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  • Norvège, prison pour qui n’est pas philo-trans

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2020

    Si en France, on embastille les écrivains qui ont le malheur de déplaire à la pensée unique, en Norvège ceux sont les amoureux de la loi naturelle qui risquent la prison.

    Depuis 1981, le Code pénal norvégien interdit les « discours de haine » contre les homosexuels. Sont inclus dans ces « discours de haine » les simple propos défendant la loi naturelle.

    Désormais, cette interdiction est également étendue aux discours s’opposant aux transsexuels. Évidemment, le système juridique norvégien prévoyait déjà des sanctions pour ceux qui offensent des tiers, mais si le tiers est un homosexuel ou un transsexuel, la protection est renforcée.

    Amendes et un an de prison si l’opinion jugée offensante est faite dans un cadre privé, trois ans s’il est fait coram populo tels qu’une homélie, un discours public, une conférence, un article de journal ou un essai.

    Bref, une répression criminelle de la liberté d’expression très similaire à celle prévue par de nombreuses lois censurant le politiquement, historiquement, sexuellement incorrects en Europe, telle la loi Avia en France.

    Les menottes sont maintenant également mises sur la bouche. Mais le masque que les divers gouvernements obligent leur peuple à porter ne serait-il pas que les prémisses de ces interdictions de paroles ? La muselière mentale à laquelle il faut s’habituer…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

     
  • Un député espagnol brandit le crucifix de son grand-oncle, massacré par les communistes

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2020

    Un député espagnol brandit le crucifix de son grand-oncle, massacré par les communistes

    Lors du débat sur le projet de loi de finance pour 2021, en Espagne, le député Vox Francisco José Contreras a brandi un crucifixIl s’agit de celui porté par son grand-oncle, prêtre, Rafael Contreras Leva (1901-1936), assassiné à la hache par les communistes au début de la guerre civile.

    Le gouvernement espagnol a entamé un processus pour réformer la loi sur la mémoire. Cette réforme comprend notamment l’expulsion de l’Ordre des Bénédictins de la Vallée des morts, qui existe depuis 1957. Le projet de loi sur la mémoire vise à interdire la Fondation Francisco Franco, à enseigner une nouvelle matière dans les écoles “sous le paradigme de” ne plus jamais “perdre nos libertés”, créer un Parquet spécifique pour «réparer les victimes», payer avec des fonds publics l’exhumation des victimes du régime franquiste des fosses communes, et annuler les procès du régime franquiste.

    Le député Contreras a critiqué le financement de cette soi-disant mémoire historique, loi révisionniste de la gauche espagnole, pour manipuler l’histoire de l’Espagne depuis la guerre civile. Le député de Vox a appelé à tourner la page et à laisser l’histoire à sa place.

    Le père Rafael Contreras est l’un des 127 martyrs catholiques de cette guerre dont la béatification a été approuvée par le pape François le 23 novembre.

     
     
    Source : lesalonbeige