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  • Lyon : des employés d’une boucherie gazés parce qu’ils vendaient du porc

    Publié pa Guy Jovelin le 29 septembre 2020

    […]

    « Ils nous reprochaient de vendre du porc », raconte un des bouchers. Las d’être injuriés, les ouvriers sortent et leur demandent de partir. Ils pensaient que le message était passé.

    Erreur. Les mêmes, ajoutent-ils, ont surgi quinze minutes plus tard équipés d’une grosse bombe lacrymogène qu’ils ont vidée sous le nez des clients.

    […]

    La police s’est déplacée et les a chassés, ce qui n’a pas empêché les six adolescents rejoints par trois acolytes de revenir à la charge vers 18 h 30. « Ils nous narguaient depuis la place. L’un pointait sur nous un pistolet factice, deux nous menaçaient avec des gestes obscènes et les autres rigolaient »

    […]

    L’article dan son intégralité sur Le Progrès via fdesouche

  • Un Toulousain impliqué dans l’attentat de Saint-Etienne du Rouvray ?

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2020

    Saint-Etienne du Rouvray
    Le père Jacques Hamel, assassiné le 26 juillet 2016 lors des attentats de Saint-Etienne du Rouvray.

    Un jeune originaire de la banlieue de Toulouse est suspecté d’avoir rejoint les deux djihadistes ayant assassiné le père Hamel à Saint-Etienne du Rouvray (Seine-Maritime), en juillet 2016. 

    Alors que l’enquête des juges antiterroristes sur l’assassinat du père Jacques Hamel se clôt, un Toulousain est aujourd’hui en détention provisoire avec trois autres proches des deux djihadistes impliqués et tués dans l’attaque, le 26 juillet 2016. Un procès aux assises va pouvoir s’ouvrir dans les prochains mois. 

    Lire aussi : Toulouse est la deuxième ville abritant le plus d’islamistes

    Il avait passé la nuit chez les terroristes

    Yassine S., originaire des alentours de Toulouse avait été interpellé quelques jours seulement après les faits. Mis en examen pour « association de malfaiteur en relation avec une entreprise terroriste », l’homme de 26 ans aujourd’hui, il avait rejoint les deux islamistes à Saint-Etienne du Rouvray 48 heures avant l’attaque. Convertis quelques semaines plus tôt à l’islam, rapporte La Dépêcheil aurait suscité la méfiance du réseau djihadiste, notamment parce qu’il écoutait de la musique, regardait les filles et ne savait pas bien faire la prière. Il sera renvoyé chez lui dès le lendemain après avoir passé la nuit chez Adel Kermiche, l’un des assaillants, rapporte le journal local. 

    Lire aussi : Arnaud Beltrame aura le droit à son allée à Toulouse

    Egalement mis en examen, Farid K., le cousin du deuxième djihadiste Abdel Malik Petitjean, est soupçonné par les enquêteurs d’avoir eu connaissance du projet terroriste. Une version contestée par l’intéressé. Un troisième homme, Jean Louis s’était rendu en Turquie avec Abdel Malik Petitjean en juin 2016, avant que ce dernier ne soit arrêté par les autorités turques puis expulsé. Rachid Kassim, recruteur français de l’Etat islamique est le quatrième homme impliqué, et pourrait être l’instigateur de l’attentat. Il est aujourd’hui considéré comme mort mais est toujours visé par un mandat d’arrêt pour « complicité » de l’attentat. 

    Ce qui s’était passé dans cette église

    Le 26 juillet 2016 au petit matin, alors que le père Jacques Hamel, âgé de 85 ans, célèbre sa messe quotidienne devant trois religieuses et un couple de paroissien, deux djihadistes, Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean s’introduisent dans l’édifice et égorgent le prêtre. Un paroissien de 86 ans est gravement blessé par un coup de couteau à la gorge. Trois personnes sont retenues en otage, avant que la police abattent les deux terroristes, déjà fichés S. L’attentat avait été revendiqué par l’Etat islamique. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Liban : Emmanuel Macron s’égare et dérape

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2020

    Liban : Emmanuel Macron s’égare et dérape

    De Bernard Antony :

    Emmanuel Macron vient de proférer des propos sur la situation du Liban manifestant le très grave double déni de réalité qu’il commet à propos de ce pays indépendant de la France depuis 1920.

    D’abord, le voilà d’évidence saisi par une vaniteuse confusion dans le rôle qu’il peut y jouer en tant que chef de l’État français.

    Il commet un premier déni de réalité sur sa personne, sa fonction, son rôle car il n’est pas mandaté pour parler en patron du Liban et pouvoir en admonester toute la classe politique comme il le fit chez nous à l’égard du général de Villiers. Manifestement, il ne comprend pas que le Liban n’étant pas sa chose, il est tenu à une certaine réserve dans l’expression de ses jugements de maître d’école comminatoire.

    Son deuxième lourd déni de réalité porte sur le Liban dont il parle comme d’une entité unie, ce qui n’est pas plus vrai aujourd’hui que pendant la guerre de 1975 à 1990 opposant les patriotes libanais aux différentes milices et groupes terroristes islamistes et palestiniens et à l’armée d’occupation syrienne.

    Or, sous la présidence du général Aoun, le Liban est de plus en plus passé sous le contrôle du Hezbollah, parti totalitaire chiite sous direction iranienne et puissante organisation militaire alliée du régime syrien. Disposant de ministères essentiels dans les gouvernements successifs, le Hezbollah, qui contrôle globalement le sud et l’est du pays, constitue le principal obstacle à une durable entente interlibanaise.

    Le seul avenir possible pour un Liban en paix ne passe pas par le maintien de la fiction gouvernementale unitaire actuelle nonobstant l’insurmontable division communautariste.

    Elle ne passe pas essentiellement par un illusoire changement comportemental immédiat de l’ensemble des politiciens libanais.

    Elle ne peut résulter que d’un accord des différentes composantes politico-religieuses pour un projet de réforme confédérale du pays, une cantonalisation qui pourrait s’inspirer du modèle suisse. C’est ce que pourrait subtilement inspirer un chef de l’État français réaliste et adroit.

    Mais on le voit bien, ce n’est pas pour l’heure ce que l’on peut attendre du très orgueilleux et très jacobin Emmanuel Macron de surcroît bien peu connaisseur des paramètres religieux et culturels, modelant l’histoire du Liban.

    Macron, qui a proféré l’énormité que l’on sait sur la colonisation « crime contre l’humanité », s’exprime hélas comme un très mauvais colonialiste façon dirigeants radicaux de la III° République.

     

    Source : lesalonbeige

  • Paris : Hidalgo multiplie par deux les subventions aux associations LGBT !

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2020

    Saleté, insécurité, circulation chaotique, énormes nids-de-poule sur les routes…
    Autant de chantiers qui mériteraient plus d’attention et peut-être plus de moyens de la part de la municipalité parisienne.

    Mais celle-ci, occupée par la gauche la plus « folle », a ses priorités financières.
    Telle que le militantisme inverti et la promotion des mœurs contre-nature.

    Ainsi, on apprend que, comme promis durant sa campagne, le maire de Paris vient de doubler le montant des subventions accordées aux associations militantes LGBT.

    Afin de prolonger ce que l’édile socialiste appelle le « coup de foudre entre Paris et les LGBTQI  », des subventions de 382 650 euros vont être attribuées à vingt-cinq associations LGBT, comme le Centre LGBT de Paris, l’Inter-LGBT qui organise la « marche des fiertés », Le Refuge, ou encore SOS Homophobie… D’autres subventions avaient déjà été votées en  juillet.

    «  Nous doublons notre soutien financier, qui va passer d’environ 200 000 euros à 400 000 euros par an  »,  a ainsi déclaré au journal Le Monde, Jean-Luc Roméro, militant sodomite et désormais adjoint d’Anne Hidalgo chargé « des droits humains, de l’intégration et de la lutte contre les discriminations » (sic).

    Par ailleurs, Anne Hidalgo va confier une mission de quelques mois à  l’ancien président de « SOS Homophobie » et artisan de sa campagne dans le monde LGBT, Joël Deumier. Celui-ci devra présenter des propositions concernant le futur centre des archives LGBT, la Maison des cultures LGBT et l’avenir du Centre LGBT Paris.
    Des projets financés par l’argent public…

    Source ParisVox

  • Le ministre Eric Dupond-Moretti veut une justice “totalement filmée et diffusée”

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2020

    […]

    Le ministre de la Justice a indiqué y “réfléchir” avec services et souhaiterait que ce projet voit le jour avant la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron. Eric Dupond-Moretti, interviewé par un panel de lecteurs du quotidien, a fait cette annonce en répondant à une question portant sur l’impression des Français que la “justice fonctionne à deux vitesses“, et défavorablement pour les “personnes de couleur ou qui viennent de cités” contrairement aux “personnalités politiques ou les gens des beaux quartiers“. 

    […]

    En France, depuis 1954, la présence de caméras, micros, appareils photo en salle d’audience est interdite par la loi. L’enregistrement vidéo est toutefois autorisé depuis 1985, mais réservé à des procès à dimension historique avec une utilisation des images très restreintes, voire interdites pour le public avant plusieurs années. C’est le cas du procès des attentats contre Charlie Hebdo, actuellement filmé mais qui sera diffusé librement dans 50 ans.

    […]

    L’article dan son intégralité sur France Bleu via fdesouche