Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022
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Emmanuel Macron a reçu le prix de la Carpette anglaise
Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022
Communiqué 2022 de l’académie de la Carpette anglaise :
Sous la présidence de Philippe de Saint Robert, le jury de la Carpette anglaise 2022, réuni chez Lipp, le 15 décembre, a décerné, son prix d’indignité linguistique, exceptionnellement, au président de la République, M. Emmanuel Macron, pour ses nombreuses entorses à la Constitution, dont l’article 2 dispose que « la langue de la République est le français », qui est aussi langue officielle de la plupart des Institutions internationales.
Le jury a relevé l’acceptation par l’exécutif français de l’usage dominant de l’anglais dans le fonctionnement de l’Union européenne, alors que cette langue n’est la langue nationale d’aucun pays membre.
Le jury a également relevé que la direction de l’OIF (Organisation internationale de la Francophonie) a été confiée – à l’instigation de la France – à Madame Mushikiwabo, ancienne ministre du Rouanda, qui avait exclu le français au profit de l’anglais comme seule langue d’enseignement public dans son propre pays.
Par ailleurs, Yseult a été nommée marraine du prochain Sommet de la Francophonie – qui se tiendra à Villers-Cotterêts en 2024 –, artiste qui chante essentiellement en anglais (dernier titre : I love you).
À titre étranger, le prix a été décerné – également à l’unanimité – à Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, pour avoir nommé une anglophone unilingue, Mary Simon, au poste de gouverneur général du Canada.
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Philippe de Saint Robert, Eugénie Bastié, Paul-Marie Coûteaux, Benoît Duteurtre, Julien Köberich, Guillemette Mouren, Marie-Josée de Saint Robert, Albert Salon, Marc Favre d’Échallens sont membres de l’académie de la Carpette anglaise ainsi que les associations suivantes: Association pour la sauvegarde et l’expansion de la langue française (Asselaf), Avenir de la langue française (ALF), Cercle des écrivains cheminots (CLEC), le Collectif unitaire républicain pour la résistance, l’initiative et l’émancipation linguistique (COURRIEL), Défense de la langue française (DLF) et Le Droit de comprendre (DDC).
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Le prix de la Carpette anglaise est attribué à un membre des « élites françaises » qui s’est particulièrement distingué par son acharnement à promouvoir la domination de l’anglo-américain en France au détriment de la langue française.
Le prix spécial à titre étranger est attribué à un membre de la nomenklatura européenne ou internationale, pour sa contribution servile à la propagation de la langue anglaise.
Source : lesalonbeige
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MOINS D’EAU, PEU DE GAZ ET PAS D’ELECTRICITE ?
Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022
Pieter Kerstens
Manque d’imagination, ignorance, défaut d’anticipation et incompétence ont conduit les divers gouvernements depuis des décennies à prendre des décisions contraires aux intérêts de la France, mais également ailleurs en Europe.
Tous ces décideurs politiques nous affirment que la sécheresse conséquence de la canicule était « imprévisible » alors même que notre continent avait subi de très nombreux réchauffements climatiques ces 10 derniers siècles, selon les archives des régions concernées. Dans les pays tropicaux ou désertiques, les populations ont prévu des réservoirs qui se remplissent lors des épisodes pluvieux et constituent une réserve lors des saisons arides. Et pourquoi pas chez nous ?
Le gaz, le pétrole, la houille sont aussi des matières stratégiques et moyens de rétorsion.
Par des trains successifs de mesures d’embargo et d’interdiction, la Commission Européenne de Mme Von der Leyen a causé des préjudices incalculables aux pays européens en manque de combustibles qui pénalisent tous les secteurs d’activités économiques, financières, industrielles et sociales.
L’addition va être salée pour chacun d’entre nous.
Tout cela au titre d’une « responsabilité morale » envers l’Ukraine et son président corrompu qui subissent une agression de la part de la Russie depuis 10 mois.
Mais en analysant cette situation, on retrouve des antécédents parmi les visées hégémoniques des Etats-Unis et particulièrement dès 1982. A cette époque pour le Pentagone il fallait empêcher la construction d’un second gazoduc soviétique (North Stream 2) qui doublait la capacité d’exportation de la Russie vers l’Europe. Et ceci sur la base d’une interdiction américaine à tout acquéreur de leur technologie de réexporter celle-ci sans autorisation.
« Les Etats-Unis doivent faire preuve de constance et de fermeté, assumer leur rôle de leader, ne pas dévier d’une politique dont les alliés comprendront finalement le bien-fondé. »
Voilà pourquoi l’Europe achète maintenant du gaz et du pétrole de schiste américains à des prix prohibitifs pour le plus grand bénéfice des USA. Et ceci explique aussi en partie les sabotages des deux gazoducs en mer du nord…
Selon un entretien de Louis Gallois dans le quotidien Le Figaro du 25 novembre :
« la crise énergétique actuelle fait qu’aux Etats-Unis, l’énergie coûte désormais cinq à dix fois moins chère qu’en Europe. Il y a un vrai risque de délocalisation. Pour protéger son industrie, l’Allemagne a prévu de mettre en place pour les entreprises un bouclier tarifaire, soumis à l’accord de la Commission Européenne. Il est fixé à 130 euros le Mégawatt/h pour 70% de l’électricité consommée. En France, le même bouclier est à 325 euros le MW/h. Notre industrie sera vite placée dans une situation critique. La France propose à juste titre de plafonner le prix du gaz en Europe et de réviser le mécanisme européen de fixation des prix. Celui-ci lie le prix de l’électricité au prix du gaz qui a explosé suite aux diktats de Mme Von der Leyen en mars 2022. Il faut donc d’urgence changer ce mécanisme ou s’en abstraire comme l’ont fait les Espagnols et les Portugais. »
Dans le conflit Russo-Ukrainien, les torts sont partagés. Cette guerre n’est pas la nôtre !
Parce que dans un entretien au quotidien Der Zeit du 7 décembre dernier, Angela Merkel -chancelière allemande de 2005 à 2021- avoue les dessous cachés des accords de Minsk de 2014 et 2015. C’était une tentative de donner du temps à l’Ukraine pour s’armer, recruter des soldats qui seraient formés par les anglo-saxons et reprendre les provinces du Donbass.
Cette déclaration de Merkel confirme ce que disait déjà l’ex-président de l’Ukraine Petro Porochenko en juin dernier, qu’il n’avait jamais eu l’intention de respecter les accords de Minsk :
« Notre tâche était tout d’abord d’écarter la menace, ou au moins de retarder la guerre.
Nous nous sommes donnés huit ans pour rétablir la croissance économique et renforcer la puissance des forces armées. C’était la première tâche et elle a été accomplie. Malgré le fait que la guerre ait duré huit ans, en ce qui concerne une opération militaire de grande envergure, je pense que les accords de Minsk ont rempli leur rôle. »
Donc, contrairement à ce que nous affirment les médias audio-visuels (en surtout LCI « la voix de Kiev), dans les accords de Minsk, les dés étaient pipés et que l’Ukraine ne respecterait pas ses engagements. Cette hypocrisie de l’Allemagne, de la France, de l’Union Européenne et des Etats-Unis a malheureusement obligé la Russie à intervenir militairement pour mettre fin à la tentative de l’OTAN d’encercler et d’étouffer son territoire.
Les responsables du chaos économique et financier que nous vivons aujourd’hui sont donc identifiés : Sarközy, Merkel, Obama, Hollande, Stoltenberg (OTAN), Porochenko, Zelenski et Macron, parmi d’autres adversaires mondialistes de Vladimir Poutine.
Et tout ceci bien sûr pour le plus grand bonheur des banksters de Wall Street.
Source : synthesenationale
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Production électrique, la transparence technique contre la propagande écologiste
Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022
Hier encore dans Le Télégramme, un media de la zone ouest de la Bretagne, journal peu avare de propagande pour toutes les causes à la mode : écologie et éoliennes, immigration, migrants, LGBTQ+, Poutine, Macron… nous assénait ses "vérités".
La chère Agnès Pannier-Rinacher, la ministre de la Transition énergétique clamait haut et fort, c'est dans le journal : « Le renouvelable doit devenir un réflexe ! »
L'autre soir, dans son émission L'heure des Pro, Pascal Praud s'était gentiment moqué des "écolos" qui veulent remplacer l'électricité nucléaire par leurs miraculeuses énergies renouvelables. Pensez énergie éolienne et solaire. Et là, notre Pascal a annoncé quelques chiffres de la production électriques, en pourcentages par types de centrales, nucléaire, gaz, fioul, éolienne...
Et ces données, il les trouvait sur un site internet tout ce qu'il a d'officiel sur lequel, en toute transparence, RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité français, publie en temps réel les données techniques en valeurs absolues et en pourcentages.
Et, en bon pro, il précisait l'adresse de ce site RTE :
En toute transparence, RTE précise dans la rubrique "Suivre et comprendre la production d’électricité en France" : cliquez ici
Le mix énergétique de l’électricité française est publié en temps réel grâce aux données issues de télémesures et d’estimations. Il est également disponible sous forme d’historiques.
Ce graphique vous présente la production d’électricité par filière (nucléaire, gaz, charbon, fioul, hydraulique, éolien, solaire et bioénergies) complétée des rubriques « pompage hydraulique » et « solde des imports/exports avec l’étranger ».
Un peu curieux, je suis allé explorer ce site et je n'ai pas été déçu ! Ah, pour ces pauvres écolos quelle claque ! Si ces rêveurs appliquaient pour eux-mêmes ce qu'il préconisent pour tous nos concitoyens, nous les retrouverions grelottant de froid dans leurs grottes préhistoriques ! Peut-être en serions-nous débarrassés...
Voyez un peu… En pleine période actuelle de froid précoce, comme illustré par l'entête ci-dessus, nous constatons la répartition suivante de la production d’électricité.
Résultats du samedi 17 décembre 2022, à 15 h 45. :
Fioul 0%
Bioénergies 1 %
Charbon 3%
Éolien 3%
Solaire 3%
Hydraulique 10%
Gaz 13%
Nucléaire 66%
Holà ! Les anti-nucléaires ! Vous avez bien lu : le nucléaire représente donc les 2 tiers de toute la production d'électricité en France métropolitaine ! Et Nucléaire + Gaz + Hydraulique = 89 % Record battu !
Alors, les écolos, votre propagande, allez l'accrocher sur un crochet d'ardoise, dans la cabane au fond du jardin, comme au bon vieux temps ! C'est très écolo !
Source : synthesenationale
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Comment l’État français a sous-traité l’essentiel de la gestion des migrants à des associations, qui militent pour leur accueil inconditionnel. Le tout aux frais du contribuable
Publié par Guy de Laferrière le 17 décembre 2022
ENQUÊTE – Les gouvernements successifs ont sous-traité l’essentiel de la gestion des migrants à des associations qui militent pour l’accueil inconditionnel des étrangers dans notre pays. Elles les hébergent, subviennent à leurs besoins quotidiens et leur fournissent une assistance juridique dans leurs démarches. Le tout aux frais du contribuable.
(…) Au-delà de ces actions spectaculaires, d’autres ONG comme la Cimade et France terre d’asile prennent en charge les demandeurs d’asile, leur fournissent assistance matérielle et juridique, s’occupent de les héberger et sont censées veiller à leur intégration. Elles aident aussi les déboutés, le tout dans un cadre fixé par la loi. « Le choix de sous-traiter la gestion des immigrés à des associations diverses et variées a été fait depuis très longtemps, rappelle Patrick Stefanini. Pour des raisons idéologiques, sous l’influence de la gauche, mais en partie aussi pour des raisons budgétaires. On s’est dit que ça permettrait d’économiser les deniers de l’État. » Un calcul qui s’est révélé « totalement erroné », précise l’ancien secrétaire général du ministère de l’Immigration, auteur en 2020 d’un livre * qui fait autorité sur la situation migratoire en France.
(…) Tout un écosystème s’est ainsi constitué autour des étrangers qui tentent leur chance dans notre pays. Au-delà de leur idéologie, les ONG qui les aident sont mues par des motifs humanitaires qu’il n’est pas, ici, question de contester, mais force est de constater qu’elles ont financièrement intérêt à ce qu’ils soient les plus nombreux possible.
(…) Quand l’État ne les mandate pas directement, la plupart des associations qui s’occupent des migrants bénéficient de subventions, nationales et/ou versées par des collectivités publiques, dans des proportions variables.
(…) Certaines associations ne se contentent pas du combat idéologique contre l’État qui les finance, au moins partiellement : elles l’attaquent aussi en justice. En 2019, huit ONG dont Amnesty International France, la Cimade, Gisti, la Ligue des droits de l’homme et Médecins sans frontières ont saisi le tribunal administratif pour « dénoncer la complicité de la France dans les violations des droits humains en Libye ».
Le budget de la Cimade est alimenté à plus de 50% par l’argent des contribuables
(…) Parmi les missions officielles des associations figure « l’aide au récit » : elles mettent en forme et en français le dossier que les demandeurs d’asile devront présenter aux différentes instances et juridictions devant lesquelles ils vont plaider leurs cas, de l’Office français pour les réfugiés et apatrides (Ofpra) à la Cour nationale du droit d’asile (CNDA).
(…) Un bon connaisseur du droit des étrangers raconte que « curieusement, il semble souvent n’exister qu’un récit par nationalité » : « Au Nigeria, ce sont presque exclusivement des femmes, qui racontent qu’une amie immigrée en Italie leur a dit “tu devrais venir, ils cherchent des coiffeuses”. Une fois sur place, elles s’aperçoivent que l’amie est en fait tombée aux mains d’un réseau de prostitution, alors elles passent en France. En Somalie, ce sont des hommes menacés d’être enrôlés de force par les shebabs (groupe islamiste). Au Bangladesh, on voit défiler des pauvres jeunes gens victimes d’un méchant oncle qui veut faire main basse sur le terrain… Les récits se ressemblent au détail près, comme s’ils étaient fabriqués à la chaîne ! »
(…) Le projet de loi sur l’immigration qui doit être adopté en janvier n’aborde pas, dans sa partie connue, la question de la mainmise des associations sur l’hébergement et l’accompagnement des migrants.
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