Publié par Guy Jovelin le25 févrir 2022
D'accord avec Yves Pozzo di Borgo (sur tweeter) :
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Publié par Guy Jovelin le25 févrir 2022
D'accord avec Yves Pozzo di Borgo (sur tweeter) :
Publié par Guy Jovelin le 25 février 2022
Après le laboratoire Pfizer qui est sous accusation pour, entre autres choses, avoir falsifié des données et eu des « retards dans la surveillance des effets secondaires », serait-ce le tour du laboratoire Moderna à être sur la sellette ?
« De nouveaux soupçons selon lesquels le Covid aurait pu être bricolé dans un laboratoire sont apparus aujourd’hui après que des scientifiques ont découvert du matériel génétique appartenant à Moderna dans la protéine de pointe du virus » peut-on lire dans le quotidien à grand tirage britannique le Dailymail dénommé aussi Mailonline. Cette nouvelle est reprise pareillement dans les colonnes de journaux allemands et étrangers, a contrario des médias mainstream français qui comme à leur habitude sont particulièrement silencieux quand une nouvelle vient détruire le narratif politiquement correct concernant l’origine animal du covid.
Les chercheurs explique le Dailymail « ont identifié un minuscule extrait de code identique à une partie d’un gène breveté par le fabricant de vaccins trois ans avant la pandémie. Il a été découvert dans le site unique de clivage de la furine du SRAS-CoV-2, la partie qui le rend si efficace pour infecter les gens et le sépare des autres coronavirus. La structure a été l’un des points focaux du débat sur l’origine du virus, certains scientifiques affirmant qu’il n’aurait pas pu être acquis naturellement. L’équipe internationale de chercheurs suggère que le virus pourrait avoir muté pour avoir un site de clivage de la furine lors d’expériences sur des cellules humaines en laboratoire. Ils affirment qu’il y a une chance sur trois billions que la séquence de Moderna soit apparue au hasard au cours de l’évolution naturelle. Mais il y a un débat sur la question de savoir si la correspondance est aussi rare que le prétend l’étude, d’autres experts la décrivant comme une coïncidence « excentrique » plutôt qu’une « arme irréfutable« . »
Le quotidien britannique rappelle que Moderna a déposé le brevet de cette séquence « en février 2016 dans le cadre de sa division de recherche sur le cancer, selon les dossiers. La séquence brevetée fait partie d’un gène appelé MSH3 qui est connu pour affecter la façon dont les cellules endommagées se réparent dans le corps. Il a été approuvé le 7 mars de l’année suivante. »
Le Dailymail résume l’étude publiée dans Frontiers in Virology :
« Les chercheurs comparent la composition de Covid à des millions de protéines séquencées sur une base de données en ligne. Le virus est composé de 30 000 lettres de code génétique (appelées ARN, ndlr) qui contiennent les informations dont il a besoin pour se propager, appelées nucléotides. C’est le seul coronavirus de ce type à porter 12 lettres uniques qui permettent à sa protéine de pointe d’être activée par une enzyme commune appelée furine, lui permettant de se propager facilement entre les cellules humaines. L’analyse du génome original de Covid a révélé que le virus partage une séquence de 19 lettres spécifiques avec une section génétique appartenant à Moderna, qui compte un total de 3 300 nucléotides. (…) Douze des lettres partagées constituent la structure du site de clivage de la furine de Covid, le reste étant une correspondance avec des nucléotides sur une partie voisine du génome.
« Écrivant dans l’article, dirigé par le Dr Balamurali Ambati, de l’Université de l’Oregon, les chercheurs ont déclaré que le code correspondant pourrait avoir été introduit à l’origine dans le génome de Covid par le biais de cellules humaines infectées exprimant le gène MSH3.
« Le professeur Lawrence Young, virologue à l’Université de Warwick, a admis que la dernière découverte était intéressante mais a affirmé qu’elle n’était pas suffisamment significative pour suggérer une manipulation en laboratoire. Il a déclaré à MailOnline : ‘’Nous parlons d’un très, très, très petit morceau composé de 19 nucléotides.’ Pour être franc, cela ne veut donc pas dire grand-chose, si vous effectuez ce type de recherches, vous pouvez toujours trouver des correspondances. Parfois, ces choses se produisent par hasard, parfois c’est le résultat d’une évolution convergente (lorsque les organismes évoluent indépendamment pour avoir des traits similaires pour s’adapter à leur environnement).‘’
« (…) Le Dr Simon Clarke, microbiologiste à l’Université de Reading, s’est demandé si la découverte était aussi rare que le prétend l’étude. Il a déclaré à MailOnline : ‘’Il ne peut y avoir qu’un certain nombre de [combinaisons génétiques dans] les sites de clivage de la furine. Ils fonctionnent comme une serrure et une clé dans la cellule, et les deux ne s’emboîtent que dans un nombre limité de combinaisons. C’est donc une coïncidence intéressante, mais c’est sûrement une coïncidence.‘’ »
La généticienne Alexandra Henrion-Caude s’émeut sur twitter de cette découverte qui lui apporte au contraire la preuve qui lui manquait sur l‘origine humaine du virus covid-19 :
« La clé est enfin publiée #modernagate!
#CTCCTCGGCGGGCACGTAG nous amène la preuve que cette séquence de clivage-qui m’intriguait depuis le début dès avril 2020 sans jamais avoir pu l’exprimer dans les mainstream- était brevetée. »
Cette découverte pourrait-elle expliquer la perte de confiance de la bourse en le laboratoire Moderna et la vente massive de ses actions par son PDG Stéphane Bancel ?
Un Modernagate en perspective ?
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 25 février 2022
En soutenant, en 2014, la révolte de Maïdan anti-russe en Ukraine contre le président démocratiquement élu, Viktor Ianoukovytch, favorable à un pacte économique avec Moscou, l’Union Européenne, sous l’impulsion des Etats-Unis, a déstabilisé la région.
Depuis lors, les régions séparatistes pro-russes du Donbass connaissent une guerre sournoise menée par Kiev et son gouvernement pro-européen, -bombardements, guerre linguistique contre le russe, vexations antirusses- sans que cela n’émeuve les puissances occidentales, promptes aujourd’hui à condamner Poutine qui leur vient en aide.
La situation de ces derniers jours, et l’intervention russe dans le Donbass, sont un grand échec du coup d’Etat mené par les puissances occidentales en 2014, une faillite pour l’Europe, et une victoire pour l’empire américain, cette guerre sur le sol européen fragilisant le Vieux continent et bénéficiant économiquement aux Etats-Unis. Une guerre anti-russe qui a commencé en 2014 !
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 24 février 2022
Ce jeudi, le jeune agresseur était toujours en garde à vue. Et les enquêteurs visionnaient les images de vidéosurveillance de la RATP afin de connaître le déroulement précis des faits.
Mercredi soir, peu avant 19 heures, à la station de métro de la Porte de Bagnolet (XXe), trois agents de sécurité du GPSR (groupe de protection et de sécurité des réseaux) de la RATP, qui étaient hors service, ont voulu intervenir alors qu’une scène de violences se déroulait sur le quai de la ligne 3, en direction de Levallois.
Pour des raisons encore obscures, les choses ont dégénéré et l’agresseur a planté son couteau dans la cuisse d’un des agents. Il a tout de même été maîtrisé, désarmé et menotté. Les agents de la RATP ont alors appelé la police. Une patrouille de la brigade des réseaux franciliens est intervenue.
Publié par Guy Jovelin le 24 février 2022
Ils viennent d’Afrique pour plus de la moitié, et les dispositifs de rapatriement ne sont presque jamais activés.
Ils étaient 17.198 au 1er octobre 2021. C’est le dernier décompte que l’administration pénitentiaire a effectué des détenus étrangers qui occupent les prisons françaises, qu’ils soient prévenus ou condamnés. Sur une population pénale qui à cette date, s’élevait à 69.173 individus, leur proportion s’élève donc à 25 %. À titre de comparaison, ce chiffre était de 17,2 % dix ans auparavant, en 2011.
Dans le détail, 9793 sont originaires du continent africain, soit 56 % d’entre eux, dont 3472 en provenance d’Algérie, 2220 du Maroc, 1117 de Tunisie et 2984 du reste des pays d’Afrique. On compte aussi 5109 détenus européens. Un peu plus de la moitié, soit 2983, sont ressortissants de l’Union européenne. Dans les prisons françaises sont également incarcérés 880 détenus en provenance d’Asie et 1308 d’Amérique, majoritairement du Sud.
Au dernier décompte, le 1er octobre 2021, la France comptait 17.198 détenus étrangers dans ses prisons, soit 25% de la population carcérale totale (contre 17,2% en 2011). Un chiffre en constante hausse et qui pèse sur les finances du système pénitencier. Comme le rapporte Le Figaro, alors qu’un détenu coûte 110 euros par jour (repas, eau, chauffage, frais de personnel), le coût total des prisonniers étrangers avoisine les 700 millions d’euros par an.
(…) Capital.fr