Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 14

  • « C’est comme ça tous les jours » : un marché clandestin exaspère les habitants du 13e arrondissement de Paris

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2021

    REPORTAGE – Principalement issus de la communauté Rom, des dizaines de vendeurs à la sauvette écoulent des objets récupérés ou volés à la sortie du métro «Porte de Choisy».

    Un marché clandestin installé en plein Paris, au vu et au su de tous. À la sortie du métro «Porte de Choisy», dans le 13e arrondissement, une bonne trentaine de vendeurs à la sauvette écoulent leurs marchandises, installées sur des draps à même le sol, presque chaque jour. Impuissants, les riverains assistent à cette occupation illégale de l’espace public depuis l’été 2020.

    «C’est comme ça tous les jours. Ce genre de problèmes n’est pas réservé au nord de Paris», déplore un riverain, la soixantaine. «Les flics interviennent régulièrement mais ils reviennent tout de suite», poursuit-il. «Ils arrivent très tranquillement tous les matins. La police arrive vers 13h, ils remballent et puis ça recommence le lendemain», abonde un autre habitué du quartier d’un ton fataliste. «Ce marché fait fuir ma clientèle, c’est révoltant», constate de son côté un commerçant, désabusé.

    Une cour des Miracles

    Étendu sur une centaine de mètres, ce marché sauvage est parfois très fréquenté.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Une tribune signée par des femmes demande à Macron un «accueil inconditionnel» des femmes afghanes et de leurs proches

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2021

     

    Dans une tribune publiée par Le Parisien, des femmes artistes, écrivaines, militantes, soignantes, politiques, des cheffes d’entreprise… réclament au président de la République Emmanuel Macron un « accueil inconditionnel » des femmes afghanes et de leurs familles, dont le pays est désormais en proie au régime ultra-rigoriste des talibans.

    « Nous affirmons que face au danger absolu du viol, de la soumission et de la mort, pour un pays qui se réclame des Lumières et de la démocratie, il n’y a pas d’autre choix que d’offrir l’asile sans conditions », insistent-elles. Si seulement les cinquante premières signataires apparaissent en bas du document, plus d’un millier de femmes, venues de tous les horizons, ont répondu à l’appel lancé par six militantes de différentes causes (antisémitisme, contre la peine de mort, contre la négrophobie…), inconnues du grand public. […]

    « Nous décidons qu’Emmanuel Macron ne parle pas en notre nom lorsqu’il évoque les Français qui s’inquiètent d’un nouveau flux migratoire : nous nous inquiétons, au contraire, qu’il n’ait pas lieu et que nos sœurs afghanes, et leurs proches, meurent égorgées, violées, massacrées en Afghanistan. Ou noyées ou d’épuisement sur les routes dangereuses de l’exil. Ou ici, finalement, dans un bidonville », rétorquent-elles. […]

    Nous, féministes et femmes, ne voyons pas un flux mais un afflux d’espoir. Nous ne sommes pas en guerre. Aux talibans et à leur violence, nous exigeons que l’on oppose les seules armes qui vaillent, celles que certains n’appellent valeurs de la République que pour mieux les trahir. Le réalisme, c’est la devise inscrite au fronton des écoles mixtes : Liberté, égalité, fraternité. […] Ce que nous voulons, nous le voulons pour toutes. Mobilisons-nous pour l’accueil en urgence absolue des femmes afghanes, de leurs proches et des personnes des minorités de genre et d’orientation sexuelle. Pour des visas humanitaires en urgence absolue, et autant qu’il en sera demandé, pour l’assouplissement immédiat des conditions nécessaires au regroupement familial, pour la suspension immédiate des accords de Dublin et pour la délivrance de titres de séjour pour toutes celles qui sont déjà en France. […]

    Les 50 premières signataires

    · Nadia Meziane, assistante d’élèves en situation de handicap, activiste contre l’antisémitisme et l’islamophobie, Lignes de Crêtes

    · Marie Bardiaux-Vaïente, autrice de bande dessinée et historienne – Militante féministe et pour l’abolition universelle de la peine de mort

    · Clémence Lossone, militante afroféministe, autrice

    · Marie-Laure Malric, comédienne, membre du CNR (collectif pour une nation refuge)

    · Léonie Bureau, éducatrice à la vie (affective et santé sexuelle), militante au planning familial et autres collectifs féministes, antiraciste et mère de famille nombreuse

    · Gaëlle Hersent, autrice de bande dessinée

    · Virginie Despentes, écrivaine

    · Agnès Jaoui, réalisatrice et comédienne

    · Paul B. Preciado, philosophe

    · Cécile Gonçalves, docteure en études politiques de l’EHESS

    · Marie-France Moralès-Berger, éducatrice spécialisée à la retraite militante féministe antiraciste

    · Amélie Cohen-Langlais, adjointe au Maire de Bègles, militante syndicale

    · Emmanuelle Marchand, professeure de lettres, adjointe au maire de Marmande

    · Amandine Thiriet, comédienne et chanteuse, présidente du collectif les Matermittentes

    · Gaëlle Desliens, professeure des écoles à Tourcoing (REP +), membre logistique de Migraction59 (plate-forme d’hébergement citoyen des personnes en exil coincés à Calais)

    · Worms Sandrine, coordinatrice et bénévole Asso Solidarité Migrants Moselle (et, accessoirement, chargée de projet Accompagnante victime de la traite des êtres humains/et parcours sortie de prostitution dans un CIDFF)

    · Delphine Cerisuelo, enseignante

    · Maeve Juliette, précaire (AAH), militante handi queer écoféministe et antifa – Blog WordPress @handicapinvincible et un long billet/journal sur la psychiatrie en temps de pandémie publié cette année sur Ligne de Crêtes

    · Maïc Jolu-Planques, graphiste et dessinatrice, militante queer féministe, 2 articles et une co-traduction publiés sur lignes de crêtes.

    · Elishéva Gottfarstein, médiatrice culturelle et archiviste

    · Carole-Ann Banach, ingénieure et autrice de bande dessinée

    · Capucine Hauray, infirmière, coprésidente départementale d’une association féministe d’éducation populaire, élue municipale à Saint-Nazaire

    · Carole Collinet-Appéré, journaliste et militante syndicale

    · Maud Delanaud, chômeuse, bénévole en associations, militante féministe et antiraciste

    · Charlotte Monasterio, artiste photographe

    · Leslie Tychsem, créatrice de mode

    · Wiecha Koralewska, survivante de la Covid, 95 ans

    · Lara Louisa Lotte Boulangère, anthropologue, membre de Lignes de crêtes

    · Sandrine Rousseau, candidate à la primaire écologiste

    · Céline Bureau, artiste, précaire

    · Jeanne Puchol, autrice de bande-dessinée, mililtante syndicale, féministe

    · Sylvie Taussig, écrivaine, chercheuse au CNRS, traductrice

    · Pascale Morel, professeure, coordinatrice du projet « Histoire, mémoire et avenir de l’Europe »

    · Ruth Zylberman, réalisatrice

    · Sarah Ecoffet-Chartier, ingénieure, militante féministe

    · Marion Fourtune, militante écologiste, féministe

    · Aurore Cyrille, militante droit humain

    · Romane Elineau, membre de Paris d’exil

    -Heloïse Nio, cofondatrice de l’école Thot

    · Agathe Nadimi, professeure de l’enseignement supérieure et fondatrice de l’asso les midis du MIE engagée auprès des exilés

    · Anne Tempelhoff, sculptrice, militante pour un accueil digne des réfugiés

    · Maryam Karimi, journaliste afghane

    · Martine de Gaudemar, professeure des universités

    · Judith Aquien, cofondatrice de l’école Thot, autrice féministe

    · Marie Bellosta, éditrice

    · Giulia Foïs, journaliste

    · Salomé Lelouch, comédienne et metteuse en scène

    · Catherine Raffait, sociologue EHESS et militante pour les droits des Roms

    · Cécile Duflot, ancienne ministre de l’Égalité des territoires et du Logement

    · Maud Vandoolaeghe, adjointe au directeur du pôle Accueil Réfugiés Habitat et Humanisme

    Le Parisien via fdesouche

  • Nîmes : elle offre le gîte à Smaïn Medjralou, il l’agresse sexuellement

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2021

    Agression sexuelle à Nîmes : le suspect confondu par son ADN et reconnu par la victime sur l’avenue Feuchères

     

    […]

     

    En réalité, une jeune Nîmoise avait accepté d’héberger un jeune homme de 23 ans alors que le mauvais temps s’était abattu sur les festivités douchant du même coup toute velléité de faire la fête (déjà limitée par les restrictions dues aux Covid). Le lendemain des faits, la plaignante s’est rendue au commissariat où elle a révélé les abus sexuels.

     

    […]

     

    Assise sur le banc des parties civiles, la jeune femme n’a pas osé dire un mot sur ce qui lui avait été imposé un an plus tôt.

     

    […]

     

    Smaïn Medjralou a écopé de trois ans de prison dont un avec sursis probatoire.

     

    L’article dans son intégralité sur Midi Libre

  • Exemple de la fraude massive dont sont victimes les Français, avec la complicité des juges

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2021

     

    Source : contre-info

  • Sarreguemines (57). La prison propose des remises de peine aux détenus qui acceptent de se faire vacciner

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2021

    Tous les moyens sont-ils bons pour inciter à se faire vacciner contre le Covid-19 ? 

    Dans une « note aux détenus sur la campagne vaccinale contre le Covid-19 et l’obtention de RSP [réduction de peine] », en date du 10 août 2021, le vice-président en charge de l’application des peines explique avoir « décidé, en accord, avec […] le procureur de la République, que tous les détenus qui se feront vacciner contre [le] Covid-19 bénéficieront, à partir de la commission d’application des peines de septembre 2021, automatiquement pour l’étude de leur dossier sur l’année 2021 de l’intégralité de leurs réductions supplémentaires de peines potentielles dans la limite toutefois de 2 mois de réduction supplémentaire de peine. » 

    « Les détenus ayant reçu leurs deux doses de vaccin devront transmettre immédiatement leur attestation de vaccination remise par l’unité sanitaire au greffe de la maison d’arrêt afin d’être audiencés à la prochaine commission d’application des peines utile », poursuit cette note de l’établissement recevant des prévenus en attente de leur procès ou des détenus d’une peine d’emprisonnement inférieure à 2 ans. 

    20 minutes via fdesouche