Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 17

  • Cambrai (59) : un Tunisien, déjà connu de la justice, baisse son pantalon et exhibe son sexe devant des mineurs en pleine rue, avant de donner un coup de tête à l’un d’entre eux

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2022

    Les faits se sont passés le 22 septembre 2021 dans la rue Alsace-Lorraine à Cambrai lorsque des jeunes, dont plusieurs mineurs, voient arriver le prévenu dans un état alcoolisé très prononcé. Ce dernier va alors baisser son pantalon jusqu’aux genoux et leur montrer ses attributs sexuels. Une altercation va avoir lieu et le prévenu va donner un coup de tête à un des jeunes. Ceux-ci vont faire appel à la police qui arrive assez vite sur les lieux. Le prévenu s’avance vers eux en titubant une canette de bière à la main. Il baisse de nouveau son pantalon et exhibe son sexe devant les policiers. Il est appréhendé et emmené dans le véhicule de service. Pendant le trajet, il va cracher sur les sièges.

    (…) Né en Tunisie, travaillant dans la restauration, le prévenu est arrivé en France en 2019 (…) Son casier judiciaire comporte trois condamnations pour des violences et des affaires de stupéfiants.

    Au final, le tribunal condamne le prévenu à cinq mois de détention aménagés à domicile sous surveillance électronique et à 300 € d’amende contraventionnelle.

    La VDN via fdesouche

  • Assigné à résidence à Noyon (60), l’ex-djihadiste Karim Ouagueni arrêté en Allemagne : “J’espérais pouvoir retourner en Algérie plus facilement”

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2022

    Depuis son passage dans les rangs de l’Etat islamique en Syrie en 2013, Karim Ouagueni est dans les radars des services de renseignements. Soumis à une assignation à résidence, ce dernier a été localisé par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) en Allemagne. Extradé en France, il est condamné en comparution immédiate, ce jeudi 17 février, à six mois de prison ferme.

     

    «J’estime ne pas avoir violé la loi», assure le prévenu depuis le box où il comparaît détenu. S’il a rejoint l’Allemagne, dit-il, c’est parce que les relations entre l’Allemagne et l’Algérie (son pays d’origine) étaient meilleures que les relations entre la France et l’Algérie. «J’espérais pouvoir retourner en Algérie plus facilement. Parce qu’en France, le consulat me dit que ma situation est bloquée et qu’on ne peut pas me délivrer de laissez-passer.»

    Et s’il s’explique lui-même, c’est parce qu’il a refusé d’être assisté par un avocat. «Ma religion me l’interdit», assure le prévenu de confession musulmane.

    www.oisehebdo.fr via fdesouche

  • S’il est élu Président de la République, Jean-Luc Mélenchon commencera par “une opération de régularisation des sans-papiers”

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2022

    Immigration: Mélenchon annonce qu’il commencera par une opération de régularisation de sans-papiers s’il est élu

    Romain Patoux ne cache pas ses intentions de vote. À 33 ans ce père de famille qui réside à Gap entend voter pour Éric Zemmour à cette élection présidentielle. Il ne comprend pas comment Mélenchon ne parle pas la sécurité et de l’immigration alors que, selon lui, c’est un sujet crucial aujourd’hui.

    Une position que ne partage pas le candidat insoumis qui a d’ailleurs annoncé une mesure qu’il entend mettre rapidement en oeuvre s’il est élu: “je commencerai par une opération de régularisation des sans papiers”.

    BFMTV via fdesouche

  • La grande désinformation de l’Amérique sur l’Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 18 février 2022

     3795001252.485.jpg

    Mercredi est venu et la Russie n’a pas envahi l’Ukraine. Pourquoi mercredi (16 février) ? C’est la date distillée pour une invasion annoncée en vain depuis des mois, la crise actuelle ayant démarré en novembre.

    Le président ukrainien Volodymyr Zelenski a naïvement relayé cette « information » décisive le 14 février : « On nous dit que le 16 février sera le jour de l’attaque. Nous allons en faire une journée de l’unité. » Passons sur le concept d’unité ukrainienne qui n’a jamais existé, ce pays étant structurellement coupé en deux pôles qui lorgnent vers deux directions totalement opposées

    amérique,grande désinformatiçon,ukraineC’est aussi le 14 février que les Etats-Unis ont annoncé le déplacement de leur ambassade de Kiev vers l’ouest de l’Ukraine à Lviv. Etrange signal donné à un allié que l’on prétend soutenir tout en évacuant son personnel diplomatique loin de là alors que l’invasion n’a même pas eu lieu !

    Pour la petite histoire, signalons que Lviv s’est toujours appelé Lvov mais dans le cadre de la « dérussification » de l’Ukraine, les autorités lui ont donné un nom à consonnance ukrainienne. Dans le même registre, Kharkov, grande bataille de la seconde guerre mondiale, s’appelle maintenant Kharkiv. Il faut suivre.

    D’où vient cette rumeur d’invasion annoncée pour le 16 février ? Tout simplement d’une dépêche de l’agence Associated Press publiée le 12 février donnant comme source « un officiel familier du dossier ». Beaucoup de médias ont repris, comme souvent, cette dépêche sans procéder à la moindre vérification.

    Le secrétaire d’Etat américain, Anthony Blinken, avait, sans être aussi précis, distillé lui aussi une échéance : « une attaque pourrait commencer à tout moment, et pour être clair cela inclut la période des Jeux olympiques. »

    Tout au long de ces quatre mois de crise, les dirigeants américains auront soufflé sur les braises, Biden en tête. Il est vrai que l’Ukraine lui tient personnellement à cœur puisque son fils y « a naguère trouvé un emploi fort bien rémunéré » comme le rappelle opportunément Renaud Girard dans son excellent article publié dans le Figaro du 15 février. Donald Trump avait essayé de déclencher un « Ukrainegate » à propos de cette étrangeté du CV de la famille Biden, mais l’affaire fut vite étouffée.

    Dans le cadre de sa grande offensive médiatique, la Maison Blanche avait évoqué la présence d’agents russes prêts à créer « un écran de fumée » c’est-à-dire une opération de sabotage donnant un prétexte à une intervention militaire. Blinken avait consciencieusement embrayé : « Personne ne devrait s’étonner si la Russie est à l’initiative d’une provocation puis essaye de l’utiliser. » On se croirait revenu à la délicieuse époque des armes de destruction massive da Sadam Hussein.

    Quant au mot « imminente » accolé à invasion, il fut répété en boucle. La porte-parole de la Maison blanche, Jen Psaki, s’en défend : « je ne l’ai utilisé qu’une fois ». Cela suffisait en effet pour être repris ad nauseam.

    Les Britanniques, en bon petit soldats, ont été très en pointe dans cette vaste opération d’intoxication, annonçant par exemple que le Kremlin allait installer « un dirigeant pro-russe à Kiev ».

    Comme un pied de nez aux alarmes atlantistes, Poutine, en remarquable joueur d’échecs qu’il est, a précisément choisi le moment de tension extrême pour annoncer un retrait partiel de ses troupes. Les prochains jours confirmeront ou non ce retrait mais, quoi qu’il en soit, les tensions autour de l’Ukraine sont loin d’être terminées. Les Russes, nous le savons ne veulent pas de l’Ukraine dans l’OTAN, c’est assez simple à comprendre.

    Alors il serait temps d’inverser la perspective et de constater qu’il ne tient qu’aux Américains de décider s’ils veulent la guerre en Ukraine ou non.

     

    Source : lafautearousseau

  • Pessac (33) : Les habitants ne veulent pas d’un centre de rétention pour migrants derrière leurs pavillons. “La mobilisation contre ce projet est très forte (…) C’est inadmissible”

    Publié par Guy Jovelin le 17 février 2022

    Des habitants du quartier du Monteil à Pessac, près de Bordeaux, se mobilisent après avoir appris l’existence d’un projet de construction d’un Centre de rétention administrative (CRA) en bordure de leur zone pavillonnaire

    La patate chaude pourrait vite devenir incandescente, surtout en période électorale. Les habitants du quartier du Monteil, à Pessac, dans la banlieue de Bordeaux, ont appris il y a quelques jours l’existence d’un projet de Centre de Rétention Administrative (CRA) en bordure de leur zone pavillonnaire, d’ici à 2024. La préfecture a lancé les premiers marchés publics pour la réalisation de l’infrastructure, d’un montant d’environ 20 millions d’euros. (…)

    « La mobilisation est très forte »

    La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre dans le quartier, dont les habitants se sont mobilisés en un temps record. Une première manifestation a eu lieu mardi, et une réunion publique est organisée ce lundi en vue de monter un collectif. « Le quartier du Monteil c’est 6.000 habitants, dont 3.000 rien que sur ce secteur, prévient Jean-Claude Juzan, président du comité de défense et des fêtes des quartiers du Monteil. Et la mobilisation est très forte. »

    Pas une démarche « politique »

    Si les CRA font régulièrement l’objet de critiques concernant les conditions de rétention des étrangers qui y sont maintenus, les habitants ne souhaitent pas se positionner dans ce débat, précisant que leur mouvement « n’est pas politique ». Ils s’élèvent contre un projet « qui n’a rien à faire dans un secteur pavillonnaire ». Le bâtiment principal serait installé en bordure du lotissement Monbalon 1, et le parking en bordure des pavillons du lotissement Village de Madran.

    « Pour nous, poursuit Jean-Claude Juzan, c’est inadmissible par rapport aux nuisances que cela va engendrer, notamment la destruction d’un petit bois pour en faire un parking, la bétonisation des sols, et par répercussion le volume de véhicules dans ce secteur, sans parler du bruit. Pourquoi ne le fait-on pas aux abords de l’aéroport, ce qui est le cas généralement pour les autres CRA ? Il y a une vraie crainte de la part des résidents de subir une dévalorisation de leurs biens. »

    20 minutes