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maternité

  • La Commission européenne entend imposer l’adoption par les homosexuels et la maternité de substitution à tous les pays de l’UE

    Publié par Guy de Laferrière le 08 décembre 2022

    Auteur : 

    Les États membres de l’Union Européenne vont-ils être contraints d’accepter la maternité de substitution, ainsi que l’adoption d’enfants par des duos de même sexe, même si aucune de ces mesures n’est fondée sur leur propre législation ? C’est en tout cas l’objectif d’une initiative de la Commission européenne selon laquelle « les dispositions de droit international privé relatives à la paternité seront harmonisées au niveau de l’UE« .

    La proposition a été acceptée par la Commission européenne mercredi.

    La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, avait déjà annoncé en 2020 une « stratégie pour renforcer les droits LGBTQI« .

    La Commission européenne voudrait maintenant imposer à tous les pays membres de l’UE un nouveau règlement qui « reconnaîtra la paternité établie dans un État membre sans procédure particulière dans tous les autres États membres« . Cela sapera toute interdiction nationale de la maternité de substitution et fera respecter le droit d’adopter pour les couples homosexuels dans toute l’UE . En effet, le règlement de la Commission européenne ne concerne que les cas qui ne sont pas encore convenus entre les États membres, à savoir la paternité dérivée de la maternité de substitution, ainsi que l’adoption d’enfants par des couples homosexuels.

    Jusqu’à présent, seuls 14 des 27 États de l’UE reconnaissent l’institution légale du « mariage » pour les duos de même sexe, et sept autres une union civile enregistrée. La proposition de la Commission européenne doit être approuvée à l’unanimité par le « Conseil » , c’est-à-dire les représentants des 27 États membres de l’UE, après consultation du Parlement européen. Il semble peu probable que cette unanimité soit donnée mais elle montre déjà où veulent aller les dirigeants de cette institution totalitaire qu’est l’Union européenne.

     

    Source : medias-presse.info

  • Les actes de baptême ne feront plus mention de paternité et de maternité

    Publié par Guy Jovelin le 29 décembre 2019

    Rédigé par l'abbé Claude Barthe le  dans Res Novae

    Les actes de baptême ne feront plus mention de paternité et de maternité

    Dans son émission de midi du 22 décembre sur Radio-Courtoisie, l’abbé Michel Viot a attiré l’attention sur un fait stupéfiant : dans un diocèse de sa connaissance, on se proposait de supprimer les indications du père et de la mère dans les futurs actes de baptêmes au profit de la mention de « parents » et de « personnes détenant l’autorité parentale » sur le baptisé. Un rapide enquête nous a montré que l’ensemble des diocèses de France étaient concernées.

    En effet, Mgr de Metz-Noblat, évêque de Langres, président du Conseil pour les questions canoniques de la Conférence des Evêques de France, par lettre du 13 décembre (voir documents ci-dessous), vient d’adresser aux évêques un nouveau formulaire pour les actes de baptême (voir photo). Ce nouveau formulaire est-il obligatoire ? Il est probable qu’un certain nombre de diocèses n’en tiendront aucun compte.

     

    Jusqu’à ce jour, dans les actes de baptêmes, il était indiqué :

     

    Fils – fille – de ---------------------------------------

    Et de -------------------------------------------------

    Domiciliés ------------------------------------------

     

    Désormais, on y trouvera seulement :

     

    Noms et prénoms des parents ou des autres titulaires de l’autorité parentale

    ---------------------------------------------------------

    ---------------------------------------------------------

    ---------------------------------------------------------

    ---------------------------------------------------------

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    Suivis des mentions d’état civil.

    L’affaire courait depuis 2013. Par lettre circulaire du 28 février dernier, le même évêque de Langres essayait en effet de rassurer ceux de ses confrères qui s’étaient émus du projet de réforme de la formulation des actes de baptême, dont le but était qu’elle « ne soit pas susceptible d’être attaquée en discrimination par les personnes concernées » (en clair, par les couples homosexuels « mariés » en vertu de la loi de 2013, présentant un enfant adopté pour le baptême, et plus tard par les baptisés eux-mêmes).

    Désormais, écrit Mgr de Metz-Noblat, dans tout acte de baptême, on fera désormais « le simple constat de sa situation familiale, sans porter sur celle-ci un jugement moral ». Formule étrange, car jamais les rédacteurs des actes de baptême n’ont « porté un jugement » sur la situation du père et de la mère du baptisé (quand le père était inconnu, il n’était pas déclaré ; quand la situation des parents était irrégulière, cela n’était pas mentionné).

    En un mot, l’exception devient la norme : plus aucun enfant baptisé ne sera dit « Fils (fille) de… et … » La peur, en l’espèce la peur panique de l’Etat laïque, est bien mauvaise conseillère.

     

    Source : hommenouveau