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  • Bureau Politique du Parti de la France du 11 janvier 2020

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2020

    L’image contient peut-être : 3 personnes, personnes assises

    Malgré l'absence de plusieurs de ses membres empêchés de se rendre à Paris par les grèves à la SNCF, le Bureau politique du Parti de la France s'est réuni samedi 11 janvier autour de son nouveau Président Thomas Joly.

    Ambiance particulièrement studieuse et constructive pour cette séance de travail. A l'ordre du jour, la réorganisation administrative du mouvement, la refonte totale du site internet qui sera effective dans les prochaines semaines, la préparation d'événements ponctuels (réunions, manifestations, meetings, défilé du 1er mai), la rénovation de nos codes couleurs et de notre charte graphique pour le matériel de propagande, l'élaboration d'un document présentant le Parti et ses idées-forces, le développement de l'implantation et le lancement d'une campagne d'adhésions au printemps.

    Une partie importante de cette réunion de l'instance dirigeante du Parti fut consacrée aux élections municipales de mars prochain.

    Le Parti de la France présentera un certain nombre de listes dans des communes où aucune autre candidature du camp national ne sera déposée. Il en soutiendra activement d'autres. L'annonce en sera faite dans les prochaines semaines.

    Le Président du Parti de la France Thomas Joly a insisté sur le nécessaire engagement de chacun, sur la cohésion de l'ensemble, et sur la responsabilité politique qui est la nôtre: consolider et développer une structure rigoureuse et responsable, et nous tenir prêts dans la perspective de l'inéluctable recomposition de la droite nationale

     
     
     
     
  • Angleterre : des antispécistes s’en prennent à des aveugles parce qu’ils ont un chien-guide

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2020

    lesobservateurs

    Jonathan Attenborough, 30 ans, complètement aveugle depuis cinq ans, compte sur son « compagnon de tous les instants », un labrador très bien entraîné appelé Sam.

    Le chien-guide lui a permis de mener une vie plus épanouie depuis qu’il lui a été attribué en avril 2018.

    Cependant, après avoir été pris à partie à deux reprises par des personnes se disant militantes contre la cruauté envers les animaux, il commencé à être inquiet. Et il n’est pas le seul.

     

    La première fois, dit Jonathan, c’était en avril 2019. « J’étais dans un café à Edimbourg avec Sam, quand un homme s’est approché et m’a dit que ce n’était pas bien d’avoir un chien d’aveugle. Il m’a dit que les chiens devraient pouvoir courir librement dans les champs au lieu de traîner dans les cafés. Au début, j’ai cru qu’il plaisantait. Il n’était pas spécialement hostile, il voulait juste parler. Après que je lui ai expliqué comment se passait la vie de Sam, il n’était pas convaincu à 100 %, mais il semblait beaucoup plus ouvert à l’idée. »

    Le deuxième incident était plus « agressif ». Jonathan et un autre propriétaire de chien-guide se trouvaient dans un bar de Portsmouth et ont été abordés par une femme se disant « activiste des droits des animaux », qui les a qualifiés de « cruels ». « Elle se tenait très près de notre visage et nous a mis très mal à l’aise. Je n’en revenais pas. J’ai essayé de lui parler mais elle n’écoutait pas, tant elle était en colère. C’est arrivé à un tel point que son mari est venu la chercher pour l’éloigner. » Jonathan ajoute : « Maintenant, je pense beaucoup à ça, je me demande si cela va se reproduire et ce que les gens pensent. Mais depuis que le sujet est passé dans les médias, j’ai reçu beaucoup de soutien, ce qui fait plaisir. Les gens n’arrivent pas à croire que des choses pareilles puissent arriver aux propriétaires de chiens-guides. »

    Jonathan est convaincu que Sam est très heureux d’être son chien-guide : « Sam est toujours prêt à me suivre partout où je vais. Il est mon compagnon de tout les instants et peut courir par moments sans laisse comme n’importe quel autre chien. Il n’est jamais laissé seul à la maison comme le sont certains animaux de compagnie. Je sens qu’il remue la queue tout le temps. Le lien entre lui et moi est sans pareil. »

    Un autre aveugle a dit au Times qu’il avait aussi rencontré de l’hostilité. Il se trouvait avec son premier chien-guide, une labrador noire appelée Winnie, qui lui avait été attribuée en juillet 2018.

     

    « Quelqu’un s’est approché et m’a demandé pourquoi je trouvais moral d’avoir un chien-guide. Franchement, je trouve ce genre de remarque tout à fait déplacé. Il y a tellement de choses pour lesquelles je compte sur ma chienne-guide. Je suis beaucoup plus sûr de moi grâce à elle. Elle a grandement amélioré ma confiance en moi et je dois dire que sans chiens-guides je ne pense pas que je serais ici. »

    « Heureusement, ces incidents sont très rares », dit Tim Stafford, de l’organisation caritative Guide Dogs. « Le bien-être de nos chiens est une priorité absolue et ils sont élevés et entraînés avec beaucoup de soin. »

    Source en anglais : Daily Mail
    Résumé Cenator

  • Le réfugié mineur non accompagné qui bat tous les records

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2020

    Angoulême : il affirme avoir 16 ans, ses empreintes révèlent qu’il en a 47

    Par charentelibre.fr, publié le 4 avril 2019 à 16h04, modifié à20h43.

    Deux hommes qui se sont présentés ces derniers jours au commissariat de police d’Angoulême en affirmant qu’ils avaient 16 ans et souhaitant bénéficier des mesures de protection dévolues aux mineurs étrangers non-accompagnés (MNA) ont été confondus par leurs empreintes. L’un affirmant être Malien avait en réalité 21 ans et était né en Guinée selon un  jugement supplétif d’acte de naissance, l’autre disant être Guinéen mais il a … 47 ans, selon le passeport qu’il avait dernièrement présenté en Espagne.

    La Charente qui observe une recrudescence de demandes de MNA a mis en place des procédures nouvelles, notamment un partage de fichiers et de renseignements avec plusieurs pays étrangers.

    source:

    via lesobservateurs

  • Pologne : des « cours de patriotisme » dès la crèche

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2020

    Par  le 11/01/2020

    Tout en reconnaissant que l’enseignement du patriotisme à l’école est utile pour “renforcer l’identification avec l’État”, un magazine polonais se demande si son contenu doit nécessairement porter sur la chose militaire.

    (…) Le magazine s’est également entretenu avec le fondateur d’un “groupe artistique qui organise ‘des cours d’histoire vivants et joyeux pour les enfants’”. Il déclare que son “entreprise est active dans toute la Pologne depuis douze ans et qu’il n’a toujours reçu que des éloges pour permettre aux enfants d’examiner de près, de toucher et d’essayer sa grande collection d’armes et d’accessoires.

    Depuis l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement “davantage pro-histoire”, ajoute-t-il, “le nombre de demandes de devis a encore augmenté.”

    Interrogée par Polityka, la sociologue Weronika Grzebalska, auteure d’une thèse sur le militarisme en Pologne, relie ces “cours de patriotisme” à d’autres phénomènes populaires dans le pays comme la participation d’adultes à des groupes paramilitaires ou à des reconstitutions historiques. Ou encore l’inscription d’enfants à des “colonies militaires intitulées ‘Forces spéciales’ ou ‘Jeune commando’”.

    (…) Courrier International via fdesouche

  • Municipales 2020 à Lens – Le RN parachute Bruno Clavet, ancien mannequin gay

    Publié par Guy Jovelin le 12 janvier 2020

    Comme nous l’avons déjà indiqué, déjà très présent du temps du FN de Marine Le Pen, le lobby LGBT poursuit son essor au sein du Rassemblement National. A l’occasion des élections municipales, on ne compte plus les parachutages de “mignons”, placés en tête de liste d’une commune où le parti a fait de bons résultats aux derniers scrutins.

    A Lens, c’est Bruno Clavet que le RN a décidé de parachuter. Les médias du système se contentent sobrement de signaler que Bruno Clavet est un ancien candidat à l’émission X Factor (2009) et qu’il a également été naguère mannequin. Habitué à l’époque à poser en caleçon, Bruno Clavet a aussi beaucoup posé pour les milieux homosexuels (comme Julien Odoul, autre candidat RN, lui tête de liste à Sens).

    Différents médias et milieux LGBT s’amusent d’ailleurs beaucoup en observant cette conquête des rouages du Rassemblement National qui s’opère naturellement au détriment des militants historiques du parti.

    Désigné pour être le candidat du Rassemblement National à Lens (Pas-de-Calais) pour les municipales de mars 2020, Bruno Clavet (30 ans) est pourtant Marseillais d’origine.

    Après un passage à l’UMP de Sarkozy, Bruno Clavet dit s’être encarté FN depuis l’élection de Marine Le Pen à la tête du parti, en 2011. Il a déjà été candidat mariniste aux précédentes élections municipales. Mais à l’époque, c’était à la mairie du IIIe arrondissement de Paris, dans le quartier homosexuel du Marais, où il avait obtenu 4,99% des voix.

    Yannick Barbe@YannickBarbe

    Petit rappel: était interviewé ds notre dossier "Quand le drague les gays" dans @TETUmag de décembre

    Devenu au fil du temps très proche de Julien SanchezBruno Bilde et Steeve Briois, tous homosexuels notoires, Bruno Clavet avait été promu chargé de communication à la Mairie d’Hénin- Beaumont.

    Au journal La Voix du Nord, Bruno Clavet a tenté de justifier sa candidature à Lens. Parmi les attaches imparables à cette commune du Pas-de-Calais énoncées par Bruno Clavet, celle-ci qui restera dans les annales : “Le conjoint de ma sœur était lensois“.

    Aux élections municipales de 2014, le FN avait réussi à obtenir 4 sièges au conseil municipal de Lens. Ces quatre élus ont démissionné…

    Auteur : 

    Source : medias-presse.info