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  • 25 octobre 732 : Charles Martel arrête les Arabes à Poitiers

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2019

    En 711, soit à peine 80 ans après la mort de Mahomet, les musulmans atteignent l’Espagne, qu’ils traversent en 8 ans, et occupent en 719 le Languedoc actuel. Cette province, entre les Pyrénées et le Rhône, s’appelle alors Gothie, en souvenir des Wisigoths, ou Septimanie, d’après ses sept villes principales (sa capitale Narbonne, Agde, Béziers, Nîmes, Maguelone, Lodève et Elne). Arrêtés à Toulouse, en 721, par le duc Eudes d’Aquitaine, ils tournent alors leurs regards vers l’Est et prennent Nîmes, Arles et Autun en 725.

    En 732, ils s’approchent de Tours, la ville de Saint Martin.
    A la demande de l’Eglise, le Duc des Francs, Charles Martel, vient au secours d’Eudes, Duc d’Aquitaine. Après avoir rassemblé une armée à la hâte, Charles Martel rejoint les troupes musulmanes, à Moussais, à proximité d’une voie romaine reliant Châtellerault à Poitiers. Le samedi 25 octobre 732, 1er jour du ramadan, les envahisseurs musulmans se décident à engager la bataille, au nord de Poitiers. Leur chef, Abd al-Rahman, est tué pendant la bataille. Sa cavalerie, légère et désordonnée, se heurte au « mur infranchissable » que forment les guerriers francs, à pied, mais disciplinés et bardés de fer. De son côté, Charles Martel attribue sa victoire à l’intercession de la Vierge Marie et parle des anges combattant aux côtés des Francs.

    C’est son fils, le roi Pépin le Bref, qui va libérer Narbonne et chasser définitivement les musulmans de Septimanie en 759, trois ou quatre décennies après leur arrivée.

     

    Source : contre-info

  • Honneur au Général Franco.

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé membre du Bureau Politique du Parti de la France
     
    La profanation de sépulture participe de la nature même des hyènes rouges.
     
    Ce jeudi 24 octobre, portée par huit membres de sa famille dont son arrière petit fils Louis de Bourbon considéré par les Légitimistes comme prétendant au trône de France, la dépouille mortelle de l'ancien Chef d'Etat espagnol a été exhumée du mausolée de Los Caídos et transférée au cimetière de Mingorubbio au nord de Madrid où repose déjà son épouse.
     
    Les rouges et les roses croient ainsi, par cet acte honteux, tenir leur revanche sur l'Histoire et sur celui qui sauva son Pays de la terreur communiste et de l'anarchie.
     
    La partie est pourtant loin d'être terminée. En Espagne comme dans toute l'Europe, notre heure reviendra.
     
    Honneur au Général Franco. Espana Una Grande y Libre !

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  • Suède : une enseignante pro-migrants de 70 ans étranglée à mort par son élève, un Afghan de 20 ans, qui était également son amant

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2019

    Par  le 24/10/2019

    Suède – Pendant une année, l’enseignante âgée de 70 ans et l’élève afghan de 20 ans avait eu une relation amoureuse. Le jeune homme est accusé du meurtre de la septuagénaire.

    L’étudiant est arrivé en Suède en 2015. Sa demande d’asile a été refusée et il a fait appel de cette décision devant le tribunal des migrations. Le 27 juin, il a appelé la police et a avoué qu’il avait étranglé à mort une femme de 70 ans qui avait été son professeur.

    L’enseignante était à la retraite et avait eu le migrant comme élève. Elle était connue pour son militantisme en faveur des demandeurs d’asile. Lorsque la police a arrêté le jeune homme, il a déclaré qu’il « avait fait quelque chose de stupide et avait frappé quelqu’un ».

    « On commençait à s’embrasser et puis j’ai eu un peu peur et ensuite je l’ai l’étranglée », dit-il lors de son interrogatoire. La victime a été retrouvée morte dans son appartement. L’étudiant n’a fourni aucune explication supplémentaire.

    Au cours de l’enquête, il est apparu clairement que l’élève et l’enseignante formaient un couple. Cette information est confirmée par des notes que la femme a laissées avant sa mort: « Par des notes qui font référence à des dates précises, il est confirmé que la relation amicale se transforme en une relation amoureuse à la mi-2018 ».

    La septuagénaire écrit qu’elle « devrait essayer de ne pas le contacter », mais qu’il « la rend heureuse ».

    Expressen / Aftonbladet / Nyheter Idag via fdesouche

  • Always, la marque de serviettes hygiéniques, retire le symbole féminin de ses produits pour pouvoir s’adresser aux trans et non-binaires

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2019

    Par  le 23/10/2019
    […] La marque de serviettes hygiéniques Always vient d’annoncer qu’elle retirera tout symbole féminin de ses produits. Un pas en avant pour la communauté trans qui estime qu’il était temps de rendre les produits de règles plus neutres. Jusqu’ici, Always attribuait à ses produits une image qui s’adresse plus aux personnes cisgenres femmes qu’aux autres. Mais suite à de nombreuses reproches de la part des défenseurs des droits LGBT+, la marque va rendre ses produits plus neutres.

    Dès le mois de décembre, Always commencera à retirer les symboles considérés comme typiquement comme féminins et prévoit dès février 2020 un changement intégral de sa gamme à l’international. Dans un communiqué récemment adressé à la NBC, Proctor & Gamble (le groupe derrière Always) a insisté sur le fait que cette mesure n’était en aucun cas une manière de rendre les femmes invisibles : « Depuis plus de 35 ans, Always défend les filles et les femmes et nous continuerons de le faire. Nous sommes également attachés à la diversité et à l’inclusion et continuons à comprendre les besoins de tous nos consommateurs. »

    L’été dernier, un consommateur nommé Melly Bloom a mis en lumière ce manque d’inclusivité dans un tweet : « Vous savez, il y a des gens non binaires et trans qui ont encore besoin d’utiliser vos produits ! ». Steph deNormand, responsable de la plate-forme Trans Health qui facilite l’accès aux soins des personnes trans aux États-Unis, a affirmé à NBC que ces symboles pourraient « exacerber la dysphorie de genre chez les personnes trans et non-binaires, les empêchant même d’acheter des produits hygiéniques ». […]

    Neon Mag via fdesouche

  • L’ISLAM EST-IL COMPATIBLE AVEC LA DÉMOCRATIE ?

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2019

    POSTÉ LE OCTOBRE 21, 2019, 3:22

    compatible,démocratie,islam

    J’ai posé en titre de cet article une question dont je connais la réponse.

    Non, bien sûr, l’islam n’est pas compatible avec la démocratie. Toute personne qui connaît un tant soit peu l’islam le sait.

    Le Coran, censé être la parole de Dieu dictée en arabe, le dit : Allah énonce des lois que les musulmans doivent respecter à la lettre, il gouverne le ciel et la terre, et aucun être humain électoralement désigné par d’autres êtres humains ne peut prétendre gouverner un peuple quel qu’il soit.

    Les êtres humains ne peuvent se donner à eux-mêmes des lois.

    Le Coran n’admet aucun écart, et dit que tout musulman doit non seulement respecter à la lettre les lois énoncées par Allah, mais doit obéir à l’intégralité de celles-ci.

    Cela signifie qu’un musulman qui ne le fait pas n’est pas un bon musulman et que ce qu’on appelle en Occident les « musulmans modérés » ne sont pas de bons musulmans.

    (J’explique tout cela en détail dans mon livre « L’ombre du djihad ».)

    Quiconque regarde la planète constate aisément que l’incompatibilité entre islam et démocratie se vérifie dans les faits.

    Sur cinquante-sept pays musulmans sur la terre, ceux qui sont censés connaître des éléments de démocratie se comptent sur les doigts d’une seule main.

    Et je parle d’éléments de démocratie, pas de démocratie à proprement parler – ce qui signifie que des élections peuvent y avoir lieu, mais qu’elles conduisent toujours assez vite à la victoire du candidat le plus islamiquement correct.

    L’exception a été la Turquie, tant que les règles fixées par Mustafa Kemal, qui détestait l’islam et n’hésitait pas à le dire, ont été en vigueur et tant que l’armée laissée par lui veillait.

    Mais, dès qu’un islamiste a pu éroder ces règles et transformer l’armée, l’exception a cessé d’en être une, et l’islamiste Erdogan a fait de la Turquie une tyrannie islamique.

    Les naïfs ont imaginé que la Tunisie serait une autre exception et ont pris le renversement de Zine Ben Ali (qui avait vis-à-vis de l’islam des réserves proches de celles énoncées par Mustafa Kemal) pour une bonne nouvelle permettant au pays de devenir une démocratie musulmane.

    Ce qui restait de cette illusion vient de tomber, ce qui n’a rien de surprenant pour ceux qui se souviennent qu’Ennahda avait gagné en 2011.

    Depuis, deux présidents se sont succédés qui ont été très conciliants avec Ennahda et ont gouverné ou passé accord avec ce parti islamiste.

    Un troisième président vient d’être élu, Kais Saied, présenté en France comme « ultra-conservateur », expression qui ne veut rien dire et qui est totalement inadéquate pour le décrire, ou comme « robespierriste », expression qui ne veut rien dire non plus et qui est, là encore, totalement inadéquate pour le décrire.

    Kais Saied est islamiste, se déclare en guerre contre l’Occident et contre Israël, et entend mettre fin aux élections législatives.

    Il va faire glisser la Tunisie vers la tyrannie islamique, et il le fera avec l’assentiment de la population tunisienne et même, cela doit être souligné, avec l’assentiment des Tunisiens vivant dans les pays d’Europe, particulièrement en France où ils sont nombreux.

    Ainsi une tyrannie islamique prend forme aux portes de la France et à faible distance des côtes italiennes (cent cinquante kilomètres séparent Tunis de la côte sicilienne), ce qui n’est pas bon signe (l’économie tunisienne se délabre à grande vitesse).

    Plus grave encore, des musulmans vivant en Europe, particulièrement en France, et votant pour un président islamique, montrent que l’incompatibilité de l’islam avec la démocratie est un problème très lourd pour l’Europe, en particulier pour la France (qui est le principal pays musulman d’Europe).

    Le vote des Tunisiens est à regarder en face.

    Le vote des Algériens et des Marocains, si on l’observe, va dans la même direction que le vote des Tunisiens.

    La France ne deviendra pas une tyrannie islamique, mais elle est déjà un pays sous influence islamique.

    Par ailleurs, les données démographiques, la poursuite d’une immigration musulmane (présentement au rythme de 400 000 nouveaux arrivants par an) montrent que l’influence islamique est destinée à s’accroître sur la France, et les propos de Macron et du gouvernement, par-delà les faux-semblants, sont porteurs de marques indéniables de glissement vers la soumission.

     

    Source : les4verites