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  • La violence dans les collèges vue par des journalistes de gauche (et leur haine du réel)

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2022

    Ah, ces méchants Blancs qui menacent, rackettent et frappent les gentils étrangers, quel fléau !

    Sérieusement, ces gens sont vraiment les pires des crapules…
    Ils envoient leurs crachats sur un peuple à terre, en train de disparaître honteusement.
    Vivement que ces gens soient traduits en justice dans une France retrouvée.

     

    Source : contre-info

  • Cinq ans après Metoo, assis dans son loft parisien, une famille fait le bilan : « Je suis un homme blanc, de plus de 50 ans, chef d’entreprise de surcroît. Dès que je rentre à la maison, je me sens coupable ! »

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2022

    Assis dans le salon de leur loft parisien, Cécile et Laurent (les personnes citées par leur seul prénom ont souhaité rester anonymes) discutent avec leurs filles, Adèle, 14 ans, et Jeanne, 18 ans ; le fils aîné, Simon, 21 ans, n’est pas avec eux, ce soir-là. Le Monde s’est immiscé dans leurs conversations pour savoir ce qu’avait changé le mouvement #metoo dans leurs relations familiales et en matière d’éducation. (…) Chacun tente de s’adapter aux sensibilités des autres, mais des frictions peuvent partir d’un rien. Les « mais tu ne peux pas sortir ­habillée comme ça ! » ont été accueillis par une fin de non-recevoir. « Tu m’obliges à intérioriser que je suis une proie et que c’est à moi de faire attention », a déjà entendu Cécile, alors qu’elle, adolescente, arborait fièrement un tee-shirt « attention fragile ». Pour sa fille, « insuffler la peur est déjà un instrument de domination masculine ». La quinquagénaire a reconsidéré son passé, mais aussi toute l’éducation qu’elle a pu donner à ses enfants. « Oui, j’ai pu valoriser la force de mon fils et la beauté de mes filles lorsqu’ils étaient plus petits »,analyse-t-elle, avec regret.

    (…)

    Cette libération de la parole n’est pas sans créer des tensions, au sein des couples d’abord – les femmes qui ont témoigné estimant avoir évolué plus vite que leurs conjoints –, et au sein des familles lorsque les enfants deviennent grands. Les pères, notamment, sont régulièrement mis sur la sellette. Laurent D., père de cinq enfants, dont deux filles de 21 ans, le reconnaît avec un brin d’humour, malgré le « sujet sacrément sensible » : « Je suis un homme blanc, de plus de 50 ans, chef d’entreprise de surcroît. Dès que je rentre à la maison, je me sens coupable ! » Il juge « avoir perdu du crédit sur un tas de sujets »,car ses filles trouvent qu’il « ne sait pas de quoi il parle, car il ne peut pas l’avoir vécu ».

    (…)

    Au-delà des questions autour de l’intimité et du respect de son propre corps, c’est sur le terrain des stéréotypes que les parents de plus jeunes enfants entendent modifier leurs pratiques. Maman de deux garçons de 4 et 9 ans, Chloé est fière des cheveux longs de ses garçons et de leurs goûts, qui vont au-delà des clichés filles-garçons. Elle estime « avoir évolué » entre ses deux enfants. « Autant, pour le grand, quand il est entré en maternelle et qu’il voulait acheter une gourde de princesse pour l’école, nous l’avons convaincu qu’il valait mieux une gourde Avenger, autant le petit, on l’a laissé choisir un casque de vélo rose bonbon pour aller à l’école. On lui attache les cheveux avec un élastique, on lui fait des couettes. J’aurais jamais osé faire ça avec mon grand », raconte-t-elle.

    (…)

    Au sein même des familles, la prise de conscience des parents peut avoir un effet contre-productif.« Mais, maman, tu n’aimes pas les hommes, en fait ! », a déjà entendu Anne, « défenseuse des droits des femmes ­depuis toujours », de la part de son fils de 16 ans. Depuis, elle essaie de trouver le « bon équilibre » pour continuer à l’éduquer sur l’égalité femmes-hommes « sans finir par le braquer ». « Il faut parvenir à ne pas être trop en colère », analyse cette enseignante, mère également de deux filles plus jeunes. La colère domine souvent parmi les mères et les filles interrogées. Un sentiment qui n’est pas toujours simple à canaliser dans les relations familiales. Du haut de ses 18 ans, Jeanne s’agace ainsi lorsque ses parents la jugent « trop excessive ». Même si elle comprend et partage en partie ses irritations, Cécile, sa mère, aimerait parfois, dans un réflexe de protection, que sa fille regarde le monde « avec plus de douceur » pour ne pas qu’elle souffre trop.

    Le Monde via fdesouche

  • Aurore Bergé, présidente du groupe Renaissance à l’Assemblée, vient d’être nommée au conseil d’administration de France Télévisions

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2022

    Etait-ce vraiment le meilleur casting ? Aurore Bergé, présidente du groupe Renaissance , le parti présidentiel, à l’Assemblée Nationale a été nommée le 28 septembre au conseil d’administration de France Télévisions. Sans surprise, les syndicats du groupe audiovisuel public y ont vu « une volonté de reprise en main politique est claire et nette », dénoncée par neuf d’entre eux dans un communiqué daté du 4 octobre où ils ajoutent : « Message reçu, le loup est dans la bergerie ».

    Cette situation est inédite. La coutume veut en effet que le siège dévolu à l’Assemblée nationale au conseil d’administration de la télévision publique aille au président de la commission des affaires culturelles. Il aurait donc dû revenir, cette année, à Isabelle Rauch, députée Horizons de Moselle.

    « Œil de Moscou ». Au board de France Télévisions Aurore Bergé, succède à Bruno Studer, président LREM de la commission culture de 2017 à 2022 et à Patrick Bloche (PS), qui la dirigeait de 2012 à 2017. « Là où on a une présence très politique, ça fait toujours un peu œil de Moscou », résume l’ancien député.

    Certes Aurore Bergé n’est pas illégitime à la table de l’audiovisuel public. Membre de la commission culture, elle a été co-rapporteure de la mission d’information « sur une nouvelle régulation de l’audiovisuel » en 2018. Mais sa nomination gêne même son propre camp. « Je ne comprends pas qu’on fasse ce choix-là », avoue Céline Calvez, députée Renaissance et quatre fois rapporteure du budget pour les industries culturelles. Surtout l’année de la suppression de la redevance, où la question de l’indépendance du service public est soulevée avec insistance .

    L’Opinion via fdesouche

  • Pays-Bas : Après le ministre de la Justice belge, l’héritière du trône et le Premier Ministre néerlandais menacés par la mafia marocaine

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2022

    Mocro Maffia (également orthographié Mocro-maffia), Mocro-oorlog et Mocro War sont les appellations génériques données aux organisations mafieuses marocaines, spécialisées dans le trafic de cocaïne et de drogue de synthèse et basées aux Pays-Bas et en Belgique.

    Wikipédia


    La pression s’accroît sur les personnalités néerlandaises, alors que dix-sept membres présumés de la « Mocro Mafia » sont actuellement jugés dans une enceinte ultrasécurisée de la banlieue d’Amsterdam.
    La princesse héritière néerlandaise Amalia, 18 ans, a été placée sous haute protection à la suite des menaces d’attentat et d’enlèvement qui ont été proférées à son encontre. Elle a quitté son logement d’Amsterdam pour vivre au palais royal Huis ten Bosch de La Haye et ne sort pour se rendre à l’université que sous forte escorte. Tous les regards se tournent vers la « Mocro Maffia », la mafia néerlandaise de la drogue, qui a aussi menacé récemment le ministre de la justice belge, Vincent Van Quickenborne, évacué vers une maison sécurisée où il a passé plusieurs jours avec sa famille après la révélation d’un possible enlèvement le concernant lui aussi.

    (…)

    Interrogé jeudi soir, le premier ministre, Mark Rutte, qui serait également ciblé par les criminels, a parlé d’une « terrible nouvelle, très violente, mauvaise pour notre pays ». Le chef du gouvernement a lui-même déjà fait l’objet de menaces à l’automne 2021. Après avoir refusé, il avait dû se résoudre à accepter une protection rapprochée à la suite de rumeurs d’un possible enlèvement ou d’un attentat. D’autres élus, ainsi que des journalistes et des magistrats, avaient également été menacés et protégés. L’assassinat, en juillet 2021, à Amsterdam, du journaliste d’investigation, Peter R. de Vries, très vraisemblablement victime de la Mocro Maffia, a eu l’effet d’un électrochoc. Auparavant, un avocat et le frère du témoin-clé dans un procès intenté contre des barons de la drogue avaient déjà été assassinés.

    (…)

    Dix-sept membres présumés de la mafia néerlandaise de la drogue sont actuellement jugés dans une enceinte ultrasécurisée de la banlieue d’Amsterdam, dans un climat extrêmement tendu. Le chef de ce groupe ultraviolent, Ridouan Taghi, a réagi, jeudi, par l’intermédiaire de son avocate, aux informations le désignant comme l’instigateur des menaces contre la princesse et le chef du gouvernement. Il a parlé de nouvelles « fausses, infondées, absurdes ».

    Le Monde via fdesouche

  • Autonomie alimentaire : seuls 60 % des exploitants agricoles partant en retraite trouvent un successeur

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2022

    En France, la moitié des exploitations sont dirigées par un agriculteur de 55 ans ou plus. L’enjeu du renouvellement des générations est crucial dans le monde agricole. Mais les jeunes repreneurs se font rares, notamment en pays de Savoie où le coût de la vie et du foncier refroidissent les ambitions. En Savoie et en Haute-Savoie, 52 % des exploitants ont plus de 50 ans. La vague de départ à la retraite approche et sans repreneur, c’est l’autonomie alimentaire de la région, voire du pays qui est en péril.

    Patrick Pavy a dédié toute sa vie à son exploitation et à ses animaux. Depuis près de 50 ans, les journées de cet éleveur sont rythmées par la traite des vaches, la fabrication de tomes des Bauges et la vente aux clients.

    Mais ce quotidien si bien rôdé va bientôt changer car, à 65 ans, il a décidé de partir à la retraite. “La coupure sera sans doute un peu difficile mais on sait qu’on arrive à un âge où il faut passer la main, admet-il en balayant le sol de son étable. Il faut lâcher un peu et former un jeune qui serait aussi passionné.”

    Le problème, c’est que ce jeune passionné se fait attendre. Depuis un an, Patrick essaye de revendre ses parts et de trouver l’associé qui le remplacera aux côtés de son épouse et de son fils. Mais pour l’instant, aucune offre sérieuse n’a retenu son attention.

    Ça inquiète, c’est du souci, reconnaît le sexagénaire. On est les seuls à faire de la tome des Bauges bio. Donc on espère qu’on trouvera quelqu’un qui veuille bien faire ce métier, pour qu’on ne soit pas les derniers“. […]

    En 40 ans, le nombre d’agriculteurs a été divisé par quatre en France. Alors tout l’enjeu est de donner envie aux nouvelles générations. C’est la mission que s’est fixée Guillaume Léger, le président des Jeunes agriculteurs de Haute-Savoie.

    Nous le retrouvons à Bellecombe-en-Bauges, en Savoie, où il est de passage sur l’exploitation de Charlotte Rostaingt. Avec son équipe, il a accompagné la jeune femme dans son projet de reprise.

    Cette trentenaire, fille de boulanger, n’est pas issue du milieu agricole. Pas de parcelles en héritage, ni d’enfance passée à la ferme. Elle a dû se former elle-même et emprunter plus de 500 000 euros avec une associée pour acquérir et moderniser un élevage de vaches laitières.

    Le but c’était de se préserver. On a fait le choix d’avoir un gros enjeu financier au départ pour avoir un train de vie correct, explique-t-elle. Notre génération, on veut vivre correctement de notre travail. Du moins, avoir du temps pour soi“. […]

    Aujourd’hui, si on enlève nos dispositifs d’accompagnement, on n’arrivera pas à renouveler la moitié des exploitations. En France, 60 % des départs en retraite sont renouvelés seulement, et ce n’est pas suffisant. L’idée, ça serait de remplacer huit exploitations sur 10 pour, à l’avenir, continuer à produire notre alimentation“, explique Guillaume Léger.

    France 3-Régions via fdesouche