Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2020
-
Auteur : Projet KOCi-joint un dessin sur le stress ambiant, complètement fabriqué.Entre incompétence contrôlée du gouvernement,grippe pandémique éternelle,confinements sélectifs contradictoires,auto-attestations sous peine de prisonmuselière et vaccination obligatoires,élections à l’africaine aux Etats Unis…Bref tout est fait pour que le contribuable-administré-usagé soit complètement perdu, ne comprenne plus rien et finalement accepte sa condition d’esclave, bientôt pucé.Qui a dit “mind control” ?Commençons par supprimer radicalement les merdias comme BFM TVLaurent / ProjetKO
-
Bordeaux : l’insécurité met la ville sous tension, “quand des gens qui ont commis 10 agressions sont remis en liberté, ça donne le sentiment que la police ne fait rien”
Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2020
Louée pour sa qualité de vie, la cité bordelaise fait face à une recrudescence des violences. Comment en est-on arrivé là ? Notre enquête.
(…) Ce qui est inédit, c’est la multiplication subite des agressions à l’arme blanche en divers points du centre-ville. Une trentaine au cours du seul mois de juillet. Plus inquiétant : sur les neuf premiers mois de 2020, les vols avec arme ont connu un bond spectaculaire de 69 % par rapport à 2019.
(…) Tout au long de l’été, ce climat d’insécurité s’est imposé sur les chaînes d’info en continu comme une nouveauté. Cela fait pourtant plusieurs mois que la situation s’est dégradée. « Il y a eu une explosion médiatique car la violence touche maintenant le centre-ville. Mais, de 2012 à 2019, la délinquance a augmenté en moyenne de 30 % », observe Amine Smihi, adjoint (EELV) chargé de la sécurité.
(…) Quoi qu’il en soit, les commerçants du centre-ville assistent depuis à la montée d’un phénomène inconnu. Ils voient se répéter – parfois devant leur pas-de-porte – les agressions, les vols et les bagarres.
(…) Non loin de là, les habitants du quartier populaire et cosmopolite de Saint-Michel sont confrontés à une délinquance endémique. Impuissants, ils assistent aux vols à répétition et au trafic de drogue qui se fait ici à ciel ouvert – ou presque. Il y a peu, un pochoir à la peinture noire est apparu sur un mur au pied duquel se déroulent les transactions : « Ici vente de drogue avec la bienveillance de la police. » Un pied de nez qui résume une exaspération générale que Philippe Rolland, secrétaire régional d’Unité SGP police FO, perçoit comme un signal de détresse. « C’est l’expression d’un ras-le-bol de la population que je comprends », résume ce syndicaliste.
(…) « Il n’y a heureusement pas de zone de non-droit à Bordeaux », soutient la procureure, Frédérique Porterie. Reste que, à la nuit tombée, mieux vaut être vigilant dans certains endroits.
(…) « Quand des gens qui ont commis dix agressions sont remis en liberté, ça donne le sentiment que la police ne fait rien. La réponse pénale n’est pas assez forte pour être dissuasive. »
-
“L’horreur du quotidien” à Barbès : Victime d’une agression, la réalisatrice Jeanne Labrune lance une pétition contre l’insécurité. Dans le passé, elle signa des pétitions en faveur des migrants
Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2020
La réalisatrice a lancé une pétition qui totalise 800 signatures réclamant le « rétablissement de l’Etat de droit dans ce quartier de Paris ».
(…) Les ventes de cigarettes à la sauvette, ce marché aux voleurs, aussi. Le tout est boosté par le confinement, alors que la délinquance, elle, devient plus exponentielle, encore.
Un ras-le-bol des habitants
Depuis des mois, une femme s’élève contre les violences commises dans son quartier. C’est Jeanne Labrune. Réalisatrice et comédienne, installée depuis 25 ans dans ce quartier, elle a tout vu, tout vécu.
A l’origine de cette pétition, il y avait ce dégoût de la situation. « Nous sommes passés de la petite délinquance de rue à l’horreur du quotidien. J’ai le souvenir, alors que nous partagions un café entre copains, dans le quartier, de cette femme, accompagnée de son mari, qui a tété insultée, s’est pris un jet de chaise dans les jambes, et un café brûlant. (…) », nous a-t-elle dit.
(…)
Jeanne Labrune l’a vécu dans sa chair. Un de ses colliers lui a été arraché, « avec ma peau. J’ai été blessée. Quand ils ont coupé à la pince le collier », souligne-t-elle. Cela a été très traumatisant, on ne se rend pas compte… J’ai eu le cou blessé. Coupé. »
(…)
Derrière les vitrines, des histoires qui se ressemblent toutes, comme l’état d’esprit dans lequel se trouvent celles et ceux qui les racontent. « C’est un mélange de lassitude, d’écœurement, et parfois de peur, lâche un épicier de la Goutte-d’Or. Entre les trafiquants, les mineurs isolés qui se battent entre eux et agressent les passants, les vols… La situation est explosive. »
-
Un officier de l’armée de Terre, accusé de discrimination, va être sanctionné. Il voulait que soient mis en avant des élèves “avec de la prestance” et “éventuellement aux yeux bleus”
Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2020
Cet officier de l’école d’état-major de Saumur dans le Maine-et-Loire est sous le coup d’une procédure disciplinaire.
Un officier de l’école d’état-major de Saumur (Maine-et-Loire) est sous le coup d’une procédure disciplinaire après avoir demandé que lors d’une prise d’armes soient mis en avant des élèves “avec de la prestance” et ”éventuellement aux yeux bleus”, rapporte ce mercredi 18 novembre le Journal du Dimanche.
L’officier, qui a formulé cette demande dans un courriel destiné aux enseignants de l’école, a immédiatement été placé sous enquête disciplinaire en vue d’être sanctionné, confirme-t-on au ministère des Armées.
“C’est inacceptable”
“C’est inacceptable, ce message est contraire aux valeurs de diversité et d’ouverture que portent les armées”, a réagi auprès de l’AFP le cabinet de la ministre Florence Parly, en estimant que “de pareils agissements font beaucoup de mal à l’institution”, qui recrute 26.000 jeunes par an.
-
Fourques (30). Pronostic vital engagé pour 2 gendarmes et un chauffeur de poids lourd après un barrage forcé
Publié par Guy Jovelin le 19 novembre 2020
Un barrage classique mis en place près du pont traversant le Rhône a été forcé par une voiture. Deux motards prennent en chasse le conducteur.
Lors de la poursuite, un camion est percuté et se couche sur la route. Les gendarmes le prennent de plein fouet. Le chauffard en profite pour prendre la fuite. Il est toujours recherché ce soir.
Le conducteur du poids-lourd et les militaires ont été hospitalisés, avec tous les trois un pronostic vital engagé.
Le Dauphiné via fdesouch