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  • 1er mai, fête du travail et de la concorde sociale.

    Publié par Guy Jovelin le 01 mai 2020

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    1er mai, fête du travail et de la concorde sociale.

    Il existe deux manières de fêter le 1er mai; deux approches antagonistes qui témoignent que pour certains la lutte des classes, même repeinte aux couleurs rouges, roses et arc-en-ciel de l'extrême gauche mondialiste, écolo et sociétale, restent une réalité tandis que pour d'autres la valeur Travail répond de la cohésion nationale.

    La première est celle de ceux qui s'inscrivent dans la très gauche ligne des organisations syndicales et politiques qui initièrent aux Etats Unis d'abord, en France ensuite à partir de 1889 sous l'impulsion de la Deuxième Internationale, le 1er mai comme journée internationale des travailleurs destinée à activer les luttes et à célébrer les actions ouvrières et révolutionnaires. Ceux là, CGT et FO en tête, suivies de près par l'ensemble des structures du Système, feignent d'oublier que ce jour fut décidé férié par la loi du 24 avril 1941.

    La seconde est la nôtre. Nationalistes et nationaux ont toujours eu à cœur de chanter les vertus du travail et d'appeler à la considération sociale que la Nation doit à ses travailleurs. Notre 1er mai à nous est la fête du travail et de la Concorde sociale. Travail accompli indispensable à la force et à la prospérité de la France, nécessaire à la vie des familles et utile à la conscience morale que chacun doit avoir de soi. Concorde sociale qui est un des piliers fondamentaux de l'édifice national.

    Dans cette France aujourd'hui à l'arrêt, où bien des deuils et des angoisses étreignent le coeur de nos compatriotes, où le chômage boosté par la crise du COVID-19 et sa dramatique gestion gouvernementale, ne cesse de déployer ses ailes de corbeau, où une crise économique et sociale bien plus ravageuse que la crise sanitaire se dessine, où règnent la confusion et l'oubli des valeurs, où des populations venues d'ailleurs pèsent à la baisse depuis cinquante ans sur les salaires ou vivent dans une oisiveté rendue possible par les trafics, il est bon de rappeler que la recherche de l'accomplissement professionnel de chacun est le gage premier et permanent de l'intérêt général et de l'ambition nationale.

    Le travail ne saurait être une fin en soi. Le développement de l'Homme suppose que soit laissée une place importante à la culture, à la pensée, à la famille, à la religion, à la vie privée et au temps dit libre.

    Mais il ne saurait exister de Nation grande, libre et puissante sans que ses enfants ne consentissent l'effort de la servir, dans le courage, la constance et la volonté de bien faire, là où le sort, le choix, la nécessité ou le talent les ont conduits à oeuvrer.

    Fêtons ce 1er mai si particulier, à l'intérieur de nous même, en attendant les fêtes grandioses qui seront celles des célébrations du travail dans l'Etat national pour lequel nous nous battons et dont l'édification à venir est la raison même de notre engagement.

    Jean-François Touzé
    Délégué général du Parti de la France.

     
     
     
     
  • Toulouse : 4 fusillades en un week-end malgré le confinement

    Publié par Guy Jovelin le 01 mai 2020

    fusillades
    © Pixabay

    Toulouse deviendrait-elle Chicago ? Le confinement n’arrête pas les incidents impliquant les armes à feu. Entre règlements de compte et mystère sur les raisons de ces violences, pas moins de quatre fusillades ont été recensées en l’espace d’un week-end à Toulouse. 

    On a beau être en période de confinement, les armes sortent de chez elles. Et pas seules, les tireurs les accompagnent tout autant. En l’espace de trois jours, trois fusillades ont été répertoriées sur la ville rose, blessant trois personnes. 

    Une première fusillade vendredi soir à Bagatelle

    Vendredi soir, vers 20h30, les pompiers découvrent, rue du Lot dans le quartier de Bagatelle, un jeune homme de 18 ans touché à la gorge. La victime a été pris pour cible par un ou plusieurs assaillants quelques minutes plus tôt. Opéré dans la nuit, ses jours sont désormais hors de dangers mais le mystère demeure encore sur les raisons de son agression. Selon La Dépêche, la famille de la victime serait bien connu de la justice, notamment deux d’entre eux auraient déjà été condamnés lourdement par la cour d’assise. Mais les enquêteurs vont avoir du mal à établir les raisons de cette tentative d’homicide, puisque même la victime ou les quelques témoins ne souhaitent visiblement collaborer avec les autorités, rapporte le quotidien. L’arme n’a pas non plus été retrouvée. Le parquet a confié l’enquête au service régional de la police judiciaire de Toulouse. 

    Lire aussi : Mirail : une nuit d’émeutes en plein confinement

    Il prie dans son appartement et reçoit une balle

    Samedi soir, dans le quartier du Mirail, c’est cette fois un habitant du quartier qui a été touché par un tir. Alors qu’il priait dans sa maison, une balle aurait ricoché dans son appartement avant de le toucher à la main. Âgée de 51 ans, la victime a été transformé en urgence au CHU Purpan. Là encore, l’origine du tir n’a pas été éclaircie et on ne sait même pas si le quinquagénaire était visé, souligne La Dépêche. 

    Une heure et demie plus tard, dans le quartier d’Empalot, rue d’Antibes, une dizaine de coups de feu ont été entendus par des habitants du secteur. Selon des témoins, « une personne habillée en noir et vêtue d’un casque de moto se serait approchée d’un logement situé au rez-de-chaussé, arme à la main, avant d’ouvrir le feu », rapporte le quotidien. Une dizaine d’impacts de balle ont été relevés sur la vitre. Le locataire âgé de 54 ans, pris pour cible n’a pas été blessé. Là encore, peu de précisions autour de cette tentative d’homicide, les enquêteurs du Groupe d’appui judiciaire devront faire la lumière sur cette exécution manquée. 

    Lire aussi : La liste des quartiers sensibles de Haute-Garonne

    À Croix-Daurade, un homme dans un état grave

    Le week-end s’est conclu comme il a commencé. Vers 20h30, rue du Général Albert d’Amade (quartier Croix-Daurade), un homme a été blessé par balles. Selon des témoins, « un individu serait sorti d’une berline noire qui circulait à proximité de la victime », rapporte La Dépêche. Une dizaine de coups de feu ont été entendu. La victime a été transportée à l’hôpital et se trouverait dans un état « grave », selon le journal. L’agression aurait eu lieu près d’un point de vente de stupéfiants. L’enquête est désormais entre les mains du parquet de Toulouse. 

    La rédaction d’Infos-Toulouse

     

    Source : infos-toulouse

  • La liste des quartiers sensibles de Haute-Garonne

    Place des Faons Toulouse quartiers sensiblesBâtiment de la place des faons dans le quartier des Izards à Toulouse.

    La liste des quartiers sensibles a été mise à jour. En Haute-Garonne, pas moins de six zones sont définis par le ministère de la Ville. 

    Toulouse et Cugnaux sont principalement concernés par la liste établie par le ministère de la Ville. Six zones sont définies comme quartiers sensibles où délinquance, violences urbaines, règlements de compte, viols, trafics de drogue ou d’armes, ou encore implantation de l’islamisme bénéficient d’un terreau favorable. 

    Des quartiers où la vie est de plus en plus rythmée par les délinquants, et où la police est régulièrement prise pour cible par les trafiquants en tout genre. Des émeutes ont même éclatées épisodiquement dans ces territoires qualifiés de « non-droit » par une partie de la classe politique. Un climat dont les premières victimes sont les habitants eux-mêmes, souvent forcés de chercher à aller vivre ailleurs par tous les moyens possibles. 

    Les quartiers sensibles en Haute-Garonne

    Classés en quatre niveaux, selon la gravité de la situation, Toulouse compte pas moins de cinq zones répertoriées.

    Niveau 1:
    Toulouse: le Grand Mirail (Reynerie-Bellefontaine-Faourette-Bagatelle-Bordelongue)

    Niveau 2:
    Toulouse: Empalot
    Toulouse: les Izards

    Niveau 4:
    Cugnaux: Vivier
    Toulouse: Bourbaki
    Toulouse: Ginestous

    Lire aussi : On lui doit les quartiers du Mirail et d’Empalot

    Ailleurs en Occitanie 

    11 AUDE
    Niveau 2:
    Carcassonne: la Conte
    Carcassonne: Ozanam
    Niveau 3:
    Carcassonne: Cité saint Jacques
    Narbonne: Razimbaud

    30 GARD
    Niveau 1:
    Nimes: ZUP Pissevin-Valdegour
    Niveau 2:
    Nimes: Mas de Mingue
    Nimes: Chemin bas d’Avignon
    Niveau 3:
    Ales: les Cevennes-Prés saint Jean
    Niveau 4:
    Bagnols sur Cèze: les Escanaux
    Beaucaire: Centre
    Saint Gilles: Sabatot

    32 GERS
    Niveau 4:
    Auch: ZUP Garros

    34 HERAULT
    Niveau 1:
    Montpellier: la Paillade-Hauts de Massane
    Niveau 2:
    Beziers: la Deveze
    Montpellier: le Petit Bard-Pergola
    Sète: Ile de Thau
    Niveau 3:
    Béziers: les Arènes
    Montpellier: Cité Gely
    Montpellier: les Cevennes
    Niveau 4:
    Béziers: Centre-Faubourg
    Frontignan: Quartier Nord
    Lunel: la Roquette
    Montpellier: Pas du Loup-Val de Croze-Paul Valéry

    65 HAUTE PYRENEES
    Niveau 3:
    Tarbes: Laubadere

    81 TARN
    Niveau 3:
    Castres: Laden-Petit Train
    Niveau 4:
    Albi: Cantepau
    Albi: Lapanouse-Saint Martin
    Carmaux: Quartiers Nord (Cambous-Cerou-Europe)
    Castres: Aillot-Bisséous
    Gaillac: Vieux Gaillac

    82 TARN ET GARONNE
    Niveau 4:
    Montauban: les Chenes

    La rédaction d’Infos-Toulouse.

     

    Source : infos-toulouse