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  • En pleine nuit, l’assemblée adopte le projet de loi bioéthique, avec 84 voix

    Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2021

    En pleine nuit, l’assemblée adopte le projet de loi bioéthique, avec 84 voix

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    Il était environ 1h30 cette nuit lorsque, après un simulacre de débat, le projet de loi bioéthique a été mis au vote. Le détail des votes est accessible ici.

    A noter que les députés ont voté par 74 voix contre (40 pour) l’intégration dans l’IMG d’une cause de détresse psycho-sociale.

    Par groupe :

    Toutefois, le parcours législatif n’est pas terminé : une nouvelle lecture va suivre au Sénat à partir du 24 juin, puis retour à l’Assemblée nationale le 29 juin, et enfin saisine du Conseil constitutionnel.

     

    Source : lesalonbeige

  • Suite à la surprenante inauguration d'un monument à la gloire de "l'anti-fasciste" Giacomo Matteotti à Béziers

    Publié par Guy Jovelin le 10 juin 2021

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    Mise au point de Julien Langella dans le journal Présent.
     
    Le 27 mai, le maire de Béziers a inauguré le buste de Giacomo Matteotti, député socialiste assassiné en 1924. Et on peut dire que Robert Ménard, repoussoir « fasciste » pour la gauche, n’y est pas allé de main morte avec ce qu’il appelle « les racailles fascistes ».
     
    « Du temps de Matteotti, affirme l’édile, le fascisme existe pour de bon. On sent son haleine fétide […] dans toute l’Europe. On entend ses bruits de bottes [et] on voit son visage dur, arrogant, bestial, méchant. » Petit-lait nécessaire de mettre autant d’emphase, tel un élève de première L achevant sa dissertation sur Guernica, contre l’ambulance la plus fusillée de l’histoire ? On n’est pas loin des « geôles fascistes » d’Abel Chemoul dans le sketch des Inconnus… « Parce que le fascisme, insiste-t-il, c’est ça : humilier l’opposant en public, faire taire les opinions dissidentes, réduire au silence ceux qui ne pensent pas correctement. »
     
    Pour d’autres, oublie Ménard, le fascisme fut un rempart contre le communisme, l’origine du décollage industriel italien, le garant de l’autorité de l’Etat face à l’anarchie dans les rues, le premier constructeur d’autoroutes en Europe, le restaurateur de l’État pontifical et le protecteur de l’Église, l’ennemi juré de la pègre, le premier droit social de la péninsule, l’assèchement des marais pontins d’où surgirent villages et champs cultivés, l’abolition de l’impôt sur les successions, la hausse très nette de la natalité (de 38 à 45 millions d’habitants)…
     
    D’autre part, l’analyse historique de Ménard reprend le catéchisme social-démocrate sans discernement : la mort de Matteotti ne fut pas la profession de foi du fascisme mais son drame à une époque où il jouissait d’une grande popularité – dont Churchill se faisait l’écho – et alors que le Duce, comme l’a rappelé Dominique Venner dans Le Siècle de 1914 (2006), recherchait la collaboration de l’opposition socialiste.
     
    On m’objectera que tout cela est secondaire et que cette inauguration est d’abord un pied de nez au politiquement correct. Le combat contre l’étouffant magistère moral de la gauche dépend-il de notre capacité à mentir sur notre histoire européenne ? L’antifascisme est-il récupérable à droite ? L’antifascisme est une stratégie consubstantielle au communisme, mise en œuvre par Staline dans les années trente pour diviser ses ennemis en détournant les conservateurs de la tentation nationaliste, les acculer à lutter avec lui contre le IIIe Reich et donner une virginité à ses agents occidentaux, rhabillés en héroïques résistants antinazis.
     
    L’antifascisme est la première cause de l’hégémonie culturelle marxiste en Occident, la matrice du « Plus jamais ça ! » qui nous paralyse depuis un demi-siècle. Le chantage à « l’extrême droite » demeure la principale intimidation médiatique et le meilleur moyen d’ostraciser un individu. A chaque fois que l’on crie au « fascisme », on remet une pièce dans le jukebox de la pensée unique. Un buste dédié à un député socialiste antifasciste : voilà la politique culturelle de la droite « décomplexée » ? Nourrir l’antifascisme, c’est creuser le tombeau de la droite et, au passage, celui de l’intelligence. Pour cela, Monsieur Ménard, nous n’avions pas besoin de vous.
     
    Site de Présent cliquez ici
     
    NDLR-SN : A propos de Giacomo Matteotti 
     

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    Matteotti était un politicien médiocre, un mythe inexistant a été créé. Le professeur Tiozzo, dans les deux volumes de "Matteotti sans auréole", démonte pièce par pièce la mythologie de Matteotti et de son assassinat. Extrait :
     
    "L'exécrable assassinat de Giacomo Matteotti par une poignée de fascistes a créé le mythe du grand homme politique, fin connaisseur de l'économie et capable de mettre le fascisme à genoux par la force de ses arguments. Mais quelle a été la véritable action politique de Matteotti pendant ses cinq années de présence dans l'hémicycle ?
     
    En réalité, le député socialiste est un politicien modeste, sourd à l'opinion des autres, insuffisamment préparé, agressif verbalement et plus hostile aux gouvernements dirigés par les libéraux qu'à ceux dirigés par les fascistes.
     
    Ses projets de loi et ses discours à la cour, qui suscitent souvent l'amusement des députés, sont pour la plupart déconcertants. Matteotti propose, entre autres, de taxer le vin en fonction des intentions du consommateur (voluptueux ou non), d'acheter du pain en montrant son passeport, de convaincre la population de fumer de plus en plus, de transférer les héritages directement à l'État, de bloquer la création de nouvelles universités, de démobiliser l'armée, de réduire de 80% les forces de police, de refuser le droit de vote aux femmes et de résoudre les problèmes économiques au moyen d'un patrimoine unique égal à 25% du PIB italien.
     
    Il s'est "documenté" en lisant d'obscurs journaux provinciaux et n'a jamais présenté un véritable document dans ses questions à la Chambre. Il a provoqué et insulté tous les Premiers ministres, de Nitti à Giolitti, de Bonomi à Facta, les traitant d'incompétents et de criminels.
     
    Massimo Mattolini
  • Pour 66% des Français, le terrorisme est sujet le plus prioritaire pour les mois à venir

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2021

  • « Les gens comptent sur nous, pas sur la police » : en Afrique du Sud, 500 000 agents privés sont déployés sur le terrain

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2021

    En Afrique du Sud, l’un des pays les plus violents au monde, 500 000 agents privés sont déployés sur le terrain, notamment dans les banlieues riches de la capitale économique.

    a nuit tombe sur un quartier cossu de Johannesburg et trois gardes armés jusqu’aux dents partent en patrouille. Un peu plus tôt, ils se retrouvaient pour revêtir l’uniforme, tester leurs fusils d’assaut… et prier. Après avoir détaillé les incidents des douze dernières heures, dans la salle de gym de la « caserne », le commandant interroge la relève, une dizaine de ninjas au garde-à-vous : « D’autres questions ? Alors on baisse la tête. » Casquettes retirées entre mains jointes. Amen.

    « Je prie aussi chaque matin », confie à l’AFP Forget Ndlovu. « Ce boulot est dangereux, tu ne sais jamais si tu vas rentrer à la maison. On aide les autres à avoir une meilleure vie », plaisante ce chef d’équipe de 46 ans, qui reconnaît être « nettement mieux payé » qu’un policier. D’ailleurs ici, dans les banlieues riches, « les gens comptent sur nous, pas sur la police », inefficace et gourmande en bakchichs, confie ce vétéran de Cortac, une entreprise de sécurité privée incontournable dans la mégalopole de 4,5 millions d’habitants. Les agents privés sont « bien plus nombreux à patrouiller la nuit que la police ».

    […]

     

    Le Monde via fdesouche

  • La fédération finlandaise de football offre un « hijab sportif » gratuit, dans le but de promouvoir la diversité

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2021

    La fédération finlandaise de football a commencé à offrir gratuitement un “hijab sportif” à toute joueuse qui le souhaite, dans le but d’attirer une plus grande diversité de joueuses dans ce sport.

    Jusqu’à présent, la fédération a distribué des “dizaines” de ces foulards, fabriqués dans un tissu technique et extensible, a déclaré à l’agence de presse AFP Heidi Pihlaja, responsable du développement du football féminin.

    “En Finlande, il a été très difficile de faire entrer les filles issues de l’immigration dans les clubs de football”, a déclaré Pihlaja.

    “Nous avons donc voulu lancer cette initiative pour accueillir tout le monde, quelle que soit votre religion et que vous souhaitiez utiliser un foulard ou non.”

    Les filles jouent respectivement depuis un et deux ans, mais elles ont déclaré qu’elles étaient “heureuses et reconnaissantes” d’apprendre par leurs parents la gratuité du foulard.

    Selon Mme Pihlaja, les questions culturelles et le coût – plutôt que les foulards eux-mêmes – sont souvent les principaux obstacles à la pratique de ce sport par les filles et les femmes issues des communautés immigrées.

    Mais offrir les hijabs a “une importance symbolique” pour rendre le sport plus accessible, a-t-elle ajouté.

    Bien que la réponse ait été principalement “très positive”, le programme a également fait l’objet de critiques “de la part de personnes affirmant que cela rabaisse les femmes ou introduit la religion dans le jeu”.

    Aljazeera via fdesouche