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  • Bruxelles : le Ministre de l’Emploi propose un monument à la mémoire des victimes de la colonisation place du Trône

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

    Par  le 23/06/2020

    A la veille du 60e anniversaire de l’indépendance du Congo, DéFI, en la personne de Bernard Clerfayt, propose la création d’un “espace de mémoire de premier plan au coeur de la capitale” pour les victimes de la colonisation, nous indique son cabinet, confirmant une information de La Dernière Heure.

    Tout en rappelant la position du parti, défavorable au retrait des statues de Léopold II mais pour leur contextualisation, Bernard Clerfayt propose d’ériger un monument en hommage aux victimes de la colonosation et identifie pour l’accueillir la place du Trône, lieu emblématique et symbolique de la capitale, connu pour sa statue de Léopold II, taguée à plusieurs reprises ces dernières semaines. […]

    Bernard Cerfayt propose encore que le futur monument soit financé par une souscription nationale et suggère de confier le développement de ce dossier à la Fondation Roi Baudouin. […]

    BX1 via fdesouche

  • Convention citoyenne : Taxes. Interdictions. Obligations. Bisous.

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

    Posté par h16  Il y a 16 heures

    Convention citoyenne : Taxes. Interdictions. Obligations. Bisous.

    Poussé par le Président Macron et parrainé par le CESE, le Conseil Econotruc, Sociamachin et Enviromentable pendant plus de neuf mois, la « Convention Citoyenne pour le climat », assemblage hétéroclite de citoyens prétendument tirés au hasard, est en train d’accoucher de ses premières propositions.

    Comme tout accouchement après neuf mois de gestations intestines et picrocholines, la douleur est déjà sensible dans les rapports qu’en font les folliculaires : le choix des propositions qu’il a fallu écarter montre déjà quelques fractures dans nos citoyens conventionnés, et on sent que celles qui ont pour le moment été retenues promettent d’apporter du grain à moudre aux rédactions journalistiques, aux frémissants plateaux-télé et aux trépidantes émissions de radio dont on va inévitablement nous abreuver les prochains jours.

    Le mandat, définit en fin d’année dernière, était aussi clair qu’on peut l’être lorsqu’on parle environnement, climat, pollution, énergies « renouvelables » et autres gimmicks acidulés du moment : proposer des mesures visant à « réduire d’au moins 40% les émissions des gaz à effet de serre d’ici à 2030 dans une logique de justice sociale ». Difficile de faire à la fois plus large, plus inclusif, plus conscientisé et plus pertinent au moment où le pays peine à se relever d’une crise sanitaire puis économique mémorable et dont on imagine sans mal qu’elle va laisser de profondes blessures.

    Et pour s’en convaincre, il suffit de parcourir la liste des fameuses propositions citoyennes (150, sapristi, faisons péter la volumétrie) qui devraient réduire les gaz à effet de serre de 40% d’ici 2030 : contraindre la durée légale du travail à 28 heures par semaine (proposition étonnamment rejetée en ces temps de déroute économique complète), interdire dès 2025 la vente de véhicules neufs « très émetteurs » de CO2, taxer pour lever des fonds afin d’améliorer le forfait mobilité durable, les bonus-malus écologiques, les aides à la location longue durée pour véhicules propres, interdire les centres-villes aux véhicules « polluants », limiter la vitesse à 110km/h sur l’autoroute, contraindre fortement la publicité et interdire leurs panneaux dans l’espace public extérieur, bannir la publicité pour des produits à fort bilan carbone, taxer lourdement l’alimentation ultra-transformée, interdire les semences OGM, taxer fortement les engrais azotés, contraindre une forte diminution de leur utilisation ainsi que celle des pesticides et interdire les plus dangereux d’ici 2035, interdire les terrasses chauffées ou l’éclairage des magasins la nuit, taxer les dividendes des sociétés pour financer la transformation de l’outil productif, taxer, interdire, contraindre, etc…

    On le comprend : le citoyen ne s’est pas laissé berner par les discours ultra-libéraux de tous les journaux, toutes les radios, toutes les télévisions, de tous les politiciens qui n’en peuvent plus de vouloir toujours plus de liberté et de laisser-aller ou de laisser-faire. Au moins les propositions de ces citoyens conventionnés pour le climat sont, elles, enracinées dans le bon sens paysan de l’interdiction tous azimuts, de la taxe en pluie drue et des contraintes multiples qui ne laissent enfin plus libre cours aux idées libérales folles dans lesquelles (à l’évidence) se meurt le pays !

    150 propositions dont le potentiel à se transformer en autant de belles lois bien solides, avec sanctions, interdictions, obligations et taxations à la clé, c’est du pain béni pour un Emmanuel Macron qui, autrement, était acculé à devoir réformer un pays dont tout indique qu’il ne le veut surtout pas.

    Cerise constitutionnelle sur le gâteau citoyen : la Convention penche lourdement pour l’inscription dans la Constitution de la préservation de la biodiversité, de l’environnement et de la lutte contre le dérèglement climatique, d’une part parce que cette préservation est à la fois simple à définir et encore plus simple à mettre en oeuvre, et surtout parce que le principe de précaution, précédente modification constitutionnelle d’importance, n’a en effet pas suffit pour paralyser totalement le pays pendant la crise sanitaire où toutes les administrations, tétanisée par la peur de n’avoir justement pas pris assez de précautions, ont noyé tout le monde dans les règlements et interdictions.

    Un monde à l’arrêt total est possible, ne nous laissons pas stopper en si bon chemin !

    Parions que cette idée géniale de constitutionnaliser un concept flou remportera un vif succès, tout comme il était évident – comme je l’avais prédit il y a quelques temps déjà – que nous n’échapperons pas à la sanctuarisation du concept dangereusement idiot d’écocide avec inscription dans le code pénal et sanctions afférentes.

    Ah, décidément, cette Convention citoyenne machin-bidule va probablement débouler au mieux sur des douzaines d’articles de lois mal torchés écrit par quelques Tâcherons En Marche, au pire sur un référendum bancal et ajouter plusieurs paires de lourds boulets législatifs à un pays qui n’en peut plus de sombrer dans des contraintes, des taxes et des interdictions délétères.

    Le pompon est que, sachant qu’un arrêt presque complet de l’économie pendant 3 mois n’a pas réussi à faire baisser les gaz à effet de serre (ils ont benoîtement continué d’augmenter, lançant un joli pied de nez aux écolos hystériques), on se doute que l’empilement de ces bondieuseries (bien plus communistes qu’écolos au passage) n’aura aucun impact de ce côté-là.

    Dans un monde où chaque gain de richesse se traduit directement par une baisse de la pollution, la France et son peuple contrariant a paradoxalement choisi l’appauvrissement, la décroissance, le repli sur soi et la misère (énergétique, industrielle et surtout intellectuelle) en feignant de croire que ça lui permettrait d’être plus « verte », plus « propre », plus « conscientisée ».

    Pour cette France totalement déconnectée du réel, le « Monde d’Après » sera résolument serein, tendre et cotonneux, rempli de cette délicieuse insouciance que les enfants partagent lorsque les soucis n’existent plus. En attendant, il semble que la seule solution pour y arriver soit de taxer, d’interdire, d’obliger et (bientôt, ne vous inquiétez pas) de passer par les armes ceux qui s’y opposeront.

    En toute gentillesse solidaire, bien sûr.

     

    Source : ndf

  • Faire plier la Turquie.

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

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    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    L'agression opérée le 10 juin par la marine turque contre une frégate française en mission au large de la Libye pour le compte de l'organisation atlantique, constitue bel et bien  un acte de guerre. En se contentant de dénoncer un "incident qui met en lumière la mort célébrale de l'OTAN", Emmanuel Macron tente d'égarer  les esprits par une réaction verbale sans portée, dérivative et hors sujet.
     
    Dérivative, parce que l'OTAN dont la Turquie demeure un membre choyé par la pseudo-communauté occidentale, loin d'être au bord de l'agonie reste, malgré les prises de position distanciées de Donald Trump, un instrument majeur de la domination américaine et continue de pousser ses pions à l'est de l'Europe.
     
    Hors sujet, car ce que l'on attendrait d'un Président de la République française serait une mise en garde sévère, naturellement suivie d'effets si cet avertissement ultime n'était pas entendu, adressée à la Turquie contre toute nouvelle action touchant des éléments militaires ou civils de notre souveraineté nationale.
     
    La Turquie a enclenché une offensive globale visant à terme à la reconstitution de l'empire ottoman. Offensive économique au Maghreb, identitaire dans les Balkans, militaire en Libye ou Ankara soutient et arme le GNA islamiste et s'oppose frontalement au Maréchal Aftar qui bénéficie quant à lui de l'aide de l'Egypte qui reste pour la Turquie un objectif majeur à abattre. La proximité d'Erdogan avec les frères musulmans éradiqués par le Président Al Sissi et la volonté d'Ankara de peser durablement et profondément sur l'avenir de la région contiennent les ferments d'un conflit programmé.
     
    La France doit choisir son camp. 
     
    Si la France était un État national, la Turquie se verrait avertie que tout nouvel "incident" maritime mettant en cause un de nos bâtiments se traduirait par une riposte immédiate et que tout navire hostile serait coulé.
     
    La Turquie serait prévenue que toute intrusion politique visant à mobiliser sa diaspora contre les intérêts français entraînerait la rupture des relations diplomatiques et l'expulsion sans délais de tous ses ressortissants hors du territoire national.
     
    La Turquie saurait que tout chantage à l'ouverture des voies nationales serait sanctionné par des rétorsions économiques drastiques. Mais il est vrai que dans un État national, le rétablissement des frontières et la volonté d'en finir par tous les moyens avec la déferlante avant de l'inverser par la rémigration,  rendraient toute tentative en ce sens d'Ankara nulle et non avenue.
     
    Dans un État national, enfin, la France, étant sortie de l'OTAN et s'étant dotée des moyens diplomatiques et militaires de sa politique, serait libre de ses actions extérieures et de ses alliances nécessaires.
  • Pantin (93) : le syndicat Alliance dénonce une fresque comparant la Police au Ku Klux Klan

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

    Par  le 23/06/2020

    « Je pense que stigmatiser la police, c’est faire de la politique et satisfaire un certain électorat. Je pense qu’aujourd’hui, quand on est élu, on doit être responsable et on ne doit pas stigmatiser la police française. Et on demande au ministre de l’Intérieur de se saisir de cette affaire puisque les fresques aujourd’hui sont en train de fleurir un petit peu partout.

    Il y a Stains, il y a également Pantin avec un policier qui a une cagoule du Ku Klux Klan sur la tête, qui est en train de pointer son arme sur un enfant qui lui tend des bonbons. Ca n’a pas sa place sur le territoire français. La police française n’agit pas de cette manière-là. Et plus on va tolérer ce genre de choses, plus on va attiser la haine envers les policiers. » […]

    Grégory Goupil, Alliance 93, France Info

    Vidéo à partir d’1h21 :

     
     
    Source : fdesouche
  • Les dessous d’Assa Traoré

    Publié par Guy Jovelin le 23 juin 2020

    L’étrange nébuleuse associative autour d’Assa Traoré main dans la main avec l’assurance maladie pour subventionner la subversion d’Assa Traoré : employée d’une fondation Rothschildl la nouvelle égérie « indigéniste »  de l’anti-racisme et de l’extrême-gauche aurait été en arrêt maladie bidon pendant un an si l’on en croit les révélations du journal Causeur qui titre « L’étrange arrêt-maladie d’Assa Traoré ».

    « La porte-parole du comité Vérité pour Adama était salariée de l’Oeuvre de protection des enfants juifs-Baron Edmond de Rothschild jusqu’en décembre 2019. Elle a milité pendant un an alors qu’elle était officiellement en arrêt-maladie » écrit le journaliste Erwan Seznec dans l’édition d’hier. Il souligne pareillement la mystification du discours victimaire de celle qu’il nomme « l’Angela Davis tricolore » :

    « Assa Traoré répète souvent qu’elle a appris le décès d’Adama alors qu’elle se trouvait en Croatie pour « déplacement professionnel ». C’est exact, mais à préciser. En tant qu’éducatrice spécialisée, elle encadrait avec une collègue un groupe de sept adolescents en voyage à Rabac, une station balnéaire de la côte Adriatique. Une semaine de vacances offerte à des jeunes défavorisés, ce qui cadre mal, bien sûr, avec le discours martelé par le comité Adama sur les populations racisées-abandonnées-persécutées des cités. »

    Dans un livre paru au Seuil en mars 2017 et écrit avec Elsa Vigoureux, du Nouvel Observateur, continue Causeur, Assa Traoré « n’évoque ces détails. Elle ‘remercie la fondation Opej pour sa compréhension et son soutien’, en dernière page, sans développer le sigle. Selon nos informations, ce soutien n’était pas seulement moral. Assa Traoré n’est pas retournée travailler après le décès de son demi-frère. Elle s’est mise en arrêt maladie. Un arrêt qui s’est prolongé, nous a-t-elle précisé, jusqu’en août 2017. »

    Un arrêt bien rempli à en juger par la suite de l’article :

    « [on] peut facilement vérifier qu’elle a fait preuve durant ces douze mois d’un allant formidable, enchaînant les meetings, les déplacements et les interviews. Elle reçoit Libération pour un portrait publié en septembre 2016. Le 13 octobre suivant, elle répond à Jeune Afrique. Le 5 novembre, porte-voix en main, elle anime un petit cortège place de la République, à Paris. Le 17 novembre, elle se manifeste au conseil municipal de Beaumont-sur-Oise, pour réclamer la vérité. Le 31 décembre, elle met en ligne ses vœux en vidéo sur Médiapart, à l’invitation du site. En janvier 2017, elle tient la vedette dans l’émission La Clique, de Mouloud Achour. En 2018, même énergie : elle parle à Bastamag et Reporterre, elle se déplace en banlieue. Elle fait un entretien croisé avec Angela Davis, publié par la revue Ballast, en janvier 2019. Elle est en Une des Inrocks en avril 2019 et annonce qu’elle relance sa ligne de vêtements, dans la rubrique « Où est le cool ? ». En avril 2019, elle publie un second livre chez Stock, avec l’universitaire Geoffroy de Lagasnerie. Elle termine l’année 2019 comme vedette d’une soirée de soutien réunissant l’écrivain Edouard Louis, l’économiste Thomas Porcher, l’ex-footballeur Vikash Dhorasoo, la chanteuse Camélia Jordana, la militante Rokhaya Diallo, etc. ».

    « Tout ceci est-il bien conforme avec le repos que suppose un arrêt-maladie ? » se demande Erwan Seznec de Causeur :

    « La question semble embarrasser au plus haut point l’Opej. ‘Oui, elle travaillait chez nous, mais nous avons reçu des directives du siège et nous ne devons pas en parler’, nous a répondu l’Opej de Sarcelles. Au siège, le directeur général Johan Zittoun, répond que ‘les salariés sont soumis au secret professionnel le plus strict, ce qui les empêche de divulguer la moindre information concernant [le] personnel’. Il invoque ‘l’impérieuse nécessité de préserver les travailleurs sociaux afin qu’ils restent concentrés sur leur mission quotidienne’.

    « Mission ? Assa Traoré n’aurait-elle pas plutôt bénéficié d’un arrêt de travail complaisamment prolongé ? »

    Pour quelqu’un qui se dit une victime du « racisme systémique » des Français et de l’Etat, voilà un traitement plus que bienveillant, complaisant ! Dont bien de simples Français de souche aimeraient bénéficier…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info