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  • Kiev a également interdit la langue russe dans les jardins d’enfants et les écoles

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    lesobservateurs

    Alors la Suisse droit-de-l'hommiste, et ses pléthores d'ONG de redresseurs de torts, les journalistes de la pensée unique, qu'en dites-vous? Il y a déjà eu neuf ans de guerre en Ukraine, et la répression sans fin, déclenchée par cette provocation, cette loi sur les langues, et vous n’aviez rien à redire à ce sujet ?

    Ça, c'est le bon nationalisme pour le camp du bien? Le patriotisme qui se justifie, même si ce pays vieux de trente ans est fabriqué de minorités, dont les droits élémentaires sont bafoués en interdisant de pratiquer leur langue maternelle.
    Que dit la Suisse neutre et ses journalistes antimilitaristes, des 60'000 combattants morts dans cette guerre provoquée par les atlantistes et des trente milles de blessés graves dans chaque camp des belligérants et des 60'000 blessés plus légers des deux côtés?

    Personne pour porter plainte auprès de la CDEH?

    ***

    2022-11-11 08:25

    Les représentants du conseil municipal de Kiev ont décidé d'exclure complètement la langue russe du programme des écoles maternelles et des établissements d'enseignement secondaire général de la capitale, qualifiant cette mesure de "question de sécurité nationale".

    Ces dernières années, l'utilisation de la langue russe a été massivement interdite en Ukraine, et les autorités l'ont légiféré. Taras Kremin, le commissaire aux langues de l'État ukrainien, a suggéré qu'à partir du 1er septembre, les cours de russe dans les écoles ukrainiennes soient remplacés par d'autres matières.

    "La langue russe sera complètement exclue du programme des écoles maternelles municipales et des établissements d'enseignement secondaire général de la capitale. Cette décision a été adoptée le 10 novembre lors de la session plénière de la deuxième session du conseil municipal de Kiev. Le projet de décision envisage la mise en œuvre de mesures organisationnelles et juridiques visant à transférer des groupes et des départements de la langue russe à la langue d'État", indique le communiqué.

    Selon Vagyim Vasilchuk, membre de l'administration d'État de la ville de Kiev et président du Comité permanent de l'éducation et des sciences, des affaires familiales, de la jeunesse et des sports, il n'est ni approprié ni incorrect de poursuivre le processus éducatif et l'apprentissage de la langue russe. dans les conditions du conflit avec la Fédération de Russie. Il a noté que la langue est également importante pendant le conflit - "c'est une question de sécurité nationale". Selon les représentants du parlement à Kiev, la mesure adoptée peut éviter une montée des tensions dans la société.

    Selon Oleksiy Danylov, le secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense d'Ukraine, la langue russe devrait complètement disparaître d'Ukraine .

    Selon Danyilov, le discours sur la nécessité d'une compréhension mutuelle avec les Ukrainiens russophones est très dangereux pour l'État. En même temps, il estime qu'en plus de l'ukrainien, il recommande l'enseignement obligatoire de l'anglais.

    source: https://oroszhirek-hu./kijev-betiltja-az-orosz-nyelvet-az-ovodakban-es-iskolakban-is

  • Le plan de Jean-Yves Le Gallou face au goulag mental

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

     

    Le plan de Jean-Yves Le Gallou face au goulag mental

     

    Pour lutter contre le goulag mental de la société de propagande, Jean-Yves Le Gallou a un plan ! Découvrez un entretien qu’il a accordé à TV Libertés à l’occasion de la sortie de son nouvel ouvrage : La société de propagande.

     
    Mon plan face au goulag mental - Le Zoom - Jean-Yves Le Gallou - TVL
     
     
     
    Source : polemia
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
     
  • Albi (81) : Il menace d’éventrer sa femme enceinte, il attendait pourtant le bébé afin d’obtenir des papiers

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    Pour empêcher sa femme enceinte de sortir, un homme de 29 ans menace de l’éventrer avec un couteau de cuisine.

    “Il verrouille la porte d’entrée, la saisit par le bras et frappe le ventre de sa compagne enceinte de 30 semaines. Il se saisit ensuite d’un couteau de cuisine. “Je vais tuer le bébé, il va sortir maintenant, je vais couper ton ventre” menace-t’il.”

    “Il n’y a aucune compassion, aucune excuse. La seule chose qu’il nous dise, c’est qu’il ne ferait jamais de mal au bébé parce qu’il lui permettra d’avoir des papiers rétorque le Procureur, Cyril Pradilla, qui requiert un an de prison ferme.”

     

    La Dépêche via fdesouche

  • « Je ne le ferai plus. Je veux rester dans votre beau pays » : un Pakistanais de 18 ans agresse sexuellement la veilleuse de nuit de son foyer à Lagarrigue (81)

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    Un Pakistanais de 18 ans a été condamné à 18 mois de prison ferme par le tribunal de Castres pour une agression sexuelle commise dans un foyer de Lagarrigue.

    « Je demande pardon, je ne le ferai plus, je ne pensais pas que cette erreur me conduirait devant le tribunal. Je veux rester dans votre beau pays qui m’a si bien accueilli », lâche les larmes aux yeux ce Pakistanais de 18 ans à la barre du tribunal correctionnel de Castres traduit par une interprète. Mais les juges ne se sont pas laissé attendrir par ce migrant, pourtant sans casier judiciaire, considérant qu’il « n’avait pas pris la mesure de la gravité des faits ». Il a été condamné à 30 mois de prison, dont 12 mois avec sursis probatoire durant 2 ans avec l’obligation de travailler, d’indemniser la victime, de ne pas rentrer en contact avec elle et de se soigner.

    Le jeune homme était poursuivi pour une agression sexuelle sur la veilleuse de nuit du foyer pour jeunes migrants installé dans un ancien hôtel de Lagarrigue où il est hébergé dans le cadre d’un contrat jeune majeur de l’Aide sociale à l’enfance.

    La Dépêche via fdesouche

  • « Elle va voir ce qu’Allah va lui faire » : menacée et filmée à son insu par une élève en abaya, une professeure de Montauban placée sous protection policière (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    11/11/22

    La professeure avait fait une remontrance à une élève qui s’était présentée en classe vêtue d’une abaya. Cette dernière avait enregistré puis diffusé l’échange sur les réseaux sociaux.

    Une professeure d’espagnol du lycée Antoine Bourdelle de Montauban (Tarn-et-Garonne) a été placée sous protection policière après avoir fait une remontrance à une élève, qui s’était présentée en classe vêtue d’une abaya, un vêtement féminin traditionnel dans les pays du Maghreb et au Moyen-Orient. L’incident s’est déroulé avant les vacances de la Toussaint.

    “Dès que je suis rentrée en classe, bah en fait la prof m’a dit: ‘mais qu’est ce que c’est que cette robe de chambre’, en voyant que j’avais une robe dans ce style, une abaya ça s’appelle”, a expliqué la lycéenne de première rencontrée par BFMTV.

    La professeure filmée à son insu

    À la fin du cours, l’élève est convoquée. Elle va alors enregistrer l’échange à l’insu de sa professeure, puis le diffuser sur les réseaux sociaux. Alerté par les services de l’Éducation nationale, le proviseur du lycée Bourdelle, le plus grand de l’académie de Toulouse en termes d’effectif, a décidé de saisir la justice. La professeure a également porté plainte.

    (…) BFMTV


    09/11/22

    Montauban : Un lycée subit des “tentatives de déstabilisation” islamistes répétées et coordonnées, alertent les services de renseignement ; une prof menacée par une élève tchétchène. “Elle va voir ce qu’Allah va lui faire”

    Le lycée Bourdelle de Montauban fait face à des atteintes répétées à la laïcité. Une vidéo menaçant une enseignante a été diffusée sur Tiktok. Et un appel à se présenter dans l’établissement en « abayas ou robes longues » ce 9 novembre vient de nécessiter l’intervention des équipes académiques.

    (…) Plusieurs documents internes consultés par Marianne font état de « divers incidents » au lycée Bourdelle de Montauban (Tarn-et-Garonne). Les services de renseignement territoriaux s’en inquiètent dans une note du 20 octobre. L’académie a mis en place une organisation spécifique pour cette journée du 9 novembre, alors que circulait un appel pour les élèves à se présenter en « abayas ou robes longues ».

    Cela fait plusieurs mois que le lycée est confronté à des atteintes à la loi de 2004 sur les signes religieux ostensibles. « Depuis la rentrée 2022 et dans les mois qui ont précédé, plusieurs d’entre vous nous ont fait part de leur inquiétude quant à la résurgence de tenues qui interrogent le respect de la loi du 15 mars 2004 au sein de notre établissement », peut-on lire dans un courrier envoyé par le chef d’établissement à ses équipes le 10 octobre.

    Plus inquiétant encore, deux sources au sein de l’Éducation nationale confirment, sans donner plus de précisions, qu’une enseignante aurait été filmée à son insu. Selon une source policière, une élève tchétchène prise en cours en train de remettre son voile aurait rétorqué à son enseignante qui la rappelait à l’ordre qu’elle serait « raciste. Avant de lui tenir un discours sur le ton : vous allez voir ce que vous allez voir, en faisant référence à son père et son frère ». « Cet échange a été enregistré par l’élève et diffusé sur TikTok, indique notre source policière. À la fin, elle tient des propos du type “elle va voir ce qu’Allah va lui faire”. » (…)

    APPEL À SE PRÉSENTER EN « ABAYA OU EN ROBES LONGUES »

    (…) « Les actions des jeunes filles suggèrent que leurs revendications relèvent d’une entreprise concertée », abonde notre source policière qui évoque des professeurs divisés : « Il y a un camp majoritaire pour l’application d’une laïcité stricte et un camp, qui s’appuie sur une enseignante, pour une laïcité plus ouverte. »

    Marianne