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airbus

  •  Aéronautique

    Publié par Guy de Laferrière le 11 avril 2023

    lafautearousseau

     Aéronautique : Airbus monte en puissance en Chine et prend une longueur d'avance sur Boeing... :

    https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-brief-eco/aeronautique-airbus-monte-en-puissance-en-chine-et-prend-une-longueur-d-avance-sur-boeing_5729399.html

     

    https://static.latribune.fr/full_width/62616/premiers-clients-annonces-pour-le-c919-le-premier-avion-de-ligne-chinois.jpg

     

  • Difficultés à s’entendre avec Airbus sur le programme d’avion de combat européen SCAF, préférence des états européens pour le matériel de guerre américain : Quand le patron de Dassault Aviation dézingue les travers de l’Europe de la Défense

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2022

    Quand Eric Trappier, patron de Dassault Aviation, dézingue les travers de l’Europe de la Défense

    Difficultés à s’entendre avec Airbus sur le programme d’avion de combat européen SCAF, préférence des états européens pour le matériel de guerre américain, taxonomie qui pénalise les industriels de l’armement européens… Le patron de Dassault Aviation souligne les difficultés à faire émerger une véritable Europe de la Défense sur le plan industriel.

    www.usinenouvelle.com via fdesouche

  • Crise à Airbus : 3.378 emplois menacés à Toulouse, les filiales emboîtent le pas

    Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2020

    crise
    Dans les usines de Toulouse-Blagnac, 2.398 emplois devraient être supprimés. © Pixabay

    Airbus a dévoilé, jeudi 2 juillet, les détails de son plan de restructuration pour affronter la crise de l’aéronautique. Le site toulousain devrait perdre 3.378 postes. Sans compter les filiales… 

    Inquiétude grandissante à Toulouse après l’annonce du plan de restructuration entrepris par Airbus. En quelques mois, le géant de l’aéronautique est passé d’une situation idéale à une crise sans précédente. Un revirement inédit dans l’histoire de l’avionneur. 

    Lire aussi : Airbus : 5.000 emplois menacés en France

    Après avoir prévenu la suppression de 15.000 emplois dans le monde, dont 5.000 postes en France, le groupe a détaillé aux syndicats ses futurs projets. Et sans surprise, Toulouse est la ville la plus touchée, avec la suppression programmée de 3.378 postes, 980 au siège et 2.398 dans les usines, a rapporté le syndicat Force Ouvrière. À Saint-Nazaire, 386 postes sont menacés et 484 à Nantes. 

    Des postes supprimés dans les filiales

    Du côté des filiales, l’ATR, basée à Toulouse a annoncé dans un communiqué, jeudi 2 juillet la suppression de 204 emplois, dont 186 en France. Un plan « cohérent avec la réduction des activités », due à la crise du coronavirus et ses conséquences dans le secteur de l’aéronautique. L’entreprise toulousaine a expliqué vouloir garantir « autant que possible » ce redimensionnement des effectifs sur la base du volontariat, d’ici l’automne 2020. 

    Lire aussi : Charles Gave : « L’exploitation de l’homme par le technocrate ne fait que commencer »

    À Rochefort, Mérignac, Méaulte et Saint-Nazaire, la situation est similaire dans la filiale Stelia, où plusieurs centaines de postes pourraient également être supprimés. Le porte-parole de Force ouvrière, Jean-François Knepper craint « un cataclysme social à l’automne » et attend de l’État une réaction. Les négociations devraient se dérouler sur plusieurs mois, les syndicats se donnant pour objectif : « zéro licenciements secs ». 

    Actuellement, le groupe Airbus et ses filiales emploient près de 30.000 salariés à Toulouse. Pas étonnant que ce soit sur ces sites que les répercussions sont les plus importantes en cas de crise. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Airbus : 5.000 emplois menacés en France

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2020

    Airbus
    © Pixabay

    Le groupe Airbus a dévoilé les premières pistes de son plan de restructuration, mardi 30 juin. Près de 15.000 emplois sont menacés, dont 5.000 en France. 

    C’était attendu depuis la crise du coronavirus et la baisse de commandes auprès d’Airbus. Le géant de l’aéronautique va devoir faire face à « la crise la plus grave que ce secteur ait connu », a prévenu son président exécutif Guillaume Faury. 

    Pas de retour à la normale avant 2023

    Airbus prévoit la suppression de près de 15.000 emplois dans le monde, soit 11% des effectifs totaux qui composent le groupe. 5.000 d’entre eux seront en France, d’ici l’été 2021. Un plan lié à l’effondrement du nombre de commandes d’avion auprès du constructeur européen qui estime un retour à la normale d’ici 2023, voire 2025 au minimum. 

    Lire aussi : Charles Gave : « L’exploitation de l’homme par le technocrate ne fait que commencer »

    Les syndicats ont fait part de leur inquiétude, notamment sur des possibles licenciements forcés. Dans un premier temps, le groupe entend joué sur le non-remplacement des départs à la retraite et le non-remplacement des postes. Mais Airbus espère avant tout « assurer la durabilité de l’entreprise », a justifié son président exécutif, tout en assurant « limiter l’impact social de cette adaptation »

    Inquiétude chez les sous-traitants

    Le ministère de l’Économie a réagit dans la soirée du 30 juin, jugeant « excessifs », les chiffres avancés par le groupe. L’exécutif souhaite que le constructeur aéronautique « utilise pleinement les instruments mis en place par le gouvernement pour réduire le nombre de suppressions d’emplois »

    L’inquiétude à Toulouse règne, notamment sur le devenir des entreprises sous-traitantes d’Airbus. Cette baisse de commande pourrait conduire à des faillites et de nombreuses suppressions d’emploi. Et il ne sera pas facile de relancer l’activité. Toulouse sera-t-elle la première ville à subir la crise économique post-Covid ?

     

    Source : infos-toulouse