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  • « Sandrine Rousseau est une Greta Thunberg ménopausée » : la description de Sandrine Rousseau par un chroniqueur de CNews indigne

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2021

     

    Reprochant à Sandrine Rousseau de “surjouer” sa radicalité, l’éditorialiste de CNews Guillaume Bigot l’a traitée de “sorte de Greta Thunberg ménopausée”.

    “Si vous l’écoutez, on a l’impression d’une illuminée. C’est la folie verte. C’est une sorte de Greta Thunberg ménopausée”, a lancé l’éditorialiste, en dissertant sur la stratégie de la candidate. Selon lui, l’intéressée “surjoue” sa radicalité. “Elle force le trait. Elle augmente le son. Quand je dis Greta Thunberg, on voit bien, elle a des yeux comme des chouettes (sic) et elle débite des trucs ultra-violents en regardant face caméra. C’est un peu ce que fait madame Rousseau. Elle n’a pas le même âge, c’est ce que je voulais dire”, a-t-il développé.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1442062076759789574

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Manuels scolaires : après l’apologie du migrant, l’éloge du confinement.

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2021

    Éducation nationale et idéologie : vaste sujet, énorme programme. Iris Bridier rappelait, d’ailleurs, ici à quel point le matraquage idéologique, notamment sur les questions écologiques et sociétales, était d’une redoutable efficacité

    apologie du migrant,éloge du confinement,manuels scolairesAprès la vague migratoire de 2015, le migrant avait envahi tous les programmes, tous les EPI [enseignements pratiques interdisciplinaires, NDLR] de l’époque Najat : anglais, histoire-géographie, français, et jusqu’à un manuel de latin présentant Énée comme un migrant. Pour la contextualisation (comme ils disent quand ça les arrange), l’esprit critique, le recul, il fallait aller chercher ailleurs qu’à l’école.

    En cette rentrée, les éditeurs qui connaissent ce tropisme idéologique d’une grande partie des enseignants et du gouvernement ont de nouveau répondu à l’appel. Depuis quelques jours circule, sur les réseaux sociaux, la double page d’un manuel Belin d’Histoire-Géographie-Éducation civique de 6e intitulée Coronavirus et confinement : je comprends ce qu’est l’intérêt général. Au passage, le même manuel intitule sa première partie d’Histoire La longue histoire de l’humanité et des migrations. Idéologie cumulative. La problématique du chapitre est la suivante : « Comment certaines libertés peuvent-elles être suspendues au nom de l’intérêt général ? » Le message et l’angle sont clairs : aux nouveaux collégiens qui subissent depuis deux ans le ballet délirant des protocoles, des masques, des fermetures de classes, le collège vient cautionner le tout par son label « éducation civique ».

    Plusieurs parents se sont émus de la chose. Cités par 20 Minutes, ils déplorent cette nouvelle intrusion de la propagande gouvernementale au collège : « Une maman vient de m’envoyer une photo d’un manuel d’histoire-géo paru cette année pour les [élèves de] 6e. Je trouve cela aberrant. Est-ce qu’un parent peut confirmer ? »« La propagande En Marche s’affirme ! »« Les enfants doivent s’habituer à la limitation des libertés individuelles ? Non mais franchement ! C’est scandaleux ! »

    Dans sa vérification, 20 Minutes est bien obligé de constater que l’info n’est pas un fake mais tente de sauver la face de l’éditeur en l’interrogeant : « Les auteurs ont choisi l’exemple du  pour illustrer les notions d’intérêt général et d’intérêt particulier [et] ancrer des notions abstraites dans un cas concret qu’ont vécu les élèves de 6e », sans que “la double page ne se positionne pour ou contre le confinement”. » La réponse suffit au journal. Elle est pourtant très contestable, puisqu’aucune place n’est laissée, dans ce chapitre, aux contestations des mesures gouvernementales, ni aux conséquences négatives du  en termes d’apprentissages et de troubles psychosociaux sur les enfants. La vision qui en ressort est très lisse et relativement positive.

    Puisque l’éditeur se justifie par la nécessité d’une mise à jour permanente (« Nous estimons – et cela est l’attente des enseignants de cette discipline d’histoire-géographie-enseignement moral et civique – qu’une mise à jour des documents, des sujets d’illustration des notions et des états statistiques doit être réalisée régulièrement »), pourquoi ne pas songer à une double page sur la responsabilité des ministres dans la gestion de la crise, les plaintes et la mise en examen d’ par les juges de la Cour de  de la République ? C’est aussi de l’éducation civique.

     

    Frédéric Sirgant

    Professeur d'Histoire

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Les mineurs isolés, à l’avant-garde de l’insécurité dans le métro parisien.

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2021

    ARTICLE. Dans un entretien accordé au Parisien, la Sûreté régionale des transports dénonce « la délinquance de masse » des mineurs isolés dans le métro parisien. Ils représenteraient près de la moitié des interpellations, d’après la source policière.

    Le phénomène des mineurs isolés constitue « une délinquance de masse sur notre réseau », rapporte la commissaire Noémie Cognard, adjointe au chef de la Sûreté régionale des transports (SRT) aux journalistes du Parisien. Après avoir suivi le quotidien des 75 agents de la police des transports qui patrouillent sur le réseau francilien, le quotidien rapporte ce lundi le propos des autorités en matière de délinquance.

    Un « sentiment » d’insécurité ?

    Si les vols à la tire ainsi qu’à l’arraché constituent les délits les plus fréquents, les mineurs isolés sont responsables de près d’un fait sur deux dans les transports en commun, d’après les autorités. La RATP et la SNCF « nous ont fait part d’un sentiment d’insécurité grandissant chez les usagers, qui ont l’impression d’assister à une recrudescence des vols à l’arraché commis par les mineurs non-accompagnés », rapporte la commissaire Noémie Cognard au Parisien. Et l’officier de constater que « le phénomène des MNA (mineurs non accompagnés, NDLR), c’est une délinquance de masse sur notre réseau : en 2021, au moins 40 % de nos mis en cause ont dit être MNA ».

    Mais contre toute attente, la délinquance des MNA dans les transports franciliens est en baisse. Effets du coronavirus ou encore de la fermeture des frontières, sur les sept premiers mois de 2021, 38 % des mis en cause se disent être des mineurs isolés, contre 52 % en 2020 et 58 % en 2019.

    D’après les sources policières, les mineurs isolés sont souvent drogués au clonazépam pendant leur infraction, une molécule surnommée « Dame Courage », pour ses vertus désinhibantes.« Souvent, leurs victimes ne sentent rien. Mais lorsqu’ils s’attaquent à des personnes âgées – ou d’autres personnes vulnérables – celles-ci peuvent chuter et se blesser parfois gravement », rapporte le Parisien. Mais impossible d’avoir recours à des gaz lacrymogènes ni même à un pistolet à impulsion électrique face des comportements régulièrement violents, venus d’individus souvent armés de couteaux ou de cutters : la loi le proscrit.

     

    N.B. : La sécurité sera l’un des enjeux majeurs des présidentielles à venir. Parce que le sujet est trop sérieux pour être abandonné au laxisme judiciaire et à l’angélisme ambiant, Front Populaire propose des solutions, à retrouver dans le nouveau numéro de notre revue.

    Front Populaire n°6 : Le droit à la sécurité, contre l’ensauvagement. Disponible à la commande ici.

     

    La rédaction

    Source : https://frontpopulaire.fr/

  • « Abbé mousse papas »

    Publié par Guy Jovelin le 28 septembre 2021

    « Abbé mousse papas »

    Initiative intéressante :

    À Flers, dans l’Orne, le père Christophe Peschet lance une soirée mensuelle pour retrouver de façon informelle des pères – mariés ou célibataires – pour discuter autour d’une bière. Son nom ? « Abbé mousse papas ». Un jeu de mots amusant pour une soirée qui se veut détendue. « On voit beaucoup les mamans à la paroisse, explique le père Peschet. Beaucoup moins les papas. »

    Les soirées « Abbé mousse papas » ont été créées en 2013 à Paris, dans le sillage des débats sur la famille et du développement des pèlerinages des pères de famille, notamment vers Le Mont-Saint-Michel. Depuis, l’initiative a fait des émules. « Il y a une grande pression sur les épaules des pères, à la fois dans le monde du travail et à la maison », explique l’abbé Raphaël Cournault, qui a lancé l’initiative à Melun (Seine-et-Marne) en la complétant par un temps de prière et des conférences.

    « Ils sont heureux de se trouver pour un moment fraternel, sans le regard du bureau, de leur épouse ou des enfants, poursuit l’abbé Cournault. Les pères ne sont pas obligés d’être parfaits ! » À Melun (Seine-et-Marne), les mères de famille ont aussi leur soirée dédiée.

    À Flers, le père Peschet assure « ne pas chercher à convaincre quiconque de quoi que ce soit. Peut-être qu’on ne parlera même pas d’Église. Il s’agit surtout de tisser des liens ». Et les hommes sans enfant peuvent également venir. « On ne fait pas de test de paternité ! » promet-il.

     

    Source : lesalonbeige

  • Bruxelles : Deux agents de quartier encerclés et pris à partie par une trentaine de jeunes. « Ici, c’est chez nous, c’est nous qui gérons la cité ! »

    Publié par Guy Jovelin le 27 septembre 2021