Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2020

Source : ndf
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Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2020

Source : ndf
Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2020

« Le mardi 30 juin 2020, pliant à son tour sous l’air du temps, le roi des Belges a présenté « ses plus profonds regrets pour les blessures infligées lors de la période coloniale belge au Congo ».
Des « regrets » qui n’avaient pas lieu d’être.
Pour au moins quatre raisons principales :
1) En 1885 quand fut internationalement reconnu l’État indépendant du Congo (EIC), les esclavagistes zanzibarites dépeuplaient tout l’est du pays. Ayant largement franchi le fleuve Congo, ils étaient présents le long de la Lualaba, de l’Uélé, dans le bassin de la Lomami, un des affluents majeurs du Congo, et ils avaient quasiment atteint la rivière Mongala.
Dans cette immense région, de 1890 à 1896, au péril de leur vie, de courageux belges menèrent la « campagne antiesclavagiste ». Au lieu de lassantes et injustifiables excuses, c’est tout au contraire la mémoire de ces hommes que le roi des Belges devrait célébrer.
Parmi eux, les capitaines Francis Dhanis, Oscar Michaux, van Kerckhoven, Pierre Ponthier, Alphonse Jacques, Cyriaque Gillain, Louis Napoléon Chaltin, Nicolas Tobback et bien d’autres. Pour avoir voulu arracher les malheureux noirs aux esclavagistes musulmans venus de Zanzibar et de la péninsule arabe, Arthur Hodister et ses compagnons ainsi que le lieutenant Joseph Lippens et le sergent Henri De Bruyne furent massacrés. Les deux derniers eurent auparavant les mains et les pieds coupés par les esclavagistes. Leurs statues vont-elles être déboulonnées ? Probablement, tant l’ethno-masochisme des Européens semble être sans limites.
2) Dans le Congo belge les services publics fonctionnaient et des voies de communication avaient été créées à partir du néant, tant pour ce qui était de la navigation fluviale, que des voies ferrées, des aérodromes ou des ports. Quant au réseau routier, il était exceptionnellement dense, des pistes parfaitement entretenues permettant de traverser le pays d’ouest en est et du nord au sud en toutes saisons. Après l’indépendance, ces voies de communication disparurent, littéralement « mangées » par la brousse ou la forêt.
3) La Belgique n’a pas pillé le Congo. Et pourtant, cette colonie fut une de celles dans lesquelles les profits furent les plus importants. Mais, à partir de 1908, les impôts payés par les consortiums et les privés furent en totalité investis sur place. Le Congo belge pouvait donc subvenir à ses besoins, le plan de développement décennal ainsi que les investissements étant financés par les recettes locales tirées de l’impôt des grandes sociétés.
4) Parmi toutes les puissances coloniales, la Belgique fut la seule à avoir défini un plan cohérent de développement de sa colonie en partant d’une constatation qui était que tout devait y être fait à partir du néant. En matière d’éducation, la France et la Grande Bretagne saupoudrèrent leurs colonies d’Afrique sud-saharienne tandis que la Belgique choisit de procéder par étapes et de commencer par bien développer le primaire, puis le secondaire et enfin seulement le supérieur. Mais, pour que ce plan puisse être efficace, il lui fallait encore une certaine durée.
Or, il fut interrompu par l’indépendance alors qu’il fallait à la Belgique au moins deux décennies supplémentaires pour le mener à son terme.
Alors, certes, il y eut une période sombre dans l’histoire de la colonisation belge, avec une politique d’exploitation fondée sur le travail forcé et dénoncée en 1899 par Joseph Conrad dans son livre « Au cœur des ténèbres ».
Mais ce ne fut qu’une parenthèse de quelques années.
A partir de 1908, le Congo rentra en effet dans l’Etat de droit et ses ressources ne servirent plus qu’à sa mise en valeur.Voilà pourquoi, en plus d’être regrettables, les « regrets » du roi des Belges sont une insulte à de grandes figures belges et à l’Histoire de son pays.
Pour en savoir plus, voir mon livre Histoire de l’Afrique des origines à nos jours, pp 552-555 et 701-715. »
Source : contre-info
Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2020

Cenator : Erdogan encourage ce changement en arguant que le sultan Mehmet avait déjà transformé l’édifice, et qu’une reconversion en mosquée s’impose par respect envers ce sultan. Le respect dans l’islam ne va pas aux descendants de l’Empire byzantin mais aux musulmans, leur prophète ayant déclaré que tout territoire une fois conquis appartient à jamais aux musulmans.
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Erdoğan ne s’arrête jamais. En perte de vitesse dans son pays (chute dans les sondages et revers électoraux aux dernières municipales), le néo-sultan fait feu de tout bois : intervention en Libye, occupation d’une partie de la Syrie, forages illégaux en Méditerranée, agressions contre des pétroliers italiens – la liste est longue.
Mais en Turquie même, la situation est délicate. La crise économique est lourde et le mécontentement croissant. Les pertes d’Istanbul et d’Ankara aux municipales de 2019 en disent long sur une certaine désaffection de la population qui reproche au tout-puissant dirigeant de s’occuper davantage de conquêtes extérieures que du bien-être de son peuple.
Le nouveau maire d’Istanbul, très populaire, pourrait même être une menace lors des prochaine élections générales de 2023.
Alors, pour resserrer les rangs, pourquoi pas un beau symbole qui ravira le peuple turc qui, ne l’oublions pas, est profondément nationaliste et musulman, même dans l’opposition ?
La transformation de l’extraordinaire basilique Sainte-Sophie en mosquée ferait l’unanimité (ou presque) dans ce pays si fier de la conquête de Constantinople en 1453.
Sainte-Sophie fut longtemps considérée comme la plus belle église de la chrétienté. Construite par Justinien au VIe siècle sur les ruines de la basilique édifiée par Constantin au IVe siècle, sa majesté a toujours ébloui les visiteurs. La funeste chute de Constantinople provoqua, bien sûr, sa transformation en mosquée après un pillage en règle et un terrible massacre.
[...]
article complet: https://www.bvoltaire.fr/la-basilique-sainte-sophie-va-t-elle-redevenir-une-mosquee/
Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2020

Un homme armé d’un couteau menaçait et agressait les passants dans les rues de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) lorsqu’il a été interpellé par la police.
INFO ACTU17. Le comportement de cet homme a semé la terreur dans les rues de Clermont-Ferrand ce lundi matin. Les policiers ont été alertés vers 11h10 par plusieurs appels qui évoquaient la présence d’un homme armé d’un couteau. Ce dernier menaçait les passants tout en hurlant « Allah Akbar ». Il se trouvait alors dans la rue du Port, au centre-ville.
(…)
L’agresseur venait de mettre son couteau sous la gorge d’une femme, avant de la relâcher décrit une source policière. Pétrifiée, la victime qui n’a heureusement pas été blessée s’est vite réfugiée dans un restaurant.
Peu après, le suspect a exhibé son arme blanche devant un enfant de 8 ans qui se trouvait avec ses grands-parents.
Publié par Guy Jovelin le 07 juillet 2020
Par Sebastien de Lyon le 07/07/2020

Des véhicules de la prison de Varces en Isère ont été visés par des tirs d’arme automatique dans la nuit du lundi 6 au mardi 7 juillet. Pas de blessé mais les vitres de deux voitures de la direction ont explosé. Une enquête a été ouverte.
[…]
Un break blanc type 308 Peugeot a pénétré sur le domaine pénitentiaire avec deux hommes cagoulés à bord ». L’un d’eux serait alors sorti du véhicule et aurait tiré une rafale à l’arme automatique « de type Kalachnikov en direction du parking des personnels de direction »
[…]