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  • les seuls quotas que nous devons envisager sont ceux de la rémigration progressive.

    Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2019

    L’image contient peut-être : une personne ou plus et ciel

    Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France

    Pathétique indigence du plan immigration dévoilé lundi soir par le premier ministre, Édouard Philippe. Un plan qui se résume, en réalité, a deux mesures: recours à des quotas d'immigration de travail et resserrement des conditions d'attribution de l'Aide médicale d'État (AME).

    Vieille lubie de la droite chiraco-pasquaienne, l'instauration de quotas d'immigration n'est au final qu'un élément supplémentaire du processus de grand remplacement. Remplacement cette fois des travailleurs français par des travailleurs étrangers sous le prétexte que la France manquerait de main d'œuvre dans un certain nombre de secteurs professionnels. Cette carence nationale est une réalité. Elle est due avant tout à l'inadaptation de notre système de formation et, justement, à la pression que fait peser sur les salaires l'emploi étranger. On le voit le serpent migratoire se mord la queue. C'est en inversant la tendance et en formant nos jeunes dans une approche réaliste des nécessités économiques que ces métiers retrouveront vie dans une vision entièrement nationale.

    Chacun aura, par ailleurs, compris que l'immigration par quotas, loin de se substituer aux autres formes de l'ingression globale (regroupement familial désormais élargi aux fratries, droit d'asile, clandestins...) viendra nécessairement s'y ajouter.

    Quant à la "réforme" de l'AME, elle consiste simplement à exiger des illégaux trois mois de séjour clandestin sur le territoire national. On croit rêver.

    Pour la France, son salut, sa liberté, sa sécurité, son identité et sa prospérité, un plan et un seul s'impose. C'est celui du Parti de la France: Immigration zéro par la fin du regroupement familial, un contrôle étanche aux frontières et un nettoyage des zones de non-France; retour au droit du sang; suppression de la double nationalité; application drastique dans un sens restrictif du droit d'asile; expulsion des délinquants; réservation des avantages sociaux aux seuls nationaux.

    Quant aux quotas, les seuls que nous devons envisager sont ceux de la rémigration progressive.

    Progressive, mais générale.
    JFT

     

  • C’est aux côtés de l’islamiste Abou Anas Nader que vont défiler Mélenchon, des féministes et une partie de la gauche contre l’islamophobie

    Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2019

    Par  le 05/11/2019
  • Les contradictions de Mgr Blanchet : il ne défila pas pour la PMA par crainte de récupération mais défile pour les musulmans…

    Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2019

    Contradictions et soumission au politiquement correct sont décidément des caractéristiques fondamentales des évêques de France.

    Portrait d’un énième évêque conciliaire bien dans le vent de la pensée unique…

    Mgr Dominique Blanchet, évêque de Belfort-Montbéliard et vice-président de la Conférence des évêques de France, qui refusa de défiler contre la PMA le 6 octobre dernier « par crainte de récupération » n’a pas eu le même soucis éthique pour défiler, au premier rang, samedi dernier contre « l’islamophobie » dans les rues de Belfort.

    « Nous avons à cœur, pour chacune des religions de l’Aire urbaine de Belfort-Montbéliard, de manifester que nous sommes ensemble dès lors qu’il s’agit de garantir l’expression religieuse de chacun et de nous engager devant tous, aux yeux de tous, comme étant artisans de paix » a-il expliqué durant le défilé.

    En revanche, avant la manifestation anti-PMA organisée par une vingtaine d’associations dont La Manif pour Tousil avait déconseillé à ses ouailles d’y participer :

    « J’invite les paroissiens à se manifester sur le sujet, mais pas à manifester. Je ne participerai pas, par crainte de récupération car le sujet est très sensible. Mais j’espère que la participation sera plus large qu’une manifestation catholique. »  

    En voici un qui a des pudeurs à géométrie variable.

    Avec de tels évêques à la tête de l’Eglise de France, grand remplacement et perversion des mœurs seront les deux mamelles de la France !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Émeutes urbaines: la répétition générale.

    Publié par Guy Jovelin le 05 novembre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé membre du Bureau Politique du Parti de la France
     
    Après Issy-Saint-Léger, Champigny-sur-Marne, Étampes, Émerainville, Grigny, Les Mureaux, Mantes-la-Jolie, Trappes, en région parisienne, mais aussi Toulouse ou Béziers, les scènes de guérilla urbaine qui viennent de se dérouler à Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines, ne sont que les premiers feux d'un embrasement général qui viendra tôt ou tard. 
     
    Qualifier, comme vient de le faire le Premier ministre Édouard Philippe, cette flambée de guet-apens contre la police et les pompiers de "violences commises par de petites bandes d'imbéciles et d'irresponsables" relève au mieux du déni, au pire du foutage de gueule.
     
    Dans les deux cas, l'impuissance de l'Etat à maintenir l'ordre en usant, avant qu'il ne soit trop tard, de tous les moyens de répression nécessaires, est criminelle car elle ouvre grand la porte aux prémices d'une guerre qui, pour se dérouler sur notre sol, ne sera pas, pour autant, une guerre civile.
     
    Les bandes ethniques organisées et offensives qui passent désormais délibérément à l'action le font par haine globale et viscérale de la France. Une France qu'ils rêvent de voir à feux et à sang.
     
    Nous n'en sommes encore qu'au stade de la répétition générale. Quand la pièce se jouera il sera trop tard pour regretter de n'avoir pas agi a temps.
  • Incendie à Castres : les voitures étaient-elles piégées pour blesser les pompiers?

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2019
    Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour plusieurs feux de véhicules cette nuit-là
    Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour plusieurs feux de véhicules cette nuit-làPhoto DDM, P.B.
    Les pompiers ont déposé plusieurs plaintes suite à leur intervention de la nuit du 27 au 28 octobre. Les véhicules auraient été piégés. "Des dispositifs" auraient été placés dans les voitures afin d’exploser lors des interventions des forces de sécurité, indiquent des représentants syndicaux des sapeurs-pompiers.

    Depuis plusieurs semaines, les pompiers ont dû intervenir à plusieurs reprises à Castres, pour des feux de poubelles et de voitures. Ces incidents ont pour point commun des représailles à des actions de la police et de la justice contre des trafics commis dans ces quartiers. Le maire de Castres Pascal Bugis était sorti de son silence, pour fustiger le «laxisme des services de l’Etat».

    Dans la nuit du dimanche 27 au lundi 28 octobre à Castres (Tarn), dans le quartier de Lameilhé, rue Goya,  quatre voitures et trois poubelles ont été incendiées entre 19h et 0h30, nécessitant de nouveau l’intervention des sapeurs-pompiers. Deux ont été blessés au cours de cette nuit. L’un relativement légèrement, l’autre plus sérieusement, aux tympans, avec 15 jours d’ITTà la clé (interruption totale de travail).

    Plaintes déposées

    Plusieurs plaintes ont été déposées, par les pompiers blessés et le SDIS81 (service départemental d’incendie et de secours). "Les voitures auraient été piégées, avec l’intention de blesser les pompiers", selon Damien Garel du syndicat autonome des pompiers du Tarn (SPP-PATS) et porte-parole de l’intersyndicale CGT. «Il y avait clairement une intention de blesser les intervenants. Ça ne fait aucun doute. Il y avait dans plusieurs véhicules des dispositifs qui n’ont rien à faire dans une voiture, sinon pour blesser des gens», s’insurge le représentant syndical. «Pour les sapeurs-pompiers qui sont intervenus ce soir-là, il n’y a pas de doute : ils ont bien été victimes d’un acte de malveillance.  Les collègues sont particulièrement inquiets».

    L’enquête se poursuit pour retrouver les auteurs

    Si des plaintes ont bien été déposées, c’est l’enquête qui déterminera si ces dispositifs étaient là volontairement pour blesser les sapeurs-pompiers. Entendus par les enquêteurs, les propriétaires des voitures incendiées ont précisé que les engins explosifs, à savoir des bombes aérosols, ne leur appartenaient pas et avaient été placés par un tiers.

    «C’est maintenant à la justice de faire son travail, et nous avons toute confiance. À chaque fois que des collègues sont blessés, la réponse pénale est adaptée, les agresseurs sont toujours sévèrement punis. Encore faut-il bien sûr arrêter les coupables», ajoutait hier Damien Garel.

    Un communiqué du syndicat autonome circule depuis plusieurs jours, demandant aux sapeurs-pompiers en intervention de rester vigilent suite à ces incidents.

     
    Ra. B.
     
     
    Source : ladepeche.fr