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  • Très cher 93, trop coûteux RSA !

    Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2021

    Une annonce à rajouter aux promesses de la campagne présidentielle de  d’Emmanuel Macron. Le premier ministre, Jean Castex, a confirmé, mardi 21 septembre, la prise en charge par l’Etat du surcoût du revenu de solidarité active (RSA), dont le conseil départemental a la responsabilité. 

    coûteux rsa,très cher 93Plus exactement, le département et l’État cofinanceront le dispositif jusqu’à un montant plafond de 520 millions d’euros, mais l’État prendra à sa charge toute hausse de ce budget, due à l’augmentation – continue depuis plus de quinze ans – du nombre de bénéficiaires. « Dès 2022, c’est ainsi entre 50 et 70 millions d’euros que le département n’aura plus à financer au titre du RSA », souligne le communiqué du conseil départemental.

    En d’autres termes, le RSA devient un budget trop lourd pour le département le plus pauvre de France. Il faut dire qu’il est passé de 220 à 551 millions d’euros entre 2004  (date à laquelle le financement RSA a été transféré de l’État aux départements) et 2020. Une annonce qui vient, hasard ou pas du calendrier, appuyer les données de l’INSEE exhumées par le magazine Causeur sur le taux d’étrangers par départements. Les données cartographiées par France Stratégie nous apprennent que les enfants immigrés ou nés de parents immigrés extra-européens sont majoritaires parmi les 0-18 dans plus de la moitié des communes de  en 2017.

    Ce basculement est particulièrement marqué dans certaines communes. La Courneuve : 75 % des 0-18 ans sont nés de parents immigrés extra-européens (moins d’un quart des mineurs résidant sur la commune est donc d’origine française ou européenne).Villetaneuse : 73 %. Clichy-sous-Bois : 72 %. Aubervilliers : 70 %. Pierrefitte-sur-Seine : 69 %. Des populations d’immigrés de première génération. Des « derniers de cordée », premiers sur les subventions. D’autant que la  n’est pas le seul département à souffrir.

    Si on continue à fouiller les données, on peut s’intéresser aux départements ayant le plus fort taux de prime d’activité. Les foyers en bénéficiant ne touchent pas le RSA mais un complément de salaire lorsque celui-ci est très bas. Sont concernés les petits métiers peu valorisés comme auxiliaires en puériculture, techniciens de surfaces et autres. Là, la Seine Saint-Denis présente un fort taux mais perd sa première place. Il faut cette fois regarder du côté des département ruraux comme le Cantal, la Lozère, l’Hérault, les Pyrénées-Orientales ou l’Aude. En d’autres termes, dans ces départements, on a une forte population pauvre mais elle, en revanche, a un emploi.

    Le problème est insoluble. Le RSA est à la fois trop généreux, car son universalité fait qu’il s’adresse aussi à des personnes qui, quel que soit l’angle du problème, n’ont rien à faire en France dans tous les sens du terme, et trop peu car il ne sort personne de la misère et empêche tout juste ses bénéficiaires de mourir de faim sous les ponts. On maintient artificiellement une population en vie mais pour ne rien en faire tandis que dans l’Aude, le Cantal et la Lozère, on maintient tout juste des foyers entiers hors de l’eau tout en enlevant services publics et activités. Des foyers qui pourtant travaillent. Des foyers qui se retrouvent à porter des Gilets Jaunes. Le candidat  a tranché, ce n’est pas à ceux de l’Aude et de la Lozère qu’il souhaite parler mais plutôt aux habitants de cette « Californie sans la mer » pour reprendre ses propres termes.

     

    Marc Eynaud

    Journaliste

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Le bobo des villes et le bobo des champs.

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2021

    Suite à l’appel de la Fédération nationale des chasseurs, des manifestations ont eu lieu le 18 septembre dernier, dans toute la France, pour dénoncer la politique de Barbara Pompili, ministre écolo à l’initiative de plusieurs décisions d’interdiction de chasses traditionnelles et notoire bobo anti-chasse parachutée à la Transition écologique.

    bobo des champs,bobo des villesChasseurs, agriculteurs et pêcheurs demandent sa démission et dénoncent « les attaques incessantes contre la ruralité » en mettant notamment en avant leur rôle dans la préservation de la biodiversité.

    « Pompili, au pilori ! »« Macron fossoyeur de nos traditions »« Arrêtez d’emmerder les ruraux »« Que les urbains nous foutent la paix ! », pouvait-on entendre au cours de ces manifestations. Au-delà de ces cris du cœur, il s’agit également, et peut-être surtout, de défendre un art de vivre, une « culture qui part en lambeaux », transmettre des traditions et préserver un patrimoine mis à mal par les « idéologues de la capitale ».

    À la ville comme au champ, le bobo est adepte de la diversité ; le bobo des villes milite pour la diversité culturelle, le bobo des champs prône la diversité naturelle. Quoi de plus louable, somme toute ? Sauf que le bobo, dans son écosystème citadin naturel, a le regard, à bien des égards, bien plus bienveillant que dans l’écosystème rural qu’il essaye de coloniser. En dehors de son milieu naturel initial, celui de la ville écoresponsable, connectée, sanitaire et solidaire, le bobo urbanisé s’avère être une espèce ubérisée assez envahissante. Et dominante.

    La France périphérique, celle des  des ronds-points, victime de la mondialisation, a été reléguée au rang de citoyens de seconde zone au profit d’une population importée et d’une paix civile subsidiée à coups de milliards. Si la République des banlieues a été gavée de politique de la ville, après la France périphérique, c’est maintenant à la France profonde, privée d’une politique rurale et dernier rempart à l’homogénéisation idéologique, de subir les coups de boutoir d’une caste hors-sol.

    « On a en face de nous des démagogues. On ne demandera jamais à un vegan de manger de la viande, qu’on nous foute la paix ! Qu’on nous laisse vivre », a lancé Willy Schraen, président de la Fédération nationale des chasseurs, appelant à la création d’un grand ministère de la Ruralité « pour s’y sentir enfin chez nous ». Après la police de la pensée républicaine, nous voici dans l’ère de la police alimentaire et de l’ radical. Et de poursuivre : « On est entrés dans une période de fracture idéologique assez forte ». Des fractures dont on ne compte plus le nombre au sein d’une République fragmentée qui a déconstruit la France : fractures sociale, cultuelle, sanitaire, éducationnelle, civilisationnelle ; une tribalisation idéologique, conséquence de la déconstruction de nos racines historiques, de la liquéfaction progressiste d’un socle de valeurs communes.

    La chasse est le troisième loisir préféré des Français. Avec plus d’un million de chasseurs en possession d’un permis de chasse valide, la France est le pays européen le plus peuplé de chasseurs. Pire, 97,8 % des chasseurs sont des mâles, dont presque la moitié ont moins de 55 ans. Un électorat très courtisé en période de chasse à l’électeur. Nos campagnes sont donc armées de fusils de chasse mais désarmées face à la démagogie de minorités agissantes qui conçoivent cette activité comme le reliquat d’une société patriarcale à déviriliser.

     

    Pierre Mylestin

    Médecin

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Le président croate déclare à la télévision que ceux qui ne veulent pas se faire vacciner ne constituent pas une menace et qu’il faut tourner la page

    Publié par Guy Jovelin le 26 septembre 2021

    Croatie – Au cours d’un entretien à la presse diffusé par la chaîne d’information croate N1 Hrvatska et relayé par Total-Croatia-News, le président croate Zoran Milanović (social-démocrate) a évoqué la question du chantage à la vaccination anti-Covid.

    « Je m’en moque. Nous sommes suffisamment vaccinés », a-t-il répondu à une journaliste qui le questionnait sur le taux de vaccination en Croatie de 50%, beaucoup plus faible que la moyenne européenne. « Nous n’irons pas au-delà de 50%. Qu’ils nous clôturent avec du fil de fer. Ils ne le feront pas.[…] Nous devons savoir quel est le but de cette frénésie. […] Ce qui compte maintenant, c’est l’ajustement et la reprise d’une vie normale. »

    « Je commence mes journées avec CNN et ces quelques chaînes. Et je me demande si je suis normal ou s’ils sont fous ? Ils répandent la panique. Ils le font depuis le début. [Et] ils ne sont pas les seuls. […] il n’y a tout simplement pas de sécurité absolue. Il n’y a pas de vie sans risque, sans la possibilité de tomber malade. Les gens tombent malade à cause de milliers d’autres choses plus graves. Et pendant ce temps, ça fait un an et demi qu’on parle du Covid. »

    Et le président Milanović de conclure : « Si quelqu’un ne veut pas se faire vacciner, il ne constitue pas une menace pour moi. Cela doit être compris et nous devons recommencer à vivre normalement car nous ne pourrons pas éradiquer ce virus ».

     

    Source : medias-presse.info

  • Honneur au caporal-chef Blasco tué en opération au Mali. Pour rien, sinon la gloire de nos armes.

    Publié par Guy Jovelin le 25 septembre 2021

    Honneur au caporal-chef Blasco tué en opération au Mali. Pour rien, sinon la gloire de nos armes.
    Honneur à ce guerrier français d'élite mais n'en rajoutons pas dans l'émotivité, signe clinique de notre faiblesse. Chaque hommage aux Invalides témoigne aux yeux de nos ennemis de notre peur de la mort et de notre incapacité collective à faire face.
    Rappelons que le 22 août 1914, 27 000 de nos soldats tombaient en 24h pour la France dans la terrible bataille des frontières.
    JFT.
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  • Le PDG de Moderna affirme que même les plus jeunes devront recevoir des rappels de vaccins pendant une durée indéterminée

    Publié par Guy Jovelin le 25 septembre 2021

     

    Le PDG du géant pharmaceutique Moderna affirme que même les plus jeunes devront se faire vacciner au moins une fois tous les trois ans, ce qui signifie qu’une société à deux vitesses qui punit les non-vaccinés pourrait rester en place indéfiniment.

    Selon Stéphane Bancel, la pandémie se poursuivra pendant encore au moins un an, après quoi il y aura suffisamment de doses de vaccin “pour que tout le monde sur cette Terre puisse être vacciné”.

    “Ceux qui ne se font pas vacciner s’immuniseront naturellement car la variante Delta est très contagieuse”, a déclaré M. Bancel, tout en affirmant que ces personnes tomberont quand même malades.

    “Vous pouvez soit vous faire vacciner et passer un bon hiver. Soit vous ne le faites pas et vous risquez de tomber malade et peut-être même de finir à l’hôpital”, a déclaré le PDG de Moderna.

    M. Bancel affirme que la vie reviendra à la normale “dans un an”, mais que cela dépendra du fait que les gens continueront à recevoir régulièrement des injections de rappel de COVID-19.

    Le PDG a déclaré que les personnes âgées et vulnérables auraient “sans aucun doute” besoin d’une injection de rappel au moins une fois par an, tandis que même les personnes plus jeunes qui ont un risque infinitésimal de mourir du virus auront besoin de rappels tous les trois ans.

    Israël a déjà fait savoir que les passeports de vaccination contiendront la preuve obligatoire qu’une personne a reçu des rappels.

    Cela signifie que ceux qui espèrent survivre à la pandémie sans être vaccinés, et retrouver toutes leurs libertés l’année prochaine, risquent en fait de se retrouver dans un état policier permanent qui les maintiendra de facto enfermés pour toujours.

    Ceux qui, pour quelque raison que ce soit, refusent de se faire vacciner seront également victimes de discriminations lorsqu’il s’agira de voyager et de mener des activités de base dans de nombreux pays.

    Malgré l’insistance de Bancel sur le fait que la planète entière sera vaccinée d’ici un an, selon Amnesty International, “Moderna n’a pas encore livré une seule dose de vaccin à un pays à faible revenu.”

    Source : summit.news

    Traduction : lesmoutonsrebelles