art du compromis et de la compromission.
    • Le social-démocrate Josep Borrell, actuel ministre espagnol des Affaires étrangères, Catalan fervent, prendra la suite de l’Italienne Federica Mogherini à la tête de la diplomatie de l'UE, c’est-à-dire à la tête du néant.
    • Avec Christine Lagarde, enfin, nommée malgré sa condamnation (avec dispense de peine) dans l’affaire Crédit lyonnais/ Bernard Tapie, la France macronienne sauve ce qui pour elle était l'essentiel : la continuité de la politique de Mario Dragui des taux d’intérêt zéro et des QE (« quantitative easing »), vaste programme de rachats d'actifs destiné à éviter à la zone euro de sombrer dans la crise ; une continuité que l’hypothèse de la nomination de l’actuel président de la banque fédérale allemande Jens Weidmann ne garantissait nullement, c'est un euphémisme, lui qui s’est toujours élevé contre le laxisme de Dragui. Avec Christine Lagarde la France pourra continuer de s'endetter sans frais et de vivre à crédit en attendant que ne sonne, un jour ou l’autre, l'inévitable fin de la récréation. Les marchés ont, quant à eux, salué cette nomination en soulignant que le manque d’expérience de Christine Lagarde en matière de gestion d’une banque centrale était largement compensé par son profil politique accommodant. Euphémisme pour servilité.
    On notera que Les Républicains ont réagi très favorablement, à l’unisson de La République En Marche, a ces nominations, saluant particulièrement celles de « deux femmes courageuses et compétentes » selon le mot de Jean Léonetti président par intérim.
    Même consensus et même entre soi au parlement lors de l’élection de son président. L’accroissement du nombre de députés nationaux, identitaires ou populistes n’aura rien changé. Atomisés en trois groupes distincts dont Identité et Démocratie où siègent les élus RN et ceux de la Lega, ils n'obtiennent aucune des vice-présidences ni aucune des présidences de commissions qu'avait pronostiqué Marine Le Pen lors d’une conférence de Presse à Bruxelles le 13 juin. Malgré les gages donnés au Système et malgré les reniements, le cordon sanitaire est toujours là.
    L’élection du socialiste italien David Sassoli à la présidence du Parlement de Strasbourg, avec la bénédiction de la prétendue droite PPE et des libéraux, est, à elle seule, emblématique du clivage absolu qui est désormais la marque de l'Europe : d'un côté les défenseurs des nations identitaires, partisans d'une Europe des États, une Europe politique, indépendante et volontaire, et de l’autre, solidaires déterminés à défendre leurs places et leur vision, les tenants du totalitarisme mondialiste, de l'immigrationnisme et du libre-échangisme destructeur.
    La grande Europe vient encore de reculer de plusieurs cases.