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  • Des colis pouvant contenir de l'explosif ont mobilisé les démineurs à la centrale nucléaire de Golfech

    Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2019
    Des traces de nitrate d’ammonium sur des colis ont provoqué le déplacement des démineurs, ce jeudi matin à la centrale nucléaire de Golfech
    Des traces de nitrate d’ammonium sur des colis ont provoqué le déplacement des démineurs, ce jeudi matin à la centrale nucléaire de GolfechPhoto DDM, Max Lagarrigue
    Publié le  , mis à jour 
    l'essentielLa présence de matière explosive détectée lors d'un contrôle de sécurité sur une palette contenant plusieurs colis, a provoqué la fermeture du site nucléaire de Golfech, ce jeudi. Les démineurs sont également intervenus sur les lieux. Pas d'explosif dans les cartons suspects mais du nitrate d'ammonium. Le périmètre de sécurité a été levé à 13 heures, le personnel du site nucléaire a pu alors regagner son travail.

    Des colis réceptionnés à la centrale nucléaire de Golfech (Tarn-et-Garonne) pouvant contenir des traces de matières explosives, ont provoqué la mobilisation des démineurs, ce jeudi. Il est environ 10 h 30 lorsqu'un transporteur dépose une palette de cinq colis dans l'espace magasin relais, hors partie industrielle du site nucléaire tarn-et-garonnais.

    Comme à chaque fois qu'un colis doit entrer, une procédure de contrôle est mise en place. C'est lors de cette vérification que les agents de sécurité du site via leur appareil de détection, ont signalé la présence d'explosif. Les chiens des gendarmes du PSPG (peloton de sécurité et de surveillance) de Golfech confirmant cette présence, un périmètre de mise en sécurité du personnel est mis en place en même temps qu'une équipe de démineurs est mobilisée. 

    Après avoir passé au crible les colis, les experts en déminage ont confirmé la présence de trace de nitrate d’ammonium, un produit généralement utilisé dans la fabrication d’engrais mais qui peut aussi servir à fabriquer de l’explosif. "C'est la raison pour laquelle nos appareils ont détecté de l'explosif", confirme-t-on du côté de la centrale. Au terme de ces vérifications vers 13 heures, les colis étant sans danger, le périmètre de sécurité de 450 mètres a été levé et les accès du site fermés durant toute cette procédure, rouverts. 

    Quant à la présence de ces traces de nitrate d'ammonium suspectes, elles auraient pu être déposées sur ces cartons contenants des sacs de déchets neufs lors de leur acheminement, le transporteur ayant pu transporter auparavant de l'engrais.

  • Attaque "antifas" à Rennes : réaction du Parti de la France

    Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé membre du Bureau Politique du Parti de la France

    Soutien aux étudiants du journal "L'étudiant libre" victimes d'une violente attaque des antifas lors de la réunion qu'ils tenaient mercredi soir à Rennes.

    Une fois de plus la vermine gauchiste, auxiliaire d'un Système qu'elle n'a jamais cessé de servir, a accompli ses basses œuvres.

    Espérons que les jeunes conservateurs agressés dont certains ont été sérieusement blessés auront ainsi compris que l'engagement politique national n'était pas un simple échange intellectuel entre "gentlemen" et ne se réduisait pas au seul champ du "méta".

  • LES FÉMINISTES D’EXTRÊME GAUCHE CONTRE LES FEMMES

    Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2019

    POSTÉ LE NOVEMBRE 26, 2019

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    La caste politico-médiatique ne parle, ces jours-ci, que du «Grenelle des violences conjugales» et de la manifestation du 23 novembre contre les «féminicides».

    La première chose qui saute aux yeux, à ce propos, est l’incroyable partialité des commentateurs.

    Ainsi, le 6 octobre, plusieurs centaines de milliers de «conservateurs» (600 000 selon les organisateurs) défilaient dans les rues de Paris contre le projet de loi bioéthique actuellement en discussion et les médias y virent un échec. Le 23 novembre, quelques dizaines de milliers de personnes (150 000 selon les organisateurs) sont présentées comme un succès inouï.

    Ce deux poids, deux mesures médiatique, à quelques semaines d’intervalle, est sidérant.

    Mais, plus fondamentalement, je suis abasourdi par l’irrationalité et l’incohérence des commentateurs.

    Je ne comprends pas comment on peut à la fois prétendre lutter contre les violences conjugales et rendre les divorces aussi faciles que la répudiation en terre coranique. La première cause de «violences faites aux femmes», comme disent les journalistes dans leur insupportable sabir, réside dans la fragilisation extrême du lien familial et la brutalité des séparations.

    Une autre cause de ces violences réside dans la violence des rapports sociaux, empreints de lutte des classes et de lutte des sexes.

    Si, comme Mme Schiappa le prétend, les relations entre hommes et femmes seront toujours des rapports d’oppresseurs à opprimées, alors rien ne pourra entraver l’augmentation des violences subies par les femmes.

    Je crois, pour ma part, à la fois comme Français (la France ayant été, il n’y a pas si longtemps, la terre de la galanterie, de l’amour courtois et du respect chevaleresque de la femme) et comme catholique (malgré tous les discours anti-religieux des féministes radicaux, comment oublier qu’en dehors du Dieu trinitaire, le personnage le plus important dans le dogme catholique est une femme, la Vierge Marie, qui règne sur toute la Création ?), que les hommes et les femmes sont essentiellement complémentaires et que rien n’impose cette absurde lutte des sexes que l’extrême gauche tente d’instrumentaliser depuis la fin de la lutte des classes.

    Les féministes d’extrême gauche portent ainsi une écrasante responsabilité dans les violences anti-féminines en «ensauvageant» la société et en répandant partout cette guerre des sexes. Exactement comme, naguère, les communistes portaient une écrasante responsabilité dans la misère ouvrière, en empêchant toute coopération entre ouvrier et patron.

    Cette propagande raconte n’importe quoi. J’ai lu que l’une des revendications féministes était que le gouvernement « fasse très vite une loi» contre les féminicides. Croit-on sérieusement qu’il soit actuellement autorisé de tuer une femme en France?

    Il existe encore un autre tabou dans cette agitation. D’après «Le Parisien», 52% des violeurs à Paris sont étrangers. Pourtant, des jeunes gens portant des pancartes invitant le gouvernement à prendre des mesures concrètes contre l’immigration et l’islamisation – qui ne sont certes pas pour rien dans l’ensauvagement de la France et, spécialement, dans l’oppression subie par trop de femmes – se sont fait chasser de la manifestation du 23 novembre comme «fachos».

    De toute évidence, les bien-pensants se soucient peu du sort des femmes. Ils utilisent simplement le féminisme pour casser ce qui tient encore debout dans notre société.

    Quand ils auront fini leur travail de sape, il y a fort à craindre que la charia prenne le relais et que la dignité de la femme régresse encore. Mais il est vrai que, pour Mme Schiappa, c’est la galanterie qui pose un problème !

     

    Source : les4verites

  • Strasbourg : LE "NOUVEAU DÉPART" DU PARLEMENT EUROPÉEN C'EST L'HORREUR ABSOLUE

    Publié par Guy Jovelin le 28 novembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé membre du Bureau du Parti de la France
     
    Dans son discours d'investiture prononcé mercredi devant le parlement européen réuni à Strasbourg, la nouvelle présidente de la Commission de Bruxelles, Ursula Von der Leyen, a annoncé un "nouveau départ" pour l'UE.
     
    Écologie punitive, soumission à la Stasi climatique internationaliste, renforcement du totalitarisme droit-de-l'hommien, acceptation idéologique de l'immigration massive, encouragement à la venue de nouveaux "réfugiés", dictature des bons sentiments, bureaucratie technocratique tatillonne et soviétoïde, obéissance à la financiarisation et aux lobbys, alignement sur les positions américaines, intégration atlantiste... C'est ce que madame Von der Leyen appelle "un nouveau départ".
     
    Nouveau départ vers le sur place de l'impuissance et du néant européen.
  • Le Parti de la France demande des mesures sévères contre la Turquie.

    Publié par Guy Jovelin le 27 novembre 2019

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    Un communiqué du Parti de la France.

    Mettant ses menaces à exécution, le maître chanteur Erdogan, dictateur de la République islamique de Turquie, vient de laisser plus de 50 000 "réfugiés" venus de Syrie, d'Irak et d'ailleurs, se répandre vers l'Europe, renouant ainsi avec sa politique de déversement migratoire qui, en 2015, avait conduit à une arrivée massive de clandestins en Allemagne, en Hongrie, en Autriche et en France. Déferlante que l'accord scélérat conclu entre Berlin et Ankara n'avait que momentanément jugulée, créant les conditions d'une véritable bombe à retardement et faisant ainsi d'Erdogan le maître du jeu et des frontières.

    Face à la perspective d'une nouvelle ruée migratoire vers le continent, l'Union européenne, loin de prendre les mesures de rétorsion qui s'imposeraient contre la Turquie, se prépare à payer rançon : 1,5 milliards d'Euros qui viendront s'ajouter aux 8 milliards versés en 2017 et aux 3 milliards accordés pour la période 2018/2019.
     
    Le Parti de la France condamne cette lâcheté de l'UE. Il demande l'arrêt immédiat de tout versement d'aide à la Turquie, la mise en place d'un verrouillage absolu des frontières extérieures de l'Europe, la fin immédiate des négociations sur son éventuelle intégration historiquement, identitairement et stratégiquement criminelle à l'Europe, ainsi que, dans une perspective d'endiguement, la mise en œuvre d'une série de sanctions économiques et politiques sévères contre le régime turque dont Erdogan veut faire la base de son ambition de reconstituer l'Empire ottoman et le retour au Pays des ressortissants turcs présents sur le sol européen.
     
    Pour le Parti de la France, on ne traite pas avec les maîtres chanteurs, on ne compose pas avec les États terroristes, on les réduit.
     
    Jean-François Touzé
    Délégué national du PdF