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Deux patrouilles de police sont tombées dans un guet-apens ce jeudi soir dans le XVIIe arrondissement de Paris. Un suspect bien connu des forces de l’ordre a été interpellé à son domicile ce vendredi matin.
Il était environ 22 heures lorsque deux véhicules de police se sont dirigés vers la porte de Saint-Ouen à Paris, suite à un groupe de jeunes qui perturbaient la circulation. Les policiers ont remarqué une cinquantaine d’individus devant le parc André-Bréchet.
(…) Le fonctionnaire au volant qui était visé a tout juste eu le temps de fermer sa fenêtre précise une source policière. Le mortier a explosé sur le véhicule.
Une pluie de projectiles s’est ensuite abattue sur les voitures des policiers qui ont préféré quitter les lieux, face aux nombreux agresseurs.
ISTANBUL, 3 juillet (Reuters) – Un tribunal turc a condamné pour « terrorisme » un ancien dirigeant de la branche turque d’Amnesty International à une peine de prison de plus de six ans et trois autres militants de l’organisation à deux ans et un mois, a annoncé vendredi l’ONG.
Sept militants d’Amnesty International arrêtés il y a trois ans dans le cadre de la répression menée par le régime de Recep Tayyip Erdogan à la suite du coup d’Etat manqué de 2016, ont en revanche été acquittés.
Val-d’Oise : la colère des parents de Thomas, 23 ans, poignardé à mort à Sarcelles
Le jeune homme est mort à l’hôpital à Paris dans la nuit du 11 juin après avoir été agressé à Sarcelles dans la nuit du 10 mai par un homme, sorti depuis peu de prison. Ses parents accablés par la souffrance témoignent de leur désarroi.
C’est un couple brisé par la douleur après le décès de leur fils unique. Thomas est mort dans la nuit du 10 au 11 juin des suites de ses blessures à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris (XIII e ). Ce jeune homme de 23 ans avait été poignardé à Sarcelles (Val-d’Oise) dans la nuit du 9 au 10 mai dernier alors qu’il fêtait la fin de son contrat avec des amis, par un quadragénaire, sorti depuis peu de prison. Ses parents, Philippe et Nathalie, ne cachent pas leur colère. Après avoir passé 35 ans dans le quartier du Village à Sarcelles, Philippe estime que la ville dans laquelle leur fils a grandi a changé pour devenir une zone de non-droit.
Ce soir-là, rue Chaussy, Thomas, passionné de musique et de freeride en trottinette, venait de terminer un contrat dans une enseigne de bricolage avant de retrouver un emploi chez un distributeur de boissons.
Le changement, la "nouvelle étape" promise consiste pour Macron à remplacer un technocrate ex-juppéiste par un technocrate ex-sarkoziste.
Il est vrai qu'en substituant Jean Castex à Édouard Philippe, le Président de la République ne poursuit qu'un but et un seul: nommer à Matignon un simple collaborateur, exécutant docile de ses exigences, et avoir ainsi les mains libres pour exercer l'entièreté des responsabilités du pouvoir.
Il devra bientôt assumer aussi l'entièreté de la responsabilité des catastrophes qui viennent.
Jean-François Touzé Délégué général du Parti de la France.
Airbus a dévoilé, jeudi 2 juillet, les détails de son plan de restructuration pour affronter la crise de l’aéronautique. Le site toulousain devrait perdre 3.378 postes. Sans compter les filiales…
Inquiétude grandissante à Toulouse après l’annonce du plan de restructuration entrepris par Airbus. En quelques mois, le géant de l’aéronautique est passé d’une situation idéale à une crise sans précédente. Un revirement inédit dans l’histoire de l’avionneur.
Après avoir prévenu la suppression de 15.000 emplois dans le monde, dont 5.000 postes en France, le groupe a détaillé aux syndicats ses futurs projets. Et sans surprise, Toulouse est la ville la plus touchée, avec la suppression programmée de 3.378 postes, 980 au siège et 2.398 dans les usines, a rapporté le syndicat Force Ouvrière. À Saint-Nazaire, 386 postes sont menacés et 484 à Nantes.
Des postes supprimés dans les filiales
Du côté des filiales, l’ATR, basée à Toulouse a annoncé dans un communiqué, jeudi 2 juillet la suppression de 204 emplois, dont 186 en France. Un plan « cohérent avec la réduction des activités », due à la crise du coronavirus et ses conséquences dans le secteur de l’aéronautique. L’entreprise toulousaine a expliqué vouloir garantir « autant que possible » ce redimensionnement des effectifs sur la base du volontariat, d’ici l’automne 2020.
À Rochefort, Mérignac, Méaulte et Saint-Nazaire, la situation est similaire dans la filiale Stelia, où plusieurs centaines de postes pourraient également être supprimés. Le porte-parole de Force ouvrière, Jean-François Knepper craint « un cataclysme social à l’automne » et attend de l’État une réaction. Les négociations devraient se dérouler sur plusieurs mois, les syndicats se donnant pour objectif : « zéro licenciements secs ».
Actuellement, le groupe Airbus et ses filiales emploient près de 30.000 salariés à Toulouse. Pas étonnant que ce soit sur ces sites que les répercussions sont les plus importantes en cas de crise.