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  • Poitiers : des tags insultants et menaçants de mort des policiers, nommément cités, laissés en place par la municipalité écologiste

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2021

    Insultes et menaces de mort contre des policiers sur les murs du quartier Saint-Eloi à Poitiers

    Des tags avec les noms de policiers ont été retrouvés dans un “coin de deal” du quartier Saint-Eloi. Quatre jours plus tard, ils n’ont pas encore été effacés par la municipalité… Ce qui agace les syndicats de Police.

    […]

    Selon Alain Pissard, “quand des inscriptions sont découvertes sur les murs du centre-ville et de bâtiments publics, c’est effacé dans journée…”

    […]

    L’article dans son intégralité sur France Bleu

  • La société d’hébergement touristique Airbnb a annoncé qu’elle paierait pour l’hébergement de 20.000 Afghans

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2021

    La société d’hébergement touristique Airbnb a annoncé qu’elle paierait pour l’hébergement de 20 000 Afghans dans le monde C’est ce qu’a expliqué brian Chesky, PDG et cofondateur de l’entreprise, sur son compte Twitter.

    Chesky a publié qu’Airbnb assumera les frais d’hébergement à partir de ce même mardi, ce qu’il ne pourrait pas faire « sans la générosité de ses hôtes », qu’il remercie pour leur soutien.

    En tant qu’organisation indépendante à but non lucratif, Airbnb.org se concentre sur l’aide aux gens à partager leur logement et leurs ressources en temps de crise.

    L’entreprise assure qu’elle travaille en étroite collaboration avec Airbnb.org, les ONG et les organisations qui sont sur le terrain pour soutenir les besoins les plus urgents des réfugiés en ce moment.

    « Le déplacement et le rétablissement des réfugiés afghans aux États-Unis et dans le reste du monde sont l’une des plus grandes crises humanitaires de notre temps. Nous nous sentons responsables d’intervenir », a écrit Chesky sur son compte.

    Le PDG d’Airbnb espère que cette décision « inspirera » d’autres « leaders » et demande aux personnes intéressées à offrir leur hébergement de contacter l’entreprise pour lancer l’opération nécessaire à ce projet humanitaire.

    Ultima Hora via fdesouche

  • La réglementation des talibans pour les femmes vous fera froid dans le dos

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2021

    lesobservateurs

    Les médias conventionnels ont mis toute leur énergie à camoufler les brutalités des talibans et à redorer leur image afin de les rendre acceptables pour le monde moderne et peut-être de donner à ces sauvages des montagnes un siège aux Nations Unies.

    Ils nous disent que les talibans 2.0 sont une tout autre entité, sans comparaison avec ceux qui ont sévi en Afghanistan de 1996 à 2001.
    Après tout, les talibans ont promis de respecter les droits des femmes et de leur permettre de continuer à travailler comme d'habitude. Les petites filles pourront également recevoir une éducation.

    Nous restons perplexes face à l'engagement des talibans à permettre aux filles d'aller à l'école, car tout récemment, les djihadistes talibans faisaient du porte-à-porte pour traquer des filles aussi jeunes que douze ans , afin de les prendre comme esclaves sexuelles.

    Nous avons appris qu'une femme avait été fouettée pour avoir porté des pantoufles montrant ses pieds et qu'une autre femme vêtue d'unee burqa avait été abattue pour ne pas avoir suffisamment couvert son visage.
    Et ces atrocités se sont produites sous le règne des talibans 2.0 modérés, reconnaissant les droits des femmes.

    Les dirigeants talibans ont clarifié leur point de vue sur les droits des femmes dans le pays :

    « Les droits des femmes seront régis par la charia »,

    affirmé  leur porte-parole Zabihullah Mujahid, lors de leur première conférence de presse depuis la conquête de Kaboul.

    Et quels sont les droits accordés aux femmes par cette loi islamique vénérée ? Voyons donc les « droits » dont jouissaient les femmes afghanes sous les talibans 1.0 de 1996 à 2001.

    Les femmes n'étaient pas autorisées à sortir de chez elles sans une burqa couvrant chaque centimètre de leur peau, y compris leurs pieds, leurs mains et leur visage.

    La plupart des femmes de cette période optaient pour la burqa traditionnelle dite shuttlecock (volant de badmiton) qui les couvrait de la tête aux pieds ; il y avait un petit espace pour les yeux, mais avec un filet ou des mailles couvrant l'espace pour que leurs yeux ne soient pas visibles.

    Aucune femme ne pouvait sortir dans la rue sans être accompagnée d'un homme de sa famille – un parent par le sang.

    Aucun homme ne devrait pouvoir entendre les pas d'une femme, c'est pourquoi les talons hauts ou tout type de chaussures qui produisent un son en marchant étaient interdits aux femmes.

    La voix d'une femme ne doit pas atteindre les oreilles d'un homme qui ne lui est pas apparenté.

    Par conséquent, elle doit toujours surveiller son niveau sonore en parlant. Serait-ce de l'« islamophobie » de dire que les talibans ont trouvé une nouvelle méthode pour faire taire une femme ?

    Comme il était interdit aux femmes d'être vues par des hommes qui ne lui étaient pas liés par le sang, il était obligatoire que les fenêtres de tous les rez-de-chaussée soient peintes d'une teinte sombre, couvertes ou fermées en tout temps, juste au cas où une femme aurait passé et serait devenue visible pour un homme au rez-de-chaussée.

    De même, il était interdit aux femmes de se tenir sur les balcons de leurs maisons, car des hommes dans la rue ou leurs voisins masculins auraient pu les apercevoir.

    Le mot « femme » a été supprimé de tous les lieux publics ou noms de lieux publics.

    Les femmes n'avaient pas le droit de se faire photographier ou filmer. Aucune image de femme ne pouvait être imprimée dans les livres ou les journaux, ni conservée dans les magasins ou les maisons.

    Il va sans dire que les femmes n'étaient pas autorisées à apparaître dans des films ou à la télévision, ni à travailler dans des stations de radio.

    Il leur était interdit de former des groupes à l'extérieur ou de tenir des rassemblements publics.

    Les femmes n'ont jamais été autorisées à travailler dans des bureaux sous les talibans.

    Elles ne pouvaient pas travailler comme journalistes, banquières, enseignantes, infirmières, médecins ou occuper des postes administratifs, car ces emplois les auraient placées au milieu de collègues masculins qui ne leur étaient pas apparentés.

    Les emplois de bureau occupés par des femmes ont été transmis à des membres masculins de leur famille.

    Les petites filles n'avaient plus le droit d'aller à l'école.

    De nombreuses écoles de filles ont été bombardées ou incendiées par les talibans, non seulement en Afghanistan, mais dans plusieurs pays où ils avaient pris pied si peu que ce soit.

    Aucune femme sous le régime des talibans en Afghanistan n'a jamais bénéficié du droit humain fondamental de dire ce qu'elle pense ou de s'habiller comme elle l'entend.
    Les femmes qui enfreignaient l'un des commandements ci-dessus étaient soumises par la police religieuse à des châtiments durs, impitoyables, inimaginables.

    Elles pouvaient être lapidées à mort, mutilées, défigurées, ou recevoir des centaines de coups d’un fouet en métal d'un mètre de long. Beaucoup de ces femmes ont péri pendant cette punition.

    Dans l'Afghanistan de 1996, le doigt d'une jeune femme a été sectionné par les talibans : elle avait osé se peindre les ongles.

    Une femme nommée Aisha Mohammadzai a été forcée de contracter un mariage cauchemardesque pour régler un différend familial.
    Lorsqu'elle a tenté d'échapper à ce mariage violent et abusif, les talibans, pour lui faire honte de sa désobéissance et pour faire un exemple, lui ont coupé le nez et les oreilles.

    Il faut être un ignare absolu et vivre dans le déni pour croire même une seconde que les talibans laisseront les femmes afghanes tranquilles cette fois.

    Source: https://www.jihadwatch.org/2021/08/talibans-regulations-for-women-will-send-chills-down-your-spine

    Traduction Cenator

  • Afghanistan : à la demande des Talibans, l’Iran reprend ses exportations d’hydrocarbures

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2021

    Les syndicats iraniens des exportateurs de pétrole ont annoncé que l’Iran avait repris les exportations d’hydrocarbures, après une baisse des tarifs d’imports de carburants.

    “Les taliban ont envoyé des messages à l’Iran disant ‘vous pouvez continuer les exportations de produits pétroliers'”, a déclaré Hamid Hosseini, membre du conseil d’administration et porte-parole du syndicat iranien des exportateurs de pétrole, de gaz et de produits pétrochimiques. Après une interruption liée au contexte chaotique en Afghanistan, avec la chute de Kaboul et le retrait des troupes américaines, l’Iran a repris ses exportations d’hydrocarbures.

    Cette décision intervient à la demande des talibans, qui ont exhorté l’Iran à maintenir des relations commerciales avec l’Afghanistan. La semaine dernière, le prix de l’essence a flambé, pour atteindre 900 dollars la tonne.

    Hamid Hosseini a également précisé qu’en raison des problèmes liés à la sécurité, certains exportateurs iraniens s’étaient montrés prudents jusqu’ici. Il a aussi montré un document officiel de l’organisation des douanes afghanes, pour annoncer la reprise des exportations il y a quelques jours, alors que les tarifs d’importations de carburant en provenance de l’Iran ont baissé de 70%.

    […]

    BFMTV via fdesouche
  • Les gardes-frontières polonais ont arrêté 349 migrants clandestins qui ont franchi la frontière biélorusse (MàJ : Comme la Lituanie, la Pologne va construire une clôture)

    Publié par Guy Jovelin le 24 août 2021

     

    Pologne, 23 août (Reuters) – La Pologne va construire une clôture le long de sa frontière avec la Biélorussie et doubler le nombre de ses soldats, a déclaré lundi le ministre de la Défense, afin d’endiguer un flux de migrants que l’Union européenne estime être poussé par Minsk (Biélarussie) en représailles aux sanctions de l’UE.

    La Pologne et les autres États membres de l’UE, la Lituanie et la Lettonie, ont signalé une forte augmentation du nombre de migrants originaires de pays comme l’Irak et l’Afghanistan qui tentent de franchir leurs frontières. L’UE estime que le président biélorusse Alexandre Loukachenko mène une “guerre hybride” avec les migrants pour faire pression sur l’Union.

    Le ministre polonais de la défense, Mariusz Blaszczak, a déclaré qu’une nouvelle clôture solide de 2,5 mètres de haut serait construite à la frontière avec le Belarus.

    Lors d’une conférence de presse à la frontière, M. Blaszczak a également déclaré que la présence militaire y serait renforcée. “Il est nécessaire d’augmenter le nombre de soldats. … Nous allons bientôt doubler le nombre de soldats pour atteindre 2 000”, a-t-il déclaré.

    Le gouvernement polonais a fait l’objet de vives critiques de la part des défenseurs des droits de l’homme concernant le sort d’un groupe de migrants piégés pendant deux semaines à découvert entre les gardes-frontières polonais et biélorusses près du village d’Usnarz Gorny.

    La Pologne affirme que permettre aux migrants d’entrer sur son territoire encouragerait la poursuite de l’immigration clandestine et ferait le jeu de Loukachenko. “Il ne s’agit pas de réfugiés, mais de migrants économiques amenés par le gouvernement biélorusse”, a déclaré aux journalistes le vice-ministre des Affaires étrangères Marcin Przydacz.

    Certains avocats et ONG accusent Varsovie de traiter les migrants bloqués de manière inhumaine en leur interdisant l’entrée.

    Le médiateur polonais des droits de l’homme a déclaré que les gardes-frontières avaient violé la Convention de Genève en n’acceptant pas les déclarations verbales de certains migrants indiquant qu’ils souhaitaient demander une protection internationale en Pologne.

    Reuters via fdesouche