Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2019
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En relançant, comme il s'y emploie dans son nouvel ouvrage, le débat sur les Institutions, François Hollande n'a bien sûr en tête qu'une seule idée : celle de son retour. Une obsession qu'il est, à l'évidence, le seul à nourrir tant son séjour à l'Élysée fut calamiteux.Il n'est pourtant jamais inutile de se pencher sur l'architecture de l'État.Au moment où s'accumulent les menaces sur notre Nation française - déferlante migratoire, islamisation, dislocation identitaire, déconstruction sociale, décomposition morale et désagrégation organique - nos compatriotes ressentent plus que jamais le besoin d'un État fort, maître de l'autorité, garant des libertés et de l'équité, pilier de force de notre destin.Cet État doit être incarné. Profondément monarchistes sans être royalistes, les Français veulent un Chef qui dispose du temps long et soit dépositaire à la fois de la puissance publique, de la grandeur nationale et des équilibres sociaux.L'introduction du quinquennat décidée conjointement par Chirac et Jospin, plus qu'une erreur, plus qu'une faute politique, fut un attentat contre la stabilité institutionnelle de la France, stabilité, il est vrai, déjà largement fragilisée par des dizaines de réformes constitutionnelles et par une pratique constante du pouvoir - celà dès l'origine du régime - proche de celles des pires républiques bananières.Un Président au dessus de la mêlée politicienne mais décideur plus qu'arbitre, visionnaire, détenteur de l'autorité suprême et non partagée, Chef du peuple et de la Nation, un premier ministre qui coordonne l'action gouvernementale, un parlement représentatif qui légifère sans outrepasser ses droits, une Justice qui assume ses responsabilités mais ne s'érige pas en contre-pouvoir, voilà ce que doit être demain l'État national que nous appelons de nos vœux.Un État français, en somme.
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Des vols de l’ONU en provenance d’Afrique transportent directement des migrants en Allemagne
Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2019
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) des Nations Unies a annoncé le tout premier charter qui transportera des migrants africains directement en Allemagne, avec des vols supplémentaires déjà prévus.
Mardi, le compte twitter IOM Ethiopia a joyeusement publié un clip vidéo montrant 154 « réfugiés » arrivant à l’aéroport de Kassel dans l’Etat fédéral de Hesse.
La légende du tweet dit :
« C’est arrivé ! Dans LE PREMIER VOL international affrété par les Nations Unies au départ de l’Ethiopie, 154 réfugiés sont partis d’Addis-Abeba pour Kassel en Allemagne dans le cadre du programme de réinstallation allemand », « Un deuxième vol est prévu pour partir mi-novembre avec 220 autres réfugiés ».
It happened!
In FIRST EVER @UNmigration international chartered flight from #Ethiopia, 154 #refugees departed from Addis Ababa to Kassel #Germany under the German #Resettlement program. A second flight is scheduled to depart mid-November with another 220 refugees.Le Bureau de liaison spécial de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) à Addis-Abeba (Éthiopie) a également publié un communiqué de presse qui décrit le premier groupe de migrants en cours de réinstallation tout en décrivant l’ensemble du programme.Le communiqué de presse se lit comme suit :
« L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) en Ethiopie a organisé mardi son premier vol charter international transportant 154 réfugiés somaliens réinstallés en Allemagne. Le groupe résidait dans les camps de réfugiés de Jijiga et Dolo Ado dans le sud de l’Ethiopie. Il comprenait 63 hommes et 91 femmes, dont 47 mineurs. »
« L’OIM a soutenu le Programme de réinstallation allemand dans ses efforts pour réinstaller 500 réfugiés vivant en Ethiopie en Allemagne depuis mars. Ces efforts sont étroitement coordonnés avec l’Agence éthiopienne pour les réfugiés et les rapatriés (ARRA), l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) et le Gouvernement fédéral allemand. »
Le communiqué de presse indique également que « 220 réfugiés supplémentaires décolleront pour l’Allemagne sur un deuxième vol affrété par l’OIM à la mi-novembre ».
Milun Jovanovic, officier des opérations de l’OIM en Ethiopie, a déclaré : « Il est important que nous facilitions la réinstallation des réfugiés en assurant un transport sûr. »
« Nous sommes heureux que les réfugiés aient pu profiter de ce vol charter facilité du décollage à l’atterrissage, sans tracas », a ajouté Jovanovic.
L’année dernière, après avoir soumis une demande d’information au gouvernement fédéral, le député de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), Leif-Erik Holm, a constaté que près de 30% des « demandeurs d’asile » étaient arrivés en Allemagne par avion, a rapporté Junge Freiheit.
Lire aussi: L'Europe de l'Est introduit un "mécanisme d'alerte" contre le multiculturalismeAvec les vols de « réinstallation des réfugiés » de l’ONU, qui partent désormais officiellement directement d’Afrique pour se rendre en Allemagne, ce chiffre de 30 % devrait augmenter considérablement.
Source: Voice of Europe, le 20 octobre 2019 – Traduction par Nouvelordremondial.cc
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Un curé qui mobilise ses paroissiens contre l’extension de la PMA
Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2019
Auteur : Michel Janva
Le curé de Chelles, dans le diocèse de Meaux, a diffusé et fait signer une lettre ouverte contre l’extension de la PMA. Celle-ci a été signée par près de 660 fidèles de la paroisse, qui s’étend sur les communes de Chelles, Vaires-sur-Marne, Brou-sur-Chantereine, Le Pin et Villevaudé.
« Nous vous demandons de nous écouter et d’abandonner ce projet de loi contraire à toutes nos traditions morales, bien éloigné des vraies priorités sociales qui devraient mobiliser tout notre pays, telles que la lutte contre la pauvreté et la défense de l’environnement ! »
Stéphanie Do député LREM de la dixième circonscription de Seine-et-Marne a reçu vendredi le père Philippe de Kergorlay, curé de la paroisse de Chelles, qui lui avait adressé cette lettre. Elle lui assure qu’elle informera le ministre de la santé de cette lettre ouverte.
Le prêtre dénonce une loi qu’il estime « délirante ».
« J’ai été aumônier d’hôpital et de prison pendant quinze ans, je suis prêtre à Chelles depuis douze ans. Toutes les semaines, je recueille trois ou quatre femmes seules avec enfant, que nous prenons en charge dans un foyer à Crouy-sur-Ourcq. Tous les jours, je me rends compte que la figure paternelle est incontournable ».
« Sur un sujet aussi grave qui touche la famille, il n’y a pas eu de vraie consultation. Déjà la loi sur le mariage homosexuel n’avait tenu aucun compte des multiples manifestations pacifiques de citoyens. À quoi bon voter puisque tout est décidé d’avance ? Seule la violence semble payer comme avec les Gilets jaunes… ».
Source : lesalonbeige
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Et pendant ce temps, la famille continue de se déliter
Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2019
Auteur : Michel Janva
Lu dans la lettre de Valeurs Actuelles :
Le pacte civil de solidarité, plus communément appelé “pacs”, a le vent en poupe. Le 13 octobre dernier, cette union d’un genre nouveau a fêté ses 20 ans. Et le nombre de couples pacsés ne cesse d’augmenter ; ainsi, l’année 1999 a accouché de 6 151 pacs (dont 2 600 entre personnes du même sexe) ; parallèlement, 293 544 mariages ont eu lieu sur la même période. La courbe des mariages connaît une progression inverse et chute d’année en année, ainsi, en 2017, l’on compte 233 915 mariages (7 244 mariages homosexuels) et près de 194 000 pacs (7 336 unions gays). Si une moitié des couples pacsés finit par franchir le pas et se marier, l’autre versant « voit dans le pacs une forme d’union alternative, plus moderne que le mariage et plus protectrice que l’union libre », analyse le sociologue Wilfried Rault dans les colonnes du Parisien. Au-delà de la symbolique, la différence majeure est économique, notamment dans le cadre d’une éventuelle succession. Une consommation comme une autre, en somme.Le PACS, c’est le retour de la répudiation simple : l’amour version kleenex (quand c’est usagé, on jette)… C’est beau le progrès…Source : lesalonbeige -
Agriculture biologique : les agriculteurs dénoncent des “tromperies” sur l’origine des produits
Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2019
Par Sebastien de Lyon le 23/10/2019Le bio bat des records. Il a pesé plus de 10 milliards d’euros l’année dernière et connu 15% de croissance, en plus d’être plébiscité par les consommateurs et les agriculteurs ! Le logo « bio » n’est pourtant pas toujours si vert.
22/10/2019
A Agen et Bayonne, les agriculteurs ont répondu à l’appel de la FNSEA. Ils se sont rendus dans les supermarchés afin de dénoncer ce qu’ils considèrent comme des tromperies sur l’étiquetage de produits d’alimentation.
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Tromperie sur l’origine
« Nous voulons montrer au consommateur qu’on est en train de les tromper sur l’origine. Les produits sont marqués biologiques, pourtant on ne connaît pas leur provenance, ni d’où vient leur certification biologique. En France, quand on met AB (Agriculture biologique, ndlr), on sait d’où ça vient, qu’il y a des gens qui sont derrière et qui nous certifient qu’il y a un processus particulier identifié » poursuit-il.
Le président de la FDSEA s’inquiète pour l’avenir. « Ce sont les pays qui vendent qui contrôlent et déclarent la conformité ou non. C’est le vrai problème du Ceta ou du Mercosur par exemple. On sait qu’il y a 96 produits phytosanitaires autorisés au Canada qui sont interdits en France ».
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