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  • Clémentine Torquemada et ses « ex » !

    Publié par Guy de Laferrière le 21 décembre 2022

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    La chronique de Philippe Randa

    Il y a tout de même des moments où l’on peut à l’évidence se prendre de compassion pour des gens dont on ne partage guère de valeurs ; voire même que l’on peut avoir combattu – politiquement s’entend – et toujours combattre… La passion politique, comme la valeur des âmes bien nées, ne craignant point le nombre des années pour cent fois sur la place publique combattre hier le dinosaure communiste, aujourd’hui ses héritiers.

    Ainsi de Clémentine Autain, toute chamboulée à propos de la nouvelle direction de son parti La France Insoumise : « Nous avons un problème de démocratie dans la vie du mouvement », se plaint-elle.

    Qui l’eût cru ? Pas de chance pour cette députée de Seine-Saint-Denis et ses plus tout à fait « amis », tous néanmoins autoproclamés propriétaires de la démocratie et bien peu enclins à en partager ne serait-ce que des miettes avec quiconque… même et surtout s’ils sont membres de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES), certes utile électoralement, mais bien encombrante le reste du temps.

    Les contrariétés politiques sont comme les emmerdements, comme le disait l’ancien président Jacques Chirac, fin connaisseur de la question : elles volent en escadrille !

    En effet, la nomination de son « ex » (ex-kamarad, cela va de soi ; on ose imaginer, même par taquineries, plus si affinités) Manuel Bompard à la direction de LFI n’est pas la seule contrariété de cette blonde descendante du sémillant Torquemada…

    C’est le retour annoncé au sein du groupe LFI à l’Assemblée nationale d’un autre « ex » (ex-kamarad encore une fois, précisons-le) Adrien Quattenens qui la chagrine… Rappelons qu’il fut en quelque sorte « mis au coin » – soit prié d’aller se faire oublier quelque temps loin de l’hémicycle parlementaire – pour avoir eu la main un peu trop lourde sur la joue de son « ex »… épouse (quant à elle, plus du tout kamarad de son mari) !

    Ce rouquin mâle n’aurait pas su, d’après Clémentine Autain, faire suffisamment « profil bas », allant même jusqu’à accuser sa future ex-moitié de développer un « sentiment de pleine puissance et de plein pouvoir, qu’elle serait incohérente » (une femme incohérente ? Allons bon !), qu’elle en aurait été menaçante… et qu’elle agirait pour de l’argent !

    Pauvre Clémentine, obligée de le recadrer pour cette « communication (qui) sonne comme une provocation. Il a récusé méthodiquement tous les principes féministes. Il n’a tenu aucun compte du point d’équilibre trouvé démocratiquement au sein de notre groupe et des mots que nous avons posés. »

    On conçoit le désarroi de cette moderne gorgone passée es-dominante maîtresse dans la dénonciation tous azimuts du machisme, du patriarcat et de la mâle domination qu’elle sait comme à nulle autre pareille déceler dans la simple intonation d’une déclaration…

    Et pauvres Insoumis – d’une France bien éloignée de celle mère des arts, des armes et des lois, comme la louait jadis Joachim Du Bellay – qui se déchirent les uns les autres, sans doute victimes d’un Jupiter facétieux qui n’a pas grand mal à rendre zinzins ceux qui n’en finissent décidément pas de distraire la galerie politique souvent pour le pire… et parfois le rire !

     

    Source : synthesenationale

  • Hérault : 300 musulmans armés de kalachnikovs pour fumer 1 gitan

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    lesobservateurs

    Aujourd’hui, la kalachnikov est devenue l’arme de prédilection des islamistes et de certains musulmans des banlieues. La nouvelle génération de petits truands musulmans Marseillais, Grenoblois (ville où les « islamo Grenoblois » ont remplacé les « Italo Grenoblois »), ou Nantais (agglomération où Saïd la Nantais a remplacé Henri le Nantais), ou encore Lyonnais semblent avoir trouvé un second souffle avec l’utilisation massive de la kalachnikov . Mois après mois, semaines après semaines, policiers, civils, commerçants, truands Corses, Niçois, Varois ou Lyonnais, tous tombent sous le feu nourri des kalachnikov s.

    Rien au monde n’a fait plus de morts que l’AK-47. La Kalachnikov a tué plus que les bombes atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki, plus que le virus du H.I.V., plus que la peste bubonique, plus que la malaria, plus que la Covid-19, plus que tous les attentats commis par les fondamentalistes islamistes, plus que tous les tremblements de terre réunis. « Une quantité colossale, inimaginable, de chair humaine…. » écrit Roberto Saviano, page 272, dans un livre saisissant « Gomorra, dans l’empire de la Camorra » (éditions Folio, 2006). A croire que la nouvelle génération de truands musulmans, issus des banlieues, ont potassé l’ouvrage en cours du soir.

    Pour Roberto Saviano, auteur de « Gomorra, dans l’empire de la Camorra », « Le fusil-mitrailleur AK-47 permet de tirer dans les situations les plus variées. Il ne s’enraie pas, même couvert de terre, même plein d’eau, et s’empoigne facilement, sa détente est si sensible qu’elle peut être pressée par un enfant. Chance, erreur, imprécision : tout ce qui peut sauver la vie lors d’une fusillade n’existe pas avec l’AK-47, un engin qui ne laisse aucune place au hasard. Simple à utiliser, facile à transporter, il est si efficace qu’on n’a pas besoin d’entraînement ». « Il peut transformer même un singe en combattant » a dit Kabila, le redoutable président congolais.

    Alors quand 300 musulmans des banlieues de l’Hérault lancent une chasse à l’homme, avec la complicité passive des autorités, un préfet complétement dépassé (qui illustre, à lui seul, un long processus d’effondrement de l’État), après le décès d’un l’adolescent franco-marocain renversé par un véhicule conduit par un gitan un soir de match, on comprend mieux la terreur qui règne au sein des communautés gitanes de l’Hérault. Car les 300 justiciers autoproclamés de la communauté musulmane ont aussi incendié deux logements et des véhicules, et semble-t-il kidnappé un adolescent gitan.

    Les gitans ne veulent pas la guerre déclenchée par les musulmans

    Yaka Maraval, porte-parole de la communauté gitane, explique : « On a une grosse inquiétude sur le sort d’un adolescent…. Sur une vidéo, on voit les vandales l’enlever et le placer de force dans le coffre d’une voiture. Où est-il ? Ses parents croyaient qu’il était dans sa chambre . Je vais me rendre avec d’autres membres de la communauté à 14h ce vendredi en préfecture de l’Hérault pour obtenir un rendez-vous urgent, nous avons peur pour la nuit prochaine ».

    Du jamais vu en France ! Les familles gitanes chassées par 300 individus lourdement armés, mieux équipés que les policiers et gendarmes, qui ont saccagé et incendié deux logements, deux camions et une voiture jeudi soir. Ces familles fuient Montpellier, selon Fernand Maraval dit Yaka, l’incontournable représentant et porte-parole de la communauté des gitans sédentaires d’ici. Sur des vidéos, on voit un véritable déchaînement de violences gratuites la nuit dernière.

    Dans les colonnes du Midi Libre, Yaka Maraval raconte aussi que « une horde de jeunes armés de kalachnikovs a investi la résidence Jupiter pour défoncer la porte d’un appartement, saccagé les meubles et mettre le feu, avant de brûler une voiture puis de s’enfuir. Les gitans de Figuerolles, notamment à la cité Gély informés qu’une partie de cette bande allait venir ont chargé leurs fusils, prêts à en découdre. Finalement, quand les agresseurs l’ont su, ils ont rebroussé chemin. La situation est intenable. On ne veut pas la guerre« .

    Ce climat de terreur et ses auteurs profitent des faiblesses de l’état. La décrépitude de nos services publics n’a d’égal que l’impuissance publique en matière de lutte contre l’insécurité et l’immigration illégale. Ces dysfonctionnements sont le fruit d’une idéologie managériale et comptable qui a paradoxalement abouti à la construction d’un monstre bureaucratique. Elle résulte aussi d’une politique européenne favorisant l’ouverture de toutes les frontières aussi bien géographiques qu’économiques ou juridiques.

     

    Francis GRUZELLE

    Journaliste et écrivain
    Carte de Presse 55411

    (1) Armes en circulation illégalement en France :
    1939 : 1 300 000
    1945 : 7 000 000
    1962 : 11 750 000 (en raison de stocks d’armes de l’OAS, armes légales distribuées aux volontaires républicains lors des putschs de 1958 et de 1961, et n’ayant pas réintégré les arsenaux)
    1969 : 13 000 000
    1999 : estimation de 15 à 18 000 000
    2017 : estimation Sécurité Intérieure de 12 à 20 000 (Les 8 millions d’incertitudes seraient liées au fait que les enquêteurs ont un doute sur le bon état de fonctionnement, et l’existence de munitions fiables, de plusieurs millions d’armes automatiques parachutées par les américains à la résistance de 1942 à 1944, bien que les Sten soient increvables plusieurs décennies après leur mise en service).
    Le rapport DCPJ se veut plus rassurant et évalue à 3 140 000 le nombre d’armes illégalement détenues en France, dont 30 000 calibres dans les cités.

    (2) La Kalachnikov a accompagné toutes sortes de combattants: les libérateurs, les oppresseurs, les soldats d’une armée régulière, les guérilleros, les terroristes, les ravisseurs, les membres d’escortes présidentielles. Kalachnikov a créé une arme particulièrement efficace qu’on a pu perfectionner au fil des années, une arme qui a connu dix-huit versions et vingt deux nouveaux modèles inspirés de l’original … L’ingénieur et inventeur russe Mikhaïl Kalachnikov a permis à tous les groupes petits et grands luttant pour le pouvoir de se doter d’une arme. Depuis qu’il l’a créée, personne ne peut plus prétendre avoir perdu parce qu’il ne pouvait accéder aux armes. Kalachnikov a fait un geste en faveur de l’égalité: des armes pour chacun, des massacres pour tous

  • Ne pas politiser le sport, disait-il…

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    Emmanuel Macron a souvent eu des gestes, disons embarrassants pour ceux qui étaient forcés de les observer – à commencer par les Français « de base » que nous sommes.

    On se souvient de ses selfies avec des repris de justice faisant un doigt d’honneur ou de la fête de la musique à l’Élysée.

    Il vient de remettre le couvert avec l’équipe de France de football au Qatar.

    Ses « papouilles » à Kylian Mbappé, qui ne le regardait même pas, ont été assez déplaisantes à regarder.

    D’abord, parce que l’on se dit que ce n’est pas exactement la mission d’un chef de l’État.

    Ensuite, parce que les précédents que j’évoquais plus haut laissent un sentiment de malaise.

    Mais aussi, et peut-être surtout, parce que l’on ne peut se défendre de l’idée que ces gestes sont une tentative de récupération politique.

    Il est bien connu que souvent les sportifs – et tout spécialement, en l’occurrence, Kylian Mbappé – ont une cote de popularité assez élevée.

    Il semble assez humain que les politiciens (spécialement quand ils sont aussi détestés que Jupiter) tentent d’en profiter – par une application assez originale de la théorie du « ruissellement » naguère professée par Emmanuel Macron. Et la pratique est aussi ancienne que le sport lui-même !

    Cependant, en l’occurrence, cette récupération est assez mal venue.

    En premier lieu, parce qu’elle survient après un solennel appel du même Emmanuel Macron à ne pas « politiser le sport » – refusant que les questions de droits sociaux des travailleurs ou de climat, souvent évoquées notamment par l’extrême gauche (dont le président est otage, faute de majorité à l’Assemblée), ne perturbent la coupe du monde au Qatar.

    En d’autres termes, « faites ce que je dis, pas ce que je fais ». C’est-à-dire exactement ce qui exaspère à juste titre les citoyens qui y voient un « deux poids, deux mesures ».

    Mais aussi parce que les hasards du calendrier ont fait que le scandale de corruption de députés européens par le Qatar a éclaté pendant la coupe du monde qui mettait l’émirat sous le feu des caméras.

    Or, chacun se doute que le scandale va beaucoup plus loin que les quelques noms de députés ou d’ONG déjà dévoilés. Et que l’attribution de la coupe de monde (qui remonte à 2010) est loin d’être le seul sujet de corruption possible. En particulier, dans le contexte de crise énergétique actuelle, il n’est guère difficile d’imaginer de quoi pourraient parler en ce moment corrupteurs qataris et corrompus européens, si l’on se souvient que le Qatar dispose des troisièmes réserves mondiales de gaz (derrière la Russie et l’Iran, avec lesquels les sanctions nous interdisent de commercer) !

    Emmanuel Macron aurait donc pu s’abstenir de son injonction à ne pas politiser le sport, si c’était pour faire pire que ses concurrents politiques (en cette matière en soi assez futile).

    Comme en matière de fausses nouvelles, la Macronie semble exiger un monopole de la récupération politicienne !

    Tout cela donne une sensation assez désagréable de fausseté qui ne contribuera certes pas à restaurer la confiance des Français dans la classe politique, où l’on trouve, en définitive, beaucoup plus de bonimenteurs que de véritables hommes d’État.

     
  • Cracher sur la France

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    Ce n’est pas vraiment un « scoop » : Emmanuel Macron navigue à la godille (un coup à droite, enfin au centre droit, un coup à gauche, et parfois même, notamment sur les questions civilisationnelles, à l’extrême gauche).

    C’est ce qu’il a théorisé sous la forme du « en même temps » – qui a l’immense avantage, pour ce technocrate, d’éviter l’art difficile du choix politique.

    Cela implique que, souvent, une idée globalement bonne (je n’ose dire « globalement positive » au sens que feu Georges Marchais donnait naguère à l’expression !) se trouve sabotée par sa réalisation.

    Voulant mettre du « en même temps » partout, Jupiter propose en effet parfois de faire réaliser des idées « de droite » par des personnalités « de gauche » – l’inverse étant « évidemment » impossible !

    Ainsi, Emmanuel Macron a-t-il pris fait et cause pour la francophonie, proposant des rencontres internationales en 2024 à Villers-Cotterêts.

    Ce n’est certes pas nous qui le lui reprocherons : notre langue est en effet, pour notre pays, l’un des plus puissants leviers de « soft power » – comme on dit dorénavant de façon pour le moins paradoxale (le seul fait qu’il n’existe pas d’expression française équivalente en dit long sur notre soumission à d’autres cultures).

    Villers-Cotterêts (où fut signée en 1539 l’ordonnance faisant du français la langue officielle du royaume de France) est évidemment un lieu magnifiquement symbolique pour une telle rencontre – d’autant que, sous la houlette du chef de l’État, le château y profite actuellement d’une restauration qui promet d’être superbe.

    Mais pourquoi choisir, comme porte-parole de la « jeunesse francophone », une chanteuse d’origine camerounaise, portant le médiéval prénom d’Yseult, aux riches réminiscences dans notre littérature, mais qui, hélas, crache sur la France ?

    Cette dernière s’est exilée en Belgique, où elle prétend que la France n’assume pas son passé colonial et n’accueille pas suffisamment bien la « diversité ».

    Quant à nous, nous pouvons bien penser que nous accueillons surtout trop de « diversité » et que nous n’avons aucune raison de rougir de notre passé colonial.

    Mais, plus encore, nous pouvons penser qu’un porte-parole officiel de la francophonie qui crache ainsi sur la France, cela pose un sérieux problème politique !

     
  • Vous comptiez prendre le train pour fêter Noël en famille ce week-end ?

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022