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  • Suisse : Kamel, un Français, agresse sexuellement une jeune fille de 15 ans dans un car. Il est expulsé du pays

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2021

    Victime à deux reprises d’attouchements dans le bus, Anna*, en larmes, s’est jetée dans les bras de son père à l’issue de l’audience, qui a eu lieu la semaine dernière, à Boudry. Kamel*, son agresseur, a été reconnu coupable d’actes d’ordre sexuel sur mineure.

    Arcinfo.ch

    Un ressortissant français de 41 ans est expulsé de Suisse pour cinq ans, suite à des attouchements répétés dans un bus sur une ado de 15 ans.

    (…) Reconnu coupable d’actes d’ordre sexuel sur mineure, le prévenu de 41 ans écope de 60 jours-amendes à 50 francs. Il devra payer une indemnité de 1000 francs pour tort moral, mais c’est son expulsion qui satisfait la victime: «Maintenant, je suis sûre que je ne le recroiserai plus dans le bus», a-t-elle confié à «Arcinfo».

    (…) L’adolescente n’avait jamais vu son agresseur avant le 18 février 2020, lorsque dans un car postal bondé, il lui a touché ses fesses, ses cuisses, son entrejambe et sa poitrine, par-dessus ses vêtements, pendant plusieurs minutes. Elle était tétanisée, avec l’impression d’observer la scène, et l’agresseur a récidivé sur la même ligne de car, le 5 mars 2020, provoquant le dépôt d’une plainte.

    Le Matin

  • Football : Le Hertha Berlin vire son entraîneur des gardiens Zsolt Petry pour des propos jugés homophobes et anti-migrants

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2021

    Le Hongrois Zsolt Petry, entraîneur des gardiens du Hertha Berlin depuis 2015, s’était lâché dans une interview contre la politique migratoire de l’Union européenne et avait reproché au gardien de la sélection hongroise son soutien aux homosexuels dans le pays. Il a été licencié ce mardi.

    Le Hertha Berlin a viré mardi son entraîneur des gardiens, le Hongrois Zsolt Petry, au club depuis 2015, pour des propos dans la presse de son pays qui « ne reflètent pas (ses) valeurs » comme indiqué dans un communiqué.

    L’Equipe via fdesouche


    Le Communiqué du club Hertah Berlin :

    La direction de Hertha Berlin a décidé de libérer Zsolt Petry avec effet immédiat à propos de certaines déclarations de L’entraîneur de gardien Zsolt Petry dans une interview que le club ne connaissait pas auparavant avec le journal hongrois « Magyar Nemzet », après un examen intensif et des conseils. Hertha Berlin a signé la Charte de la diversité et, en tant qu’association, elle défend activement des valeurs telles que la diversité et la tolérance, parce que ces valeurs sont importantes pour nous. Cela ne se retrouve pas dans les déclarations de Zsolt Petry, qu’il a publiquement faites en tant que collaborateur.

    « Le travail de Zsolt Petry a toujours été très apprécié au cours de ses années chez Hertha Berlin. De même, il était toujours ouvert, tolérant et serviable. Il n’a jamais agi de manière homophobe ou xénophobe « , a déclaré le PDG Carsten Schmidt. « Tout en appréciant les subtilités de traduction et le fait que certaines déclarations de Zsolt aient été omises dans l’interview sans consultation préalable à la publication, nous avons finalement dû constater que les déclarations faites ne correspondaient pas globalement aux valeurs de Hertha Berlin. Nous remercions Zsolt Petry pour le travail accompli et lui souhaitons bonne chance pour l’avenir » , ajoute notre président de la direction.

    Zsolt Petry déclare : « Je tiens à souligner que je ne suis ni homophobe ni xénophobe. Je regrette vivement ma déclaration sur la politique d’immigration et je voudrais présenter mes excuses à toutes les personnes qui cherchent refuge chez nous et que j’ai insultées. J’aimais beaucoup travailler pour Hertha Berlin et je respecte cette décision. Je souhaite bonne chance à tous chez Hertha BSC pour l’avenir. »


     

    L’interview de Zsolt Petry est disponible intégralement sur le site du quotidien conservateur Magyar Nemzet :


    Ici, en Hongrie, ce n’est pas seulement le football, mais l’opinion de l’un des meilleurs joueurs de football hongrois, Péter Gulácsi, qui a soutenu publiquement la campagne “La famille, c’est la famille”, qui a soulevé la poussière. En tant qu’ancien vainqueur du championnat d’Europe des jeunes, membre de l’équipe nationale et ancien gardien de but, qu’en pensez-vous ?

    Zsolt Petry : Je considère que l’un des problèmes les plus graves est la baisse significative du niveau d’expression. Nous, les représentants du camp national, attendons de l’autre camp qu’il écoute notre point de vue. La majorité de la société hongroise n’est pas d’accord avec l’opinion libérale de Péter Gulácsi sur les familles arc-en-ciel. C’est pourquoi beaucoup ont commencé à le critiquer, même si l’expression d’opinions n’est pas moralement attaquable. Après tout, Péter a simplement défendu ses principes. En principe, il ne peut et ne doit pas être condamné pour avoir exprimé son opinion. Que les gens soient d’accord ou non avec sa position est une autre question. Si j’étais un athlète à sa place, je me concentrerais sur le football et ne formulerais pas d’opinions publiques sur des questions de politique sociale. Je ferais le travail que mon club et l’équipe nationale hongroise attendent de moi. Les positions sur les questions sociales divisent l’opinion publique. Des athlètes comme Péter Gulácsi sont aimés parce qu’ils défendent avec bravoure, attrapent un penalty ou défendent le but avec un écusson hongrois sur le cœur. Il est totalement inutile de se faire des ennemis à travers une seule manifestation politique, surtout pour un gardien de but de niveau européen. Cependant, je ne sais pas ce qui aurait pu motiver Péter à prendre position en faveur des homosexuels, des travestis et des autres identités de genre. Je n’aurais certainement pas suscité d’émotions à sa place.

    Avez-vous une opinion sur les questions de politique sociale ? Vous avez mentionné un côté patriotique, avez-vous de la sympathie pour les conservateurs ?

    Zsolt Petry : Entièrement. Je n’arrive même pas à comprendre comment l’Europe est capable de sombrer dans les profondeurs morales où elle se trouve actuellement. La politique d’immigration est pour moi la manifestation du déclin moral. Nous devrions continuer à vivre nos vies en Europe selon les valeurs nationales que nous avons apprises au fil des ans. L’Europe est un continent chrétien et je suis réticent à l’idée d’assister à la dégradation morale qui balaie notre continent. Les libéraux amplifient les contre-opinions : si vous ne considérez pas l’immigration comme une bonne chose parce qu’un nombre effrayant de criminels a déferlé sur l’Europe, vous êtes taxé de raciste. Cela ne devrait pas être permis, l’opinion des autres est de moins en moins tolérée, surtout si l’est une opinion conservatrice.

  • Sexisme : Erdogan humilie von der Leyen en ne la laissant pas s’asseoir avec les hommes mais éloignée sur un divan

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2021

    Le président Erdogan a un sens très machiste des hiérarchies. Les hommes sont importants, les femmes sont secondaires. Ainsi, en entrant dans la grande salle où Erdogan tient ses audiences, Ursula von der Leyen eut un moment de solitude en constatant que seuls deux fauteuils étaient en place. L’un pour Erdogan, l’autre pour Charles Michel, le président du Conseil européen. On l’entend sur une vidéo protocolaire exprimer, par une sorte de raclement de gorge, une certaine surprise avant de rejoindre sa place : le divan. En somme, les hommes parlent d’égal à égal, les femmes peuvent éventuellement y assister, mais sur le côté…

    Ce n’est pas un hasard, ou une « mesure sanitaire ». Quand Erdogan, jadis, recevait Donald Tusk (l’ex-président du Conseil) et Jean-Claude Juncker (l’ex-président de la Commission), les trois fauteuils étaient situés sur le même rang. Pas de hiérarchie entre les institutions européennes.

    Le Point via fdesouche

  • Disparition d’Aurélie Vaquier dans l’Hérault : un corps retrouvé, Samire placé en garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2021

    fdesouche

    Disparition d’Aurélie Vaquier dans l’Hérault : un corps retrouvé à son domicile de Bédarieux

    […]

    Information Midi Libre – Un corps a été retrouvé ce mercredi 7 avril au matin à Bédarieux au domicile d’Aurélie Vaquier, dissimulé sous une dalle en béton. Son compagnon a été placé en garde à vue.

    […]

    Son compagnon Samire avait alerté le frère d’Aurélie Vaquier le 15 février et les gendarmes le 23 février, soit trois semaines après sa disparition. Il avait expliqué avoir reçu un message disant qu’elle voulait partir écrire un livre. 

    […]

    L’article dans son intégralité sur Midi Libre

  • “Les expulsions sont à l’arrêt en raison du Covid” : Police débordée, migrants en surnombre… Plongée dans Mantes-la-Jolie, refuge de mineurs clandestins

    Publié par Guy Jovelin le 07 avril 2021

    Alors que les expulsions sont à l’arrêt en raison du Covid, les hébergements sont débordés dans le secteur de Mantes. De nombreux mineurs isolés étrangers sont donc à la rue. Les policiers multiplient les procédures.

    Le phénomène commence à lasser les policiers. Depuis plusieurs mois, les forces de l’ordre sont confrontées à une hausse des procédures liées aux jeunes migrants SDF dans les Yvelines. Jusqu’à présent, une délinquance itinérante était parfois associée à ces jeunes clandestins, mineurs, venus notamment du Maghreb.

    Mais avec la crise sanitaire, leur présence a explosé et les structures d’hébergements, débordées, ne parviennent plus à les accueillir et les squats se multiplient. Il y a quelques jours, la police est ainsi venue évacuer un pavillon occupé illégalement par une petite bande à Mézières-sur-Seine, près de Mantes-la-Jolie. Mais, à peine vidée de ses occupants, la maison était « récupérée » par d’autres jeunes sans domicile fixe…

    «On n’arrête pas, cela nous prend un temps fou»

    Plus récemment, les forces de l’ordre sont intervenues près de la collégiale de Mantes-la-Jolie, là encore pour mettre fin à un squat. « On n’arrête pas, cela nous prend un temps fou et la réponse judiciaire ne suit pas toujours, souffle un policier des Yvelines. À Mantes-la-Jolie, un jeune a été arrêté neuf fois en trois mois. Il a été relâché systématiquement.»

    (…)

    « Entre 17 ans et 18 ans et demi, c’est difficile d’être précis, abonde un enquêteur. Dans le doute, le parquet applique la loi et remet en liberté. Et si, par hasard, on démontre qu’ils sont majeurs, c’est le même problème. Les expulsions sont à l’arrêt en raison du Covid…»

    À Mantes-la-Jolie, ils passent « inaperçus »

    (…) Le Parisien via fdesouche