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« Complice principale de Jeffrey Epstein, la fugitive Ghislaine Maxwell se cache à Paris, avenue Matignon, et fréquente l’ambassade israélienne selon la presse britannique. La preuve par la source.
Le scoop a été dévoilé en ligne samedi soir : près de 48 heures après, AUCUN média français traditionnel ne l’a pour l’instant rapporté.
The Sun, quotidien populaire britannique, a révélé la dernière localisation (après Israël) de Ghislaine Maxwell, la complice emblématique du pédocriminel et agent du Mossad Jeffrey Epstein : Paris, à deux pas de Matignon.
Mieux encore : selon The Sun, elle a été aperçue quittant l’ambassade d’Israël. Le journal a même souligné ce détail-clé dans son infographie. »
L’individu arrêté sur les lieux après avoir tué 3 personnes et en avoir gravement blessé trois autres samedi à Reading (Angleterre) s’appelle Khairi Saadallah, un « réfugié » libyen de 25 ans. Pour résumer son parcours : – Arrivé clandestinement de Libye en 2012 – Régularisé en tant que réfugié en 2018 – Connu des services de renseignement – Condamné à 2 ans de prison en octobre pour une longue série d’agressions, y compris une « agression raciste sur un policier » – A craché au visage de la juge qui l’a condamné – Sorti de prison il y a 2 semaines, après seulement 8 mois
« Le parc était plein, beaucoup de gens étaient assis pour boire un verre avec des amis quand une personne est arrivée, a soudainement crié des mots inintelligibles et est allée vers un groupe, essayant de les attaquer au couteau », a raconté un des témoins. « Il a poignardé trois d’entre eux, gravement dans le cou et sous les bras, puis il s’est retourné et a commencé à courir vers moi, on s’est retournés et on a commencé à courir », a expliqué un coach sportif de 20 ans. « Quand il a réalisé qu’il ne pourrait pas nous rattraper, il a réussi à atteindre une personne à l’arrière du cou et quand il a vu que tout le monde commençait à courir, il est parti du parc », a-t-il raconté. (source RTS.ch)
Signalons que dans une série de posts sur Facebook, son frère Mo Saadallah a écrit « Fuck England » et, en réponse à un article de Sky News indiquant que l’attaque au couteau de Reading était considérée comme un acte terroriste, il a écrit : « Ce n’est pas vrai. Khairi s’est défendu contre des pays racistes. Liberté pour mon frère ! » (source) Sa jeune sœur a également défendu avec passion Mo Saadallah après son arrestation.
Pour imiter la pensée afro-gauchiste, disons que « c’est tout une admirable famille de réfugiés qui lutte courageusement contre le « racisme systémique » de ces sales Blancs ! »
Il y a des clichés insolites qui prêtent à rire même si c’est finalement dramatique. Voici donc un antiraciste blanc vêtu d’un t-shirt Black Lives Matter arrêté par un policier noir. Alors que, rappelons-le, le mouvement Black Lives Matter est un mouvement noir (financé par le milliardaire mondialiste George Soros) qui proteste notamment contre les violences arbitraires que les Noirs subiraient de la part de policiers blancs. Tel est pris qui croyait prendre.
L'Allemagne a reconfiné mardi deux régions de l'ouest du pays pour lutter contre la propagation du Covid-19. Au total, ce sont plus 600'000 personnes qui sont concernées.
L'Allemagne, présentée en modèle de gestion de la pandémie de coronavirus, a annoncé en matinée pour la première fois un reconfinement partiel à l'échelle locale face à l'éruption d'un important foyer de contamination parti du plus grand abattoir d'Europe où plus de 1500 cas d'infections ont été détectés.
Quelque 360'000 habitants de la circonscription de Gütersloh, en Rhénanie du Nord-Westphalie, sont concernés.
Dans l'après-midi, un deuxième reconfinement a été ordonné dans la circonscription de Warendorf, soit plus de 280'000 habitants aussi dans l'ouest du pays.
Val-d’Oise. Deux ateliers de fabrication de faux papiers démantelés à Cormeilles-en-Parisis et Survilliers
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Saisi de l’affaire par l’Office central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi d’étrangers, la brigade mobile de recherches (Bmr) de Marseille constate que l’identité de l’expéditeur et son adresse sont fausses, mais pas le numéro de téléphone. Grâce à celui-ci, les enquêteurs identifient un suspect, un Algérien de 35 ans domicilié à Marseille. Les investigations et les écoutes effectuées permettent d’établir que l’homme est en contact avec trois individus en région parisienne. Si ces dernier échangent en langage codé, les policiers comprennent toutefois qu’ils ont affaire à un trafic de faux papiers. Les trois complices présumés, sont identifiés à leur tour.
Carte d’identité, permis, carte Vitale
Alors que la plupart des documents était envoyée à un réseau de passeurs en Grèce, pour servir à des personnes présentant une ressemblance avec le titulaire officiel des papiers, les enquêteurs découvrent qu’une autre partie était écoulée dans le quartier de Barbès à Paris 18e par les trois faussaires parisiens. Ces derniers approchaient les personnes en situation irrégulière. La plupart du temps il s’agissait de compatriotes algériens, mais également de Tunisiens.