Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 23

  • Paris : trois nouveaux centres d’accueil pour migrants vont ouvrir

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2019

    Par  le 01/07/2019

    […]

    «Un deuxième CAES (Centre d’accueil et d’examen des situations) va ouvrir début octobre boulevard Ney, dans le 18e arrondissement, dans un bâtiment SNCF vide, pour héberger 150 hommes isolés migrants», a indiqué le préfet lundi. Les CAES ont été créés en mars 2018 pour héberger temporairement les migrants et les orienter en fonction de leur droit au séjour: demandeur d’asile, débouté, «dubliné» dépendant d’un autre pays européen. Aujourd’hui, l’État dispose déjà en Île-de-France de cinq centres d’une capacité totale de 750 places.

    Sur un deuxième site boulevard Poniatowski dans le 12e arrondissement, deux autres centres vont ouvrir en octobre dont «une halte de nuit pour les familles» avec une capacité de 70 places et un centre pour hommes isolés réfugiés «insérés professionnellement ou en passe de l’être» de 200 places.

    […]

    Par ailleurs, le préfet a évoqué le projet de mettre à disposition le «foncier de l’État» pour construire des «chalets» ou «des mobile-homes de qualité». Cette «nouvelle formule transitoire» permettrait de loger «pendant 6 mois maximum» des réfugiés en attendant leurs logements définitifs.

    […]

    LeFigaro via fdesouche

  • Rentrée 2019 : vers la fin des petites écoles de campagne

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2019

    Par  le 02/07/2019
    […]Selon une enquête du ministère de l’Education nationale, actualisée au 14 mai, 400 écoles doivent disparaître à la rentrée. Pour 150 d’entre elles, la décision relève de l’administration. Le chiffre, initialement de 186, a d’ailleurs été revu à la baisse. Toutes les autres, 250, résultent de fusions et de regroupements « préparés en concertation avec les élus », explique-t-on rue de Grenelle. […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Le sein artificiel, pour les “hommes” qui veulent allaiter leur bébé (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2019

    allaiter,hommes,seins artificiel

    La (folle) révolte des hommes contre leur identité ne fait, semble-t-il, que commencer :

  • Aix-la-Chapelle (All.) : le maire CDU renomme une place « Place de la Mosquée » pour célébrer la tolérance

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2019

    Allemagne – Mardi dernier, à Aachen (Aix-la-Chapelle), sur le parvis de la somptueuse mosquée Yunus Emere, régnait l’effervescence des grands jours, alors qu’une foule hétéroclite et plus unie que jamais se pressait pour assister à une cérémonie en grande pompe.

    Aux abords de ce phare de l’islam d’une blancheur éclatante, érigé et géré par l’Union islamo-turque pour les Affaires religieuses (DITIB), le dévoilement d’une plaque de rue a suscité un engouement comme rarement, et ce, pour la plus grande satisfaction de celui qui l’a rendu possible : Marcel Philipp, le maire chrétien-démocrate de cette localité située dans le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie. […]

    « En tant que maire, je suis très heureux d’avoir œuvré à l’inauguration d’une plaque de rue qui reconnaît l’islam comme faisant partie intégrante du paysage religieux en Allemagne. Je tiens à exprimer ma gratitude à toutes les personnes qui ont soutenu ce projet car, comme chacun sait, renommer des rues ou des places n’est pas un processus facile dans notre pays », a déclaré Marcel Philipp, sous l’ovation générale. […]

    oumma.com et Daily Sabah via fdesouche

  • Traité du Mercosur : un accord scélérat signé par l’UE avec le soutien de Macron.

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2019

     

    CONNEXION. La lettre argumentaire PDF, rédigée par Jean-François Touzé et Franck Timmermans.

     
    Traité du Mercosur : un accord scélérat signé par l’UE avec le soutien de Macron.
    La réunion du G20 qui vient de se tenir a Osaka au Japon, sommet en trompe-l’œil qui aurait pu se solder par de simples décisions de principe telles que la confirmation à 19 (sans les États-Unis qui s'en sont retirés) de l'Accord de Paris sur le climat et par le redémarrage de négociations commerciales entre les USA et la Chine. Le tout émaillé - c'est la loi du genre – de fausses amabilités entre les Présidents américains et nord-coréens, et de vrais antagonismes de fond (les justes remontrances émises par Poutine sur les limites des démocraties libérales et la piteuse réponse de Macron considérant que ces « démocraties libérales avaient encore beaucoup à apporter ». Le Président français pensait sans doute à ce qu'elles apportent à la finance internationale et à la spéculation planétaire…).
    Mais l'essentiel était là où on ne l'attendait pas : dans la signature d'un traité de libre-échange transatlantique entre l'Europe et les quatre pays du Mercosur.
    Emmanuel Macron a cru bon de se féliciter de la conclusion de ces négociations dites du Mercosur entamées depuis plus de vingt ans entre l’Union européenne d’une part, le Brésil, l’Argentine, le Paraguay et l'Uruguay de l'autre, et par la signature d'un "accord politique" sur un vaste traité de libre-échange, touchant près de 770 millions de consommateurs.
    Cet accord constitue pourtant pour les éleveurs bovins français un coup de poignard dans le dos dont beaucoup risquent de ne pas se relever.
    Une fois de plus Bruxelles vient de s’engager dans un marché de dupes que les intérêts français seront les premiers à devoir subir.
    Les pays du Mercosur s'engagent certes à supprimer progressivement les taxes douanières sur leurs importations automobiles comme sur celles de pièces détachées, d'habillements et de produits pharmaceutiques. Autant de secteurs d'activité et de champ d'exportations dont le développement reste très hypothétique pour l'Europe du fait de la proximité de ces pays avec les États Unis et des accords privilégiés depuis longtemps conclus avec eux. L’ouverture du marché automobile qui ne se fera que petit à petit, est, au demeurant, avant tout un cadeau fait à l'Allemagne dont les grands constructeurs comme Mercedes ou BMW sont déjà sur les starting-blocks, et non à la France où Renaud est empêtrée dans l’affaire Carlos Ghosn et PSA affaiblie par l’échec de son rapprochement avec Fiat Chrysler.
    En contrepartie, l'Union ouvre totalement son marché à l'importation de viande bovine provoquant la colère et déjà le désespoir de nos paysans.
    En cause, la taxation à un taux préférentiel de 7,5 % des quelque 99 000 tonnes de viande bovine que les quatre pays latino-américains devraient pouvoir exporter vers l’UE, fragilisant un peu plus les 85 000 éleveurs français de vaches allaitantes.
    Déjà très dépendants des subventions européennes, les éleveurs français avertissent qu’ils ne parviendront pas à concurrencer les "usines à viande" latino-américaines.
    D’autant que s'ajoutent à cette concurrence déloyale et faussée les différences de normes appliquées sur les deux continents : antibiotiques utilisés comme hormones de croissance d’un côté assorties de déforestation, contre toujours plus de normes environnementales, coûteuses et drastiques côté européen.
    Cet accord scélérat signe donc une double peine : peine de mort a terme pour de nombreux élevages français ; risque sanitaire pour nos consommateurs de viande.
    Emmanuel Macron a pris là une responsabilité majeure dont les Français devront se souvenir.