Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2019
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Par Francois le 24/11/2019
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Malmö (Suède) : 29 attaques à la bombe en 2019, de nombreux habitants quittent la ville, jadis saluée comme un paradis multiculturel
Publié par Guy Jovelin le 25 novembre 2019
Par Koba le 24/11/2019Suède – « Je crois qu’ils ont tiré sur quelqu’un juste en face de mon balcon », m’a dit mon ami.
Le coup de feu a retenti alors même que nous envoyions un SMS au sujet d’un autre récent acte de violence ici, dans la ville suédoise de Malmö, une voiture piégée qui a explosé dans un quartier résidentiel près de chez moi.
Les actes de violence sont si fréquents à Malmö que la nouvelle de l’un est effacée par la nouvelle d’un autre. Cette année, il y a déjà eu 29 attaques à la bombe dans une ville de seulement 320.000 habitants. Dans l’ensemble, la Suède est en bonne voie d’atteindre un rythme annuel de 150 explosions, soit environ trois par semaine. Il s’agit d’attaques perpétrées par des bandes criminelles qui ciblent habituellement d’autres criminels. Mais les victimes sont parfois des innocents. Dans un cas récent, par exemple, une étudiante a été grièvement blessée au visage lorsqu’elle est passée devant un magasin qui a explosé à Lund, à dix minutes en voiture de Malmö. Les attaques les plus spectaculaires ont laissé des villes entières comme Malmö craintives et traumatisées, comme l’a expliqué une grand-mère dans un récent article sur Facebook à propos d’un attentat à la bombe qui a fait sauter les fenêtres d’un immeuble résidentiel où dormaient ses petits-enfants – « ….deux enfants suédois très effrayés, dont la vie s’est écroulée ».
Le même jour, Fredrico Moreno, journaliste basé à Malmö, a comparé l’épidémie d’attentats à la bombe de sa ville à une vague de terreur : « Les bombes qui nous réveillent la nuit, qui explosent pour que les fenêtres en verre volent dans les chambres à coucher, ont pris en otage des milliers d’habitants de Malmö… Mes amis me disent en passant comment ils ont rénové ou changé leur maison pour que les enfants ne soient pas blessés s’il y a une explosion à proximité. »
Comme l’a dit la semaine dernière le chef de la police nationale suédoise, il n’y a « pas d’équivalent » à cette série d’attaques à la bombe dans aucun autre pays occidental. Et la violence s’étend au-delà des bombardements. Samedi, des hommes armés ont tué un garçon de 15 ans et en ont grièvement blessé un autre dans une pizzeria, quelques minutes après une nouvelle explosion à Malmö. Des témoins ont rapporté le bruit d’un « chargeur entier en train d’être vidé. »
(…) Pendant des années, les médias et l’establishment politique suédois ont fait de leur mieux pour minimiser ce phénomène, rejetant des préoccupations telles que la mienne comme des réactions alarmistes excessives. Malmö a été salué comme un succès multiculturel, malgré les preuves croissantes du contraire. « C’est une situation grave, mais la plupart des gens ne devraient pas s’inquiéter, car ils ne seront pas touchés « , a assuré le chef du renseignement du Département des opérations nationales de la Suède plus tôt cette semaine. On nous fait également comprendre que les auteurs de ces actes sont, comme l’a dit un fonctionnaire de police, « issus de groupes socio-économiquement faibles, de zones socio-économiquement faibles, et beaucoup sont peut-être des immigrés de deuxième ou de troisième génération ». (…)
Mais si un gouvernement ne protège pas sa population, alors les gens ordinaires trouveront un moyen de régler le problème eux-mêmes – parfois en partant tout simplement. En effet, les municipalités suédoises sous-peuplées dont le taux de criminalité est faible accueillent activement des familles aisées de Malmö et provenant d’autres zones dangereuses.
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Marche contre les violences faites aux femmes : deux hommes promenés en laisse et fouettés par des féministes…
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Un collectif de féministes qui dénonce les agressions commises par les étrangers violemment expulsé de la manif «Nous toutes»
Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2019
C’est assez troublant. Le nouveau collectif féministe Némésis a été expulsé par d’autres manifestants présents visiblement mécontents du message que ces dernières voulaient faire passer. Les vrais problèmes n’ont pas encore le droit d'être cités dans le combat féministe, mais gageons que ce collectif fera enfin et vraiment bouger les choses pour garantir le respect et le droit des femmes.
Vous pensiez que la manif #NousToutes était le dernier endroit où des femmes se feraient agresser? C'est hélas ce qui se passe lorsque vous défendez un féminisme non-conforme anti-immigration. En moins de 15min nos militantes ont été violemment expulsées par des manifestants.
Adoxa.info via lesobservateurs
Nos remerciements à Victoria Valentini
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Un Pont trop loin : Quand les solutions deviennent les problèmes, les emmerdes sont la solution !
Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2019
Il faut couper les ponts. Toutes ressemblances avec l’actualité n’est que fortuites. C’est du symbolique. Un ange a disparu, cela évitera de le transformer en démon et l’exécuteur, en surpoids, pourra espérer le séduire avec un régime adapté à leur nouvelle condition !
Bien évidemment, les commanditaires seront sous les feux de la justice, avec des enquêtes à rebondissements, en évitant de comprendre pourquoi un viaduc de milles ans tenait mieux qu’un pont centenaire, ce que les vieux ne peuvent pas reconnaître. (Alzheimer ?)
Alors, cette justice cherchera le coupable idéal, l’architecte ayant un bon avocat reportera l’accusation vers les services des ponts et chaussés, qui eux-mêmes expliqueront la défaillance communale et du maire de démontrer son manque de moyens pour ces ouvrages hors normes.
L’État fuyant ces responsabilités protégera son corps d’armes, chargé aussi des investigations, par son manquement de surveillance, les radars ne faisant plus la distinction entre un pigeon et un dinosaure.
Les donneurs d’ordre expliqueront que le cahier des charges n’avait pas de balances étalonnées pour les avertir, les indiques et autres panneaux étant si peu fiables par leur surnombre.
Les témoins en tous genres furent donc auditionnés, ce qui occupa la presse spécialisée dans le n’importe quoi à écouter n’importe qui pendant de nombreux mois, le temps que le prochain ouvrage s’écroule.
L’affaire n’étant pas réglée, après quelques années, l’enquête fût classée sans suite avec de nouvelles polémiques pour budgétiser la reconstruction indispensable de ce pont, favorisant les échanges cordiaux entre voisins rivaux.
La belle et la bête furent enterrées le même jour, mais pas à la même heure pour éviter une bousculade au bar du coin, trop petit pour accueillir tout ce beau monde.
Vous l’avez compris, ça envoi du steak, du bleu bien saignant, du juteux bien rouge, une cuisson à point, grillé comme il faut, avec ces odeurs et ces saveurs dont nous étions si friands en France.
Oui, nous étions ! Sous le pont…
MERCI Le 20 Novembre 2019
Source : leblogalupus