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  • Chaque jour en Île-de-France, 95 voitures et deux-roues sont volés, la majorité des véhicules sont retrouvés en Seine-Saint-Denis

    Publié par Guy Jovelin le 23 février 2022

    Spécialisée dans les solutions de traçage des véhicules volés, la société Coyote Secure publie chaque année ses chiffres concernant les vols des deux-roues et quatre-roues en France. Comme le révèle Le Parisien, ce mercredi 23 février 2022, la région Île-de-France a été la plus touchée en 2021 avec 34 727 vols, soit 95 par jour.

    Ces chiffres, qui sont quasiment les mêmes qu’en 2020, ont été confirmés par le ministère de l’Intérieur. Si la majorité des vols ont lieu à Paris, le Val-de-Marne et les Hauts-de-Seine arrivent respectivement en deuxième et troisième positions. Mais c’est en Seine-Saint-Denis que la majorité des véhicules volés sont retrouvés, précise le quotidien francilien.

    Les motos et les scooters représentent presque 62 % des véhicules dérobés en Île-de-France. « Trois quarts de ces deux-roues étaient équipés d’une protection physique comme une chaîne, mais on voit que ça n’arrête pas les malfaiteurs », a expliqué à nos confrères Jérôme Arnac, directeur marketing et produits de Coyote. Il précise que la majorité des malfaiteurs sont aujourd’hui équipés de dispositifs électroniques qui leur permettent d’ouvrir les véhicules sans avoir à casser de vitres.

    Ouest-France via fdesouche

  • Le pape loue la richesse de la diversité liturgique

    Publié par Guy Jovelin le 23 février 2022

    Le pape loue la richesse de la diversité liturgique

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    Recevant le 18 février les participants à l’Assemblée Plénière de la Congrégation pour les Églises Orientales, le pape leur a déclaré :

    […] Mais la beauté des rites orientaux constitue bien plus qu’une oasis d’évasion ou de conservation. L’assemblée liturgique se reconnaît telle non pas parce qu’elle se convoque elle-même, mais parce qu’elle écoute la voix d’un Autre, en restant tournée vers Lui, et c’est précisément pour cela qu’elle ressent l’urgence d’aller vers le frère et la sœur en portant l’annonce du Christ. Ainsi, les traditions qui gardent l’usage de l’iconostase, avec la porte royale, ou le voile qui cache le sanctuaire à certains moments du rite, nous enseignent que ces éléments architecturaux ou rituels ne transmettent pas l’idée de la distance de Dieu, mais au contraire, exaltent le mystère de condescendance – de syncatabasis – par lequel le Verbe est venu et vient encore dans le monde.

    Le Congrès liturgique pour les 25 ans de l’Instruction sur l’application des prescriptions liturgiques du Code des Canons des Églises Orientales est l’occasion de mieux se connaître parmi les commissions liturgiques des différentes Églises sui iuris ; c’est une invitation à marcher ensemble avec le Dicastère et ses Consulteurs, selon la voie indiquée par le Concile Œcuménique Vatican II. Sur ce chemin, il est bon que chaque composante de l’unique et symphonique Église catholique se maintienne toujours à l’écoute des autres traditions, de leurs itinéraires de recherche et de réforme, tout en gardant chacune sa propre originalitéLa fidélité à son originalité propre est ce qui fait la richesse symphonique des Églises orientales. On peut s’interroger, par exemple, sur la possible introduction d’éditions de la liturgie dans les langues des pays où les fidèles se sont répandus ; mais sur la forme de la célébration, il est nécessaire de vivre l’unité selon ce qui est établi par les Synodes et approuvé par le Siège Apostolique, en évitant des particularismes liturgiques qui, en réalité, manifestent d’autres divisions au sein des Églises respectives. En outre, n’oublions pas que les frères des Églises Orthodoxes et Orthodoxes Orientales nous regardent : même si nous ne pouvons pas nous asseoir à la même table eucharistique, nous célébrons et prions cependant presque toujours les mêmes textes liturgiques. Soyons donc attentifs à des expérimentations qui peuvent nuire au cheminement vers l’unité visible de tous les disciples du Christ. Le monde a besoin du témoignage de la communion : si nous faisons scandale avec les querelles liturgiques – et malheureusement, il y en a eu quelques-unes récemment – nous faisons le jeu de celui qui est maître de la division.

     

    Source : lesalonbeige

  • Viktor Orbán : la Hongrie soutient la souveraineté et l’intégrité territoriale de l’Ukraine

    Publié par Guy Jovelin le 23 février 2022

    lesobservateurs

    Le Premier ministre Viktor Orbán a eu mardi une conversation téléphonique avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky sur le conflit russo-ukrainien, a déclaré Bertalan Havasi, porte-parole du Premier ministre, à MTI. Le Premier ministre hongrois a expliqué lors de la réunion :

    La Hongrie, en tant qu'État voisin, suit avec inquiétude l'évolution de la situation en Ukraine.

    Viktor Orbán a informé le président Zelensky que la Hongrie, dans le cadre d'une réponse européenne coordonnée, soutiendrait les efforts conjoints de l'UE pour résoudre la situation.

    Il a ajouté que dans ce cadre, le gouvernement hongrois est en concertation permanente avec ses alliés occidentaux.

    Au cours de la discussion, Viktor Orbán a assuré  Volodymyr Zelensky que la Hongrie, comme auparavant, continuerait de soutenir la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'Ukraine.

  • Vente des terminaux Ingenico : « fin d’une aventure industrielle dans laquelle la France était parvenue à construire un leader mondial »

    Publié par Guy Jovelin le 23 février 2022

    LePanacheFrançais 23/02/2022 à 1h33
     

    Clap de fin. En cédant au fonds américain Apollo la totalité de la branche de terminaux de paiement d’Ingenico (TSS), Worldline signe la fin d’une aventure industrielle dans laquelle la France était parvenue à construire un leader mondial.

    Avec une base installée dans le monde de plus de 35 millions d’unités, le géant français créé en 1980 partage encore aujourd’hui la quasi-totalité du marché des terminaux de paiement avec son principal concurrent, l’américain Verifone.

    La naissance de ce fleuron national a participé au développement d’une expertise française en matière de sécurisation des transactions par le hardware, au même titre que l’invention de la carte à puce par des ingénieurs français.

    Jusqu’à présent, ce savoir-faire à la française était d’ailleurs protégé par l’Etat français. Fin 2010, le gouvernement en place avait demandé à Safran, qui était alors actionnaire d’Ingenico, de ne pas vendre sa participation de 22,5 % au groupe américain Danaher. Le caractère stratégique de son savoir étant mis en avant.

    A l’époque, le ministre de l’Industrie Eric Besson avait qualifié Ingenico de « pépite française (…) essentielle à la filière économique ». La levée de boucliers des dirigeants avait finalement poussé Danaher à retirer son projet d’OPA.

    La situation n’est plus la même aujourd’hui. Le gouvernement n’a pas répondu aux fusées de détresse des syndicats d’Ingenico qui, au mois de juin dernier, se sont inquiétés que l’expertise de TSS soit convoitée par des fonds américains. Contacté, Bercy n’a même pas souhaité commenter l’opération annoncée ce lundi.

    Il faut dire que le contexte n’est plus le même. Le marché des terminaux est certes en plein boum : l’accélération de la digitalisation des paiements pousse de nombreux commerçants à s’équiper afin de pouvoir accepter les paiements par carte. Mais il est également en plein bouleversement avec l’arrivée de nouveaux acteurs et de nouvelles technologies qui font vaciller les empires bâtis par les acteurs traditionnels. […]

    Les Echos via fdesouche

  • Renault: le groupe automobile français est particulièrement exposé en Russie, son deuxième marché en volumes

    Publié par Guy Jovelin le 23 févier 2022

    La géopolitique va-t-elle contrarier les plans de croissance de Renault ? Le groupe automobile français fait probablement partie des entreprises les plus surveillées par les investisseurs sur les répercussions des décisions de Vladimir Poutine de reconnaître l’indépendance du Donbass (Est de l’Ukraine) et d’y dépêcher des troupes militaires. Le titre a baissé de près de 3,76% ce mardi au lendemain des annonces du président russe, après avoir déjà chuté hier de 3,96%. Peu dépendant du marché russe, Stellantis par exemple a vu son cours légèrement augmenter de 0,17% ce mardi. […]

    La Tribune via fdesouche