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  • Covid : il faut recentrer le discours sur l’essentiel.

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2021

    Depuis le début de l’épidémie, les  nous abreuvent d’opinions, de données, de courbes et de statistiques sur l’état de la pandémie, et chacun y va de son discours pour, en réalité, la plupart du temps, défendre ses propres intérêts ou ceux de sa corporation sans pour autant faire avancer la discussion. À quelques mois d’intervalle, on peut comparer les discours des intervenants, rien n’a changé.

    covid,politique sanitaire,statistiques,vavvinCette épidémie est, certes, dangereuse et peut être mortelle, mais le pourcentage de morts se situe un peu en dessous de 1 %. On est très loin (et heureusement) des pourcentages de morts d’autres épidémies ou d’autres pathologies mais, en matière de  comme dans beaucoup d’autres domaines, à force de discourir, on oublie la finalité de la discussion, on palabre sur l’écume des vagues et non sur la puissance de la houle.

    Face à cette épidémie, les deux critères les plus importants qui devraient faire l’objet de discussions sont : la dangerosité de l’épidémie pour notre , sa létalité et ses conséquences sociales et économiques, et les moyens d’y faire face en étudiant toutes les possibilités thérapeutiques et humaines disponibles.

    Hélas, depuis le début, on ne considère comme possibilité thérapeutique que les possibilités offertes par l’hospitalisation publique qui, évidemment, s’est vite vue débordée par la vague de malades, sachant que, depuis trente ans, on réduit drastiquement le nombre de lits afin de gérer l’hospitalisation publique comme en gérerait n’importe quel secteur industriel (mais ici, le produit, c’est l’humain et il est inadmissible de le traiter à flux tendu). L’administration, dans ses communiqués, n’évoque jamais les possibilités de traitement par la médecine de ville et les journalistes se référant au discours officiel n’en parlent que très rarement.

    Les discussions portent donc uniquement sur le nombre de malades et les possibilités d’absorption par des services hospitaliers réduits, pour cause de rentabilité, à la portion congrue. On essaie d’adapter la maladie aux possibilités de traitement plutôt que d’adapter nos possibilités thérapeutiques à cette épidémie. C’est un peu comme si les , ne disposant d’une grande échelle ne pouvant atteindre que le 3e étage, on interdisait les incendies à partir du 4e étage!

    De plus, pour les autorités, le salut ne peut venir que d’un remède miracle que l’industrie mettrait à notre disposition (à des prix défiant toute concurrence) et toute autre possibilité thérapeutique est immédiatement récusée, voire accusée de charlatanisme.

    Alors, en l’absence de produit miracle, il reste la vaccination. On ne peut qu’être d’accord pour considérer que la vaccination est le meilleur moyen pour endiguer une épidémie, mais l’élaboration des vaccins ayant été faite en urgence, les procédures habituelles d’expérimentation avant la mise sur le marché n’ont pu être effectuées dans des conditions normales, nous sommes encore en phase expérimentale, il est donc parfaitement logique qu’il y ait des effets secondaires qui n’avaient pu être prévus auparavant.

    À l’échelon individuel, nous avons donc le choix, aujourd’hui, entre courir le risque d’attraper une maladie potentiellement grave et parfois mortelle ou se vacciner et accepter le risque d’effets secondaires sans doute rares mais mal connus pour l’instant.

    À l’échelon de la société, le rapport bénéfice/risque est très en faveur de la vaccination, on ne peut donc que l’encourager, surtout si on refuse de remettre en cause la  sanitaire qui nous a conduits à la situation dans laquelle nous sommes actuellement, sans parler de la puissance des lobbies économiques qui influent sur les décisions.

    Il serait d’urgent de recentrer le discours sur les données de base et éviter de discourir sur le sexe des anges.

     

    Dr. Jacques Michel Lacroix

    Médecin
    Médecin urgentiste et généraliste
  • “ll ne s’agit aucunement d’une célébration de la gourmandise ou du chocolat” : Pâques, que célèbrent les chrétiens ?

    Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2021

    Avec Noël, Pâques est certainement la fête la plus importante de l’année pour les chrétiens. Pâques emprunte son nom à la fête juive de Pessah mais les traditions sont bien différentes entre les deux religions. Naturellement, il ne s’agit aucunement d’une célébration de la gourmandise ou du chocolat que les enfants aiment trouver dans de multiples cachettes le jour J.

    Dans la religion chrétienne, Pâques correspond à la résurrection du Christ, trois jours après sa mort. Cette fête s’échelonne sur une semaine complète et succède au Jeudi Saint, en mémoire de la Cène et du Vendredi Saint où Jésus est mort sur la croix. Mais la période de Pâques est encore plus longue et débute avec le Carême, 40 jours avant Pâques. Traditionnellement, le dimanche de Pâques est le grand moment de l’année pour les catholiques, un jour chômé où l’on assistait à la messe, y communiait après s’être confessé ( d’où l’expression “faire ses Pâques”).

    La date de Pâques est, comme celle du Ramadan pour les musulmans, liée à la lune et varie chaque année. Les chrétiens ont cependant simplifié leur méthode de calcul et ne se réfèrent plus aux astres directement. La date de Pâques est fixée au premier dimanche après la première pleine lune qui suit le 21 mars, donc au plus tôt le 22 mars, si la pleine lune tombe le soir du 21, et au plus tard le 25 avril. Les prêtres n’observent pas la lune, il s’agit d’une “lune ecclésiastique”. Pour cette année 2021, Pâques tombe donc le 4 avril pour les catholiques et protestants et le 2 mai pour les orthodoxes.  […]

    RTL via fdesouche

  • "Vacances de Pâques" et non "de printemps" ! D'accord avec Kevin Bossuet...

    Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2021

    vacances de pâques,vacance de printemps
     
     
     
     
     
     
     
     
    Kevin Bossuet
     
     
    Dire "vacances de #Printemps" et non "vacances de #Pâques" c'est déjà perdre le combat culturel. La République est certes laïque mais la #France est chrétienne. Cette #religion est au coeur de notre #identité culturelle. Alors oui, joyeuses fêtes de Pâques à tous !
     
  • JOYEUSES PÂQUES !

    Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2021

     

    Source : lafautearousseau

  • Londres : la police évacue l’office de la Passion dans la paroisse polonaise du Christ-Roi

    Publié par Guy Jovelin le 04 avril 2021

    Londres : la police évacue l’office de la Passion dans la paroisse polonaise du Christ-Roi

    Lu sur le blog de Jeanne Smits :

    La police de Londres est intervenue hier soir dans la paroisse polonaise du Christ-Roi, (Parafia Chrystusa Króla) à Balham, pendant l’office de la Passion, entrant dans le chœur au moment de l’adoration de la Croix pour menacer les paroissiens d’amendes et même d’arrestation s’ils restaient dans l’église. L’office a été brutalement interrompu et l’assistance a calmement quitté les lieux. La paroisse a publié un communiqué de protestation contre cette « profanation », annonçant par la même occasion que tous les offices du Samedi Saint et de Pâques seront maintenus.
     
     
    Source : lesalonbeige