Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 22

  • « Je suis fier de faire cette réquisition » : Le ministre du logement Olivier Klein annonce la réquisition du château de Grignon (78) pour accueillir 200 migrants

    Publié par Guy de Laferrière le 19 décembre 2022

    contre-info

    Et les Français à la rue ?

    "Je suis fier de faire cette réquisition" : Le ministre du logement Olivier Klein annonce la réquisition du château de Grignon (78) pour accueillir 200 migrants (Vidéo)

    « Le ministre du logement Olivier Klein a annoncé samedi la réquisition du château de Grignon, situé dans les Yvelines, pour accueillir des migrants.

    Selon le député des Yvelines Karl Olive, cette initiative fait partie d’un plan hivernal, en étroite collaboration avec le préfet, les maires, le département et Emmaüs France, pour accueillir 200 migrants. 62 d’entre-eux sont arrivés samedi matin.

    Depuis novembre 2022, le château de Grignon est confié à l’association Emmaüs qui y héberge deux-cents personnes sans-abri. »

    Source

  • Saint-Nazaire (44) : Il lui tire une balle dans la jambe car il estime que sa voiture a été mal lavée

    Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022

    Un Nazairien a été grièvement blessé d’une balle dans une cuisse, samedi 17 décembre, peu avant 18 h, à son domicile du quartier de Méan-Penhoët. Son agresseur serait venu le punir pour une voiture mal lavée…

    www.ouest-france.fr via fdesouche

  • Le porc, la viande la plus consommée en France, en voie de disparition dans les cantines

    Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022

    ENQUÊTE. La viande la plus consommée en France semble en voie de disparition dans les restaurants scolaires de certaines villes. Et non des moindres.

    Jambon, rôti, échine, coppa, grattons, lardons, filet mignon… Depuis que les statistiques sur le sujet existent, le porc a toujours été la viande préférée des Français, juste devant la volaille. Apprécié des enfants, bon marché et facile à cuisiner, ses atouts sont évidents. Selon les dernières données de France Agrimer, les Français mangent 87,5 kg de viande par an, dont 32 kg de viande de porc, 30 kg de volaille et 23 kg de bœuf, repas à domicile et restauration hors foyers confondus. Le porc représente ainsi à lui seul un volume égal à tous les produits de la mer consommés dans notre pays (33 kg/an/habitant).

    (…) À la rentrée 2013, déjà, l’interprofession porcine Inaporc avait tiré la sonnette d’alarme à la suite d’une série de constats alarmants pour les producteurs. À Lille, le porc avait été absent des menus tout le mois de septembre. À Séméac (Hautes-Pyrénées, 4 900 habitants), il avait été décidé de le retirer totalement du menu pour l’année entière. Au Havre (Seine-Maritime), 8 500 portions de mousse au chocolat avaient été jetées à la poubelle car elles pouvaient contenir de la gélatine de porc. Dans ces deux derniers cas, il n’était plus question de diététique, mais de gestion du fait religieux. Séméac voulait épargner un surcroît de travail à ses cuisiniers, contraint de préparer des plats de substitution quand le porc était au menu. Au Havre, il s’agissait d’éviter que des élèves musulmans en ingurgitent à leur insu, même sous la forme ultra-transformée de mono-diglycérides d’acide gras.

    Dix ans ont passé et la situation ne semble pas s’améliorer pour le cochon, pris en tenaille entre la diététique et la religion. « Nous devinons ce qui se passe, commente Anne Richard, directrice d’Inaporc depuis 2021. Bannir le porc est la solution de facilité… » Une solution mise en œuvre à bas bruit. Contactée, la ville de Lille n’a pas donné suite. Impossible de savoir si cette quasi-disparition du porc répond à des demandes de parents d’élèves, si elle les anticipe, ou si elle est dictée par le souci de simplifier le service, lourd à gérer. « On sert 500 couverts, explique un responsable de cuisine scolaire. On doit passer nos commandes des mois à l’avance, faire du circuit court, du bio, varier les plats, penser aux allergènes, calculer les portions au gramme près et peser les restes pour faire la chasse au gaspillage. Comme on a notre fierté, on tient aussi à ce que les élèves apprécient ! Tout cela avec un budget par repas de 7 € environ, dont 2 € de marchandise, le reste passant en frais divers, salaires, énergie, etc. »

    (…) Le Point via fdesouche

  • En 2022, les Français n’ont jamais autant payé d’impôts depuis 30 ans

    Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022

     

    Les Français, ménages comme entreprises, ont payé plus d’impôts qu’ils ne l’ont jamais fait depuis 30 ans. Les prélèvements obligatoires en 2022 ont atteint 45,2% du PIB en 2022, soit  0,9 point de plus par rapport à 2021 où le taux a été évalué à 44.3%. En euros, cela fait une augmentation de 86,4 milliards, pour atteindre 1 194 milliards contre 1 107.7 milliards en 2021, selon les derniers chiffres publiés dans le rapport économique, social et financier (RESF), publié le 4 octobre 2022.

    Dans son rapport de la précédente année, le gouvernement tablait sur une baisse en 2022 du taux de prélèvements obligatoires à 43.5% du PIB. C’est finalement un nouveau pic après celui de 2017 (45,1%) que le RESF a dévoilé.

    Dans son rapport, le gouvernement explique “principalement cette forte hausse par le dynamisme des prélèvements obligatoires, avec une croissance spontanée (+8,2 %) plus élevée que celle du PIB en valeur (+5,6 %), du fait notamment du dynamisme de certaines assiettes macro-économiques (masse salariale, emplois taxables à la TVA, bénéfices des entreprises)”.

    Selon le rapport annuel sur les recettes fiscales de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), la France est le deuxième des 36 pays étudiés où la pression fiscale était la plus élevée en 2021 (ratio impôts/pib de 45.1), derrière le Danemark (46.9%).

    « Où passe le pognon ?”

    L’impôt sur les sociétés, la TVA et l’IRG sont à l’origine des augmentations les plus conséquentes. Les recettes supplémentaires issues de l’impôt sur les sociétés ont atteint 12,7 milliards. Les impôts sur le revenu ont généré 8 milliards en plus. La TVA est à l’origine de la plus grosse augmentation, située à 18 milliards. La taxe sur la valeur ajoutée est ainsi à l’origine de 200 milliards d’euros en 2022, “grâce”, notamment, à l’inflation et la hausse des prix. Celle-ci est d’ailleurs la principale cause, avec la baisse de la croissance du PIB, de la hausse du taux de PO, explique le think tank Ifrap.

    Qui encaisse toutes ces recettes fiscales ? La Sécurité sociale est la grande bénéficiaire en récupérant 45 des 86,4 milliards d’euros supplémentaires. L’État vient en deuxième position, récupérant 34 milliards. Les collectivités locales prennent, quant à elles, 8 milliards d’euros.

    Les prélèvements obligatoires atteignent ainsi un record historique au moment où, paradoxalement, plusieurs secteurs sensibles, à l’image de celui de la santé ou encore de la justice, souffrent de carences en moyens. A la fin du mois de novembre, les magistrats entraient en grève pour dénoncer leurs conditions de travail et réclamer des moyens humains supplémentaires. Plusieurs tribunaux à travers la France exigent des dizaines de juges et de greffiers supplémentaires pour répondre au nombre croissant de dossiers.

    Début 2022, des personnels hospitaliers ont manifesté leur désarroi dans les rues de toute la France pour réclamer des hausses de salaires, mais surtout « des moyens » et des « postes » pour l’hôpital public lessivé par les vagues successives de Covid-19 et l’arrêt des fermetures de lits. Des médias ont également fait état de démissions en raison du manque de moyens et à la dégradation de la qualité du service rendu à l’hôpital public, aggravée par la suspension des soignants non-vaccinés toujours suspendus.

    De quoi rappeler, la question, en janvier 2021, de Charles Gave, essayiste et financier, qui se demandait face au taux de prélèvements obligatoires extrêmement élevés en France, “où passait le pognon (…) Pourquoi, aujourd’hui, la police ne marche pas, la justice ne marche pas, l’armée ne marche pas, la diplomatie ne marche pas, la santé ne marche pas (…) et on a jamais eu des prélèvements sociaux aussi incroyables”.

    “Cela risque de durer”

    La directrice générale de la Fondation iFrap, Agnès Verdier-Molinié, estimait dans une tribune que “la situation est d’autant plus désolante que le gouvernement aurait pu limiter, cette année, la surtaxation des Français et de leurs entreprises. Il était possible et juste de revoir le barème de l’impôt sur le revenu en se fondant sur l’inflation réelle (autour de 7 % à l’indice des prix à la consommation harmonisé de novembre à novembre) et non de 1,5 % comme il a été décidé”.

    Elle regrette que “l’exécutif soit trop tenté d’encaisser les recettes supplémentaires et de les dépenser en faisant des chèques énergie, des chèques de rentrée scolaire, etc. plutôt que de baisser les impôts”. Agnès Verdier-Molinié estime que “cela risque de durer” puisque dans le budget 2023 figure une revalorisation “des bases cadastrales et donc les taxes foncières des ménages et des entreprises de 7 % tout en plafonnant les loyers à +3,5%”. “La France n’en a pas fini avec les records de fiscalité. Les factures d’impôts vont continuer à s’envoler”, conclut-elle.

     
  • La Russie s’apprête à interdire les associations juives qui seront classées « organisations terroristes »

    Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022

     

    par Maurizio Blondet.

    Jerusalem Post :

    La Russie a élargi sa définition des “agents étrangers” et inclut désormais “les personnes qui prennent part à toute activité que les autorités jugent contraire aux intérêts nationaux de la Russie ou qui reçoivent un soutien de quelque nature que ce soit, et pas seulement de l’argent, de l’étranger”, selon le Moscow Time.

    Dans ce cas, les représentants juifs de l’Agence juive ou les représentants d’organisations juives internationales peuvent être qualifiés d’”agents étrangers”.

    Selon le Moscow Times, qui cite la nouvelle loi, “toute personne ayant travaillé avec un “agent étranger” ou ayant reçu un financement de sa part sera incluse dans une nouvelle liste du ministère de la justice de personnes et de groupes “affiliés à des agents étrangers”.

    Le Jerusalem Post a rapporté en exclusivité la semaine dernière que l’Agence juive fait l’objet d’une enquête de la part de fonctionnaires russes depuis trois ans, période au cours de laquelle les informations et le matériel informatique de ses bureaux ont été examinés de près.

    Dans une lettre envoyée à l’Agence juive cette semaine, révélée en exclusivité par le Post, l’Agence a reçu une liste de ce que le ministère russe de la Justice considère comme des violations de la loi et des conséquences de ces violations. Comme indiqué, un haut responsable de la diplomatie israélienne a déclaré que “la Russie a affirmé que l’Agence juive avait illégalement collecté des informations sur les citoyens russes”.

    “La Russia ha affermato che l’Agenzia ebraica ha raccolto illegalmente informazioni sui cittadini russi”.

    Un haut fonctionnaire de la diplomatie israélienne.

    Comme le ferait toute organisation, en particulier celles qui encouragent l’immigration dans un autre pays, les bureaux de l’Agence juive en Russie collectent des informations sur les personnes qui demandent l’aliya ou participent à leurs activités.

    La crainte est que, si l’agence a déjà fait l’objet d’une enquête, la nouvelle loi crée une situation impossible pour les organisations juives et israéliennes qui souhaitent travailler en Russie.

    La semaine dernière, le ministère a indiqué que les fonctionnaires de l’agence en Russie avaient enfreint la loi, car les informations recueillies en Russie sont diffusées dans ses bureaux à Jérusalem ou avec les bureaux du gouvernement israélien, ceci afin de favoriser à l’immigration. La lettre indiquait que l’agence devait répondre aux allégations et qu’elle pourrait devoir cesser ses activités en Russie si elle était reconnue coupable des accusations.

    L’Agence juive répond

    L’Agence juive a déclaré la semaine dernière que : “L’Agence juive souhaite préciser que, contrairement à certaines publications, aucune directive n’a été reçue du gouvernement russe pour mettre fin à nos activités. Par conséquent, tous les plans de l’Agence et toutes les activités planifiées continuent normalement”.

    “Dans le cadre des procédures de contrôle et d’inspection en cours menées par les autorités compétentes en Russie depuis plusieurs années et à la suite d’une procédure d’inspection administrative de plus d’un an, les bureaux de l’Agence à Moscou ont récemment reçu une lettre des autorités [russes]”, a-t-il déclaré.

    La lettre mentionne “principalement des questions administratives et indique les problèmes qui, selon ses auteurs, ont été soulignés, ainsi que leurs éventuelles conséquences juridiques”.

    “La lettre invite l’Agence à répondre par écrit sur les faits qui y sont exposés. Par conséquent, l’Agence a l’intention d’étudier en profondeur la signification des questions soulevées et leurs implications et de les aborder en conséquence dans les conversations en cours avec les autorités”, a déclaré l’Agence juive.

    source : maurizioblondet.it

    Traduction : Strategika

    via Strategika