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  • L’école sacrifiée sur l’autel de la Macronie

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2019

    Rédigé par notre équipe le 04 juillet 2019.

    Y a-t-il encore un effet de surprise ? Lorsque Macron fait une promesse, il faut comprendre l’exact inverse. Alors quand le président de la République a assuré devant la France entière qu’aucune école ne fermerait en réponse à la crise des gilets jaunes, il fallait bien évidemment comprendre que de nombreuses écoles fermeraient à la prochaine rentrée. Bilan : environ 400 écoles rurales ne rouvriront pas leurs portes e septembre 2019. Macron a encore une fois menti, mais cette mort programmée des petites communes ne serait pas de sa faute…

    Ceux qui se souviennent qu’un « grand débat » a eu lieu en France, auront peut-être toujours à l’esprit une énième promesse en blanc du génial Macron concernant l’école. Alors qu’il entendait faire taire les gilets jaunes à l’issue du « grand débat », le président déclarait qu’aucune école ne fermerait « d’ici à 2022 ». Mais dans un univers macronien où les mots et les chiffres n’ont aucun sens, aucune fermeture se transforme en quelques semaines par 400. Un exploit qui va laisser des villages devant leur arrêt de mort partout en France.

    La Macronie plaide l’irresponsabilité

    Macron avait promis – on sait ce que ses promesses valent – et Jean-Christophe Blanquer s’était mis dans la roue de son champion en déclarant en avril : « nous ne fermerons pas d’écoles primaires à la rentrée »… Trait d’humour ou retournement de veste, à peine deux mois plus tard ce sont 400 écoles condamnées à ne pas rouvrir leurs portes en septembre. La faute aux regroupements dans les zones rurales, la faute aux maires surtout qui seraient trop proches de leurs sous. En effet, environ 250 fermetures auraient été décidées par les maires dans le cadre de regroupements en zones rurales. Des décisions motivées par l’absence de budget qui s’explique par le tarissement des financements de l’Etat. Le pouvoir exécutif national en demande toujours plus aux collectivités, mais leur coupe l’herbe sous le pied pour se financer…

    Serrés à la gorge par l’Etat, les maires doivent se résoudre à fermer des classes et des écoles tout en sachant qu’ils signent souvent la fin de la vie dans leur commune. On exfiltre la jeunesse des campagnes et on en profite pour fermer d’autres services publics. Logique, il n’y a plus que des « vieux » qui hantent les villages. Ces derniers ne sont là que pour être tondus jusqu’à leur appel dans l’au-delà. Les maires obligés de sacrifier leurs écoles et l’avenir de leur village tandis que le ministère de l’Education nationale procède de lui-même à la fermeture de 150 écoles. Eh hop ! Blanquer a déjà oublié sa promesse… !

    Un ministre qui racontait donc n’importe quoi ou plutôt ce que les gens voulaient entendre lorsqu’il racontait que les écoles rurales enregistraient des résultats « meilleurs que la moyenne » et faisaient rayonner un « caractère très humain ». Des rocs pour une Education nationale sinistrée et des phares pour « la vie des villages ». Au fond, l’exécutif n’est qu’un nid de falsificateurs. Après les 808 classes fermées lors de la dernière rentrée, ce sont 400 écoles fermées en septembre prochain. De quoi nourrir la colère et le désespoir des Français. De quoi nourrir aussi la réputation d’une Macronie qui déteste tout ce qui s’éloigne trop de la start-up nation.

     

    Source : 24heuresactu

  • Roms : le camp de Malepère à Toulouse laisse place à une inquiétante pollution

    Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2019

    roms
    Une partie des ordures laissés par les roms après leur départ du camp de Malepère. © roms-malepere-toulouse.yo.fr
    Les roms du camp de Malepère se sont enfuis, laissant derrière eux un terrain dans un état inquiétant, tant humainement qu’écologiquement. 

    Le calvaire n’est pas totalement fini pour les riverain de l’ancien camp de roms basé pendant un an à Malepère. Installé en juillet 2018, les quelques dizaines de clandestins se sont volatilisés dans le week-end du 15 au 16 juin 2019 sans que les forces de l’ordre n’aient à intervenir. La fin d’un long cauchemar pour les voisins qui pensaient cette histoire derrière eux. Mais les conséquences sont toujours visible un demi-mois après le départ des squatteurs. 

    Lire aussi : Le calvaire des voisins d’un camp de roms

    Pour le collectif des riverains, « le maire et le préfet continuent de ne rien faire pour nettoyer le terrain occupé illégalement depuis presque un an ». Les riverains vivent désormais entourés de rats et des « immondices des roms ». Matières fécales, verre, plastiques, matériels électroniques, fer, cumulus, piles et batterie… La liste est longue, les conséquences humaines et écologiques sont notables et l’inaction de la mairie contraste avec la campagne « Toulouse ville verte » menée par Jean-Luc Moudenc. 

    Allô Toulouse et Médecin du monde pointés du doigt

    Allô Toulouse, le numéro de téléphone municipal pour répondre à la détresse des habitants,a brillé depuis plus d’un an par son absence de réponses aux habitants du quartier Malepère. « À nous de nous débrouiller avec le propriétaire du terrain nous disent-ils », déplorent le collectif sur son site. Et Médecin du monde, l’ONG « humanitaire » qui a soutenu et protégé les squatteurs durant leur présence, répondent à leur tout que « ce n’est pas leur problème si nous vivons dans l’insalubrité à notre tour », rapporte les riverains. 

    Lire aussi : Le camp de roms du Ramier évacué, Malepère attendra

    Le collectif demande à Jean-Luc Moudenc de « nettoyer dans les meilleurs délais le terrain situé au 2 chemin de Malepère et ses abords ». Et pas qu’à moitié. « Il doit être totalement dépollué et nettoyé. Une dératisation doit être effectuée immédiatement dans tout le secteur », somment les habitants qui voient les rats les « coloniser »« Nous ne lâcherons rien », préviennent-ils.  

     

    Source : infos-toulouse

  • Royaume-Uni : un clandestin tombe d’un avion et s’écrase dans le jardin d’un Londonien en train de bronzer

    Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2019

    Par  le 02/07/2019

    La découverte du corps d’un homme, probablement un clandestin tombé du train d’atterrissage d’un vol Kenya Airways à destination de l’aéroport londonien d’Heathrow, a suscité choc et émoi dans le quartier où il a été retrouvé.

    La victime est tombée dimanche dans le jardin d’une maison de Clapham, dans le sud-ouest de Londres, où un homme prenait un bain de soleil, a rapporté un voisin cité par l’agence britannique Press association.

    (…) Selon le voisin, “une des raisons pour lesquelles son corps était intact était qu’il était comme un bloc de glace”Cité par The Sun, il raconte que le corps s’est écrasé à un mètre à peine de son voisin“Il est bouleversé. Il a eu beaucoup de chance de ne pas être percuté et tué”, a déclaré le témoin. “Il n’a d’abord pas réalisé ce qui se passait. Il était assoupi puis il y a un énorme impact”, a-t-il ajouté.

    L’accident est survenu à quelques centaines de mètres d’un parc très fréquenté dimanche après-midi. Le corps a heurté le sol avec une telle force que cela a laissé un trou dans la pelouse et sur une dalle du jardin, montre une photo publiée par le tabloïd The Sun.

    L’homme serait tombé de l’avion à plus de 1.000 mètres d’altitude. La police estime qu’il s’était sans doute dissimulé dans la trappe du train d’atterrissage d’un avion de la compagnie Kenya Airways, qui s’est ouverte alors que l’appareil s’apprêtait à atterrir à Heathrow (…) Plusieurs incidents similaires se sont produits autour de Londres ces dernières années.

    7sur7.be via fdesouche

  • Toulouse : il frappe une conductrice de bus, porte plainte contre elle, il reste libre

    Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2019

    Par  le 02/07/2019

    A Toulouse, un passager frappe une conductrice de bus pour qu’elle s’arrête, elle souffre d’une triple fracture au visage

    […]

    …le jeune s’est levé et m’a hurlé de m’arrêter, poursuit Emma.

    […]

    « J’étais en train de conduire et il m’a donné un coup de poing au visage. Je me suis mise à saigner. Je ne me souviens pas comment j’ai arrêté le bus… »

    […]

    La conductrice est rapidement transportée aux urgences. Bilan : nez, arcade et pommette fracturés, paupière abîmée.

    […]

    Dès le soir de l’agression elle porte plainte. Et l’auteur présumé des faits est interpellé dans la foulée. « Il a à son tour porté plainte contre moi», détaille Emma. Les deux protagonistes ont participé à une confrontation chez les forces de l’ordre. L’auteur présumé de l’agression sera jugé le 9 octobre prochain.

    […]

    La Depeche via fdesouche

  • La RATP s’engage à embaucher en Seine-Saint-Denis, un quart des recrutements franciliens viennent déjà du 93

    Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2019

    Par  le 02/07/2019

    La charte « Seine-Saint-Denis Egalité » a été renouvelée ce mardi entre la Régie de transports et le département. A la clé : formations et remises à niveau.

    (…) Mahran fait partie des stagiaires qui bénéficient de la passerelle « emploi-entreprises », dans le cadre de la charte « Seine-Saint-Denis Egalité ». Celle-ci a été renouvelée ce mardi, pour trois années supplémentaires, entre la RATP et le département.

    L’objectif est de faciliter l’embauche des habitants de ce territoire encore très défavorisé en matière d’accès à l’emploi. La première convention de ce genre a été signée dès 2006 entre la Régie et le 93.

    « Un partenaire historique », se félicite d’ailleurs Nadège Grosbois, vice-présidente chargée de l’Economie, au sein de l’assemblée départementale. Et ça marche plutôt bien si l’on en juge les données que rapporte Jean Agulhon, DRH du groupe RATP. « Près d’un quart des recrutements en Ile-de-France viennent de Seine-Saint-Denis », rappelle-t-il.

    Mahran, installé en France depuis assez récemment, a profité d’une remise à niveau en français, à travers la formation. « Il a beaucoup progressé dans l’expression et la prise de parole », confirment ceux qui ont suivi son début de parcours, au sein de la « passerelle emploi-entreprises ». Un dispositif qui a permis à 71 habitants du 93 d’être recrutés ces deux dernières années comme conducteur de bus.

    (…) Le Parisien via fdesouche