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  • 6 juillet 1962 : assassinat de Roger Degueldre....

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2020

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    Source : synthesenationale

  • Lot-et-Garonne : la gendarme Mélanie Lemée, 25 ans, tuée par un individu « défavorablement connu » (MàJ : 18 secondes dans le 20H de TF1)

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2020

    06/07/2020

    Vidéo :

     

    05/07/2020

    Lot-et-Garonne : la gendarme Mélanie Lemée décède après avoir été percutée par un automobiliste

    […]

    un conducteur, ayant déjà fait deux refus d’obtempérer plus tôt dans la soirée, tente à nouveau de se soustraire en faisant un écart et percute alors violemment la gendarme Mélanie Lemée, qui se trouve sur le bas-côté de la chaussée.

    Gravement blessée, la militaire est rapidement prise en charge sur place par les secours. En dépit des soins prodigués, elle décède des suites de ses blessures.

    […]

    Le conducteur, défavorablement connu des services, a immédiatement été interpellé par les gendarmes.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Gendinfo

  • Bordeaux : nouvelle agression au couteau impliquant des migrants

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2020

    Par  le 05/07/2020

    Bordeaux : deux nouveaux blessés dans une agression au couteau

    Les faits ont eu lieu vers 4h30 du matin, ce dimanche, quai Louis-XVIII, dans le centre de Bordeaux, au cours d’une rixe entre deux groupes de mineurs et jeunes majeurs isolés. Un suspect a été interpellé et se trouve en garde à vue.

    Une nouvelle agression au couteau a fait deux victimes, durant la nuit de samedi à dimanche, dans le centre-ville de Bordeaux. Les faits ont eu…

    L’article dans son intégralité sur Sud Ouest via fdesouche

  • 5 juillet 1962 : le massacre d’Oran, avec la complicité de De Gaulle

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2020

    Auteur : Rédaction

    Le général Katz, une belle ordure

    Ce 5 juillet à Oran (environ 100 000 Européens y résidaient encore à ce moment), alors que le prétendu « cessez-le-feu » avec le FLN était en vigueur depuis 3 mois, suite à la trahison gaulliste, se déroula une terrible chasse aux Blancs.

    « On égorgea, on tua au revolver ou à la mitraillette, on prit des rues en enfilade, tuant tout ce qui bougeait.
    On pénétra dans les restaurants, les magasins, les appartements, assassinant les pauvres gens avec des raffinements de cruauté, arrachant des yeux, coupant des membres. On vit même des femmes musulmanes dépecer des vivants avec les dents. »

    Bilan : 3 000 morts et disparus.

    Le pire, dans cette histoire, est que 18 000 soldats français étaient stationnés à Oran. Ils reçurent l’ordre de l’infâme général Katz de rester cantonnés dans leurs casernes, sans intervenir.
    Katz téléphona à De Gaulle pour l’informer de l’ampleur du massacre. Le chef de l’Etat répondit « ne bougez pas ».
    Les accords d’Évian (article V) prévoyaient pourtant que l’armée française puisse intervenir, au cas où la sécurité de ressortissants français serait menacée. Mais les 18 000 soldats français reçurent l’ordre de rester dans les casernes.
    Enlèvements et assassinats se poursuivirent jusqu’à la tombée de la nuit.

    « C’est le seul exemple dans l’histoire d’un massacre perpétré sur une communauté sans défense, en présence d’une armée qui laisse assassiner ses ressortissants sans intervenir.

    La tuerie dura près de six heures. Lorsque à 17 heures les gendarmes français sortirent de leur trou à rats, le calme revint aussitôt.

    Les cadavres jonchaient la ville, on en trouva pendus aux crochets des bouchers, dans des poubelles…

    Dans la chaleur de juillet, la puanteur était horrible.

    Les soldats français et algériens déversèrent par camions les cadavres dans le Petit Lac et les couvrirent de chaux vive. Nul ne sait le bilan exact de cette Saint-Barthélemy.

    On parlait dans les semaines qui suivirent de 3.000 morts et disparus.

    C’est le chiffre que donna le sinistre De Broglie et que reprit le ministre André Santini.

    Ce qui est sûr, c’est que le massacre était prémédité car les tueries commencèrent à la même heure aux quatre coins de la ville qui était vaste.

    On peut presque dire que les morts eurent de la chance, car le sort des disparus qui furent signalés par des témoins dans les mines de l’Algérie, dans des prisons sordides, dans des maisons closes et des bars à soldats, traités en esclaves ou torturés fut sans nul doute pire encore. » (témoignage de Geneviève de Ternant)

    La décision venait de l’Elysée mais trois jours après le massacre, De Gaulle osera : « mis à part quelques enlèvements, ça se passe bien Algérie ».
    Le général Katz, de son côté, écrira dans son journal le soir-même du drame : « les Pieds-noirs, pour avoir caché sciemment les hommes de l’OAS pendant quatre mois, n’ont eu que ce qu’ils méritaient. »

    A lire, un dossier sur l’affaire « Katz – massacre d’Oran » ici.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le Canard Enchaîné rappelle le rôle de De Gaulle et le cynisme de Katz

     

    Source : contre-info

  • Marseille : Karim Zéribi au tribunal pour détournement de fonds

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2020

    Par  le 04/07/2020

    « Porte-parole » des banlieues, ex-conseiller du ministre de l’Intérieur Jean-Pierre Chevènement, figure médiatique, Karim Zéribi, 53 ans, est jugé à partir de lundi à Marseille, soupçonné d’avoir détourné à des fins politiques personnelles des sommes provenant de subventions versées à des associations. Directeur de l’engagement sociétal et de la transition écologique de la SNCF, éditorialiste dans l’émission « Balance ton post ! » après avoir été une des « Grandes gueules » de RMC, cet ancien député européen (2012 à 2014) se dit victime d’un complot politique.

    Son défenseur Me Michel Pezet plaidera la relaxe de l’élu marseillais dont le dernier mandat de conseiller municipal élu en 2014 sous l’étiquette EELV vient de s’achever, et qui comparaît pour abus de confiance et abus de biens sociaux. Ses ennuis judiciaires débutent par une lettre anonyme adressée en juin 2012 au parquet de Marseille, dénonçant notamment l’emploi fictif de colleurs d’affiches au sein d’Agir pour la Citoyenneté (APC), une association fondée en 2001 par Karim Zéribi, dont il avait abandonné la présidence en 2006 pour se consacrer à ses combats politiques.

    Au terme d’une longue enquête, la juge d’instruction a conclu à «une confusion des genres entre le milieu associatif et l’intérêt politique de ses campagnes, le premier finançant le second». […]

    msn via fdesouche