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  • OUF !

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    OUF !
    Évidemment, l’aspect sportif de ce carnaval footbalistique ne m’intéresse pas puisque je n’ai jamais gouté cet opium du peuple qui réunit dans une même communion bougnes, beaufs et bourgeois.
    Je me réjouis d’autant plus de cette défaite « de la France » que l’Argentine, ethniquement pure, a prouvé qu’on pouvait allègrement se passer du multiracialisme pour gagner des enjeux et amuser les foules. D’ailleurs, en apercevant la fin du match, Sabine, qui ne connaît rien à tout ce bordel, croyait que les Français portaient le maillot à bandes blanches et bleues et que les Noirs étaient domiciliés à Buenos Aires. Je du démentir cette bonne nouvelle et l’affranchir ; après la Miss France métisse, le week-end fut donc clair-obscur…
    Tata, qui n’aime rien tant que les corps musqués des Blacks en sueur, avait fait le voyage pour rejoindre les vestiaires en compagnie de Didier Deschamps, l’Idiot du Village promu premier ministre ou presque. Le discours était déjà prêt pour louer le génie de cette France diversifiée et bougnoulisée que le monde nous envie.
    Le symbole, depuis 30 ans, se passe de commentaire puisque les salauds qui se succèdent à l’Élysée utilisent la même ficelle usée jusqu’à la corde pour convaincre les souchiens qu’ils sont des vestiges, et les autres, des talents qui s’ignorent. En fait, les gros cons qui roulent en Lamborghini en tapant dans un ballon sont les nouveaux damnés de la Terre. Imparable !
    Bon, Tata est revenu la queue entre les jambes mais n'est-ce pas là sa vocation... ?
    C. Rol
     
    Peut être une image de 2 personnes, personnes debout, herbe et texte qui dit ’MBAPPE’
     
     
     
  • Rien ne va plus : le contrat signé entre le ministère de la Santé israélien et Pfizer a disparu

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    Auteur : 

    Rien ne va plus dans le monde feutré et corrompu de Big Pharma et des gouvernements covidistes.

    Le ministère de la Santé du pays laboratoire des injections Covid à ARNm de Pfizer, Israël, ne sait plus quoi inventer pour ne pas présenter à la justice le contrat signé avec le laboratoire Pfizer.

    Le quotidien israélien i24 News dans son édition du 15 décembre dernier raconte en effet que « le ministère israélien de la Santé a affirmé devant le tribunal qu’il n’était pas en mesure de localiser l’accord signé avec l’entreprise pharmaceutique Pfizer concernant le partage d’informations épidémiologiques sur les vaccins contre le coronavirus, et a même déclaré qu’il ne savait pas si l’accord avait été signé ».

    Israël, le laboratoire des injections Covid à ARNm de Pfizer

    En 2020, Israël avait reçu en priorité des vaccins du laboratoire Pfizer en échange de données épidémiologiques sur sa population. Plus de 6 millions de personnes ont reçu les doses de ce vaccin. Et comme dans bien d‘autres pays, les effets secondaires graves étant en hausse, les procédures devant les tribunaux pour faire condamner le laboratoire et les gouvernements se multiplient.

    La procédure en question, explique i24 news s’inscrit « dans le cadre d’une requête en cours devant le tribunal de district de Jérusalem ». Le ministère de la Santé, souligne le journal « a admis que, bien que des recherches approfondies aient été menées, l’accord signé avec Pfizer concernant les vaccins n’a pas été localisé. ‘Nous n’avons pas trouvé d’accord signé’, a affirmé l’avocate Ahava Berman du bureau du procureur, au nom du ministère de la Santé. ‘Nous avons cherché dans tous les endroits, y compris le bureau du PDG et le service juridique’.

    L’accord avait été rendu public en janvier 2021, mais I24 news révèle cette information importante :

    « une grande partie de ses clauses avaient alors été occultées. Dans l’accord publié, un espace avait été laissé pour la signature du directeur général du ministère de la Santé de l’époque, Hezi Levy, et d’une autre personne de Pfizer, dont le nom a été noirci – mais leurs signatures n’y figurent pas. Dans la réponse du ministère de la Santé au tribunal, il est affirmé que le ministère ne sait en conséquence pas si l’accord a été signé… ou non. »

    SMS de von der Leyen et contrat perdu, les relations dangereuses avec Pfizer

    Au regard de l’excuse donnée pour ne pas présenter l’accord signé, on peut aisément supputer que le ministère et de Pfizer ne souhaitent pas la divulgation à la population des clauses cachées de leurs contrat. Ce qui laisse supposer des magouillages mafieux et des chiffres de résultats et d’efficacité bidonnés.

    Entre les SMS de la présidente de la commission européenne Ursula von de Leyen avec Albert Boula, le PDG de Pfizer, que la principale intéressée ne veut toujours pas communiquer, et maintenant cette fantasque histoire de contrat perdu, décidemment le laboratoire Pfizer et les signataires de contrats pour les vaccins covid ne veulent pas de transparence dans leurs petites transactions à milliards d’euros. Quelque chose à cacher dirait-on !

    Francesca de Villasmundo  

     

    Source : medias-presse.info

  • Les mensonges éhontés de Libération et de Darmanin fracassés par les faits !

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Moussa Darmanin et Libération : le mariage de la lâcheté

    et du mensonge. Un sinistre couple digne des heures les

    plus  sombres de notre histoire, celles de la révolution

    de 1789 et du communisme assassin jamais jugé !

    Sources policières : l’ultra-droite n’a été présente qu’à Paris (arrestations préventives), Lyon (une dizaine d’interpellation sans difficulté pour la police) et à Nice (aucune interpellation de militant d’extrême droite).

    Selon Matthieu Valet [Porte-parole du Syndicat indépendant des commissaires de police], « sur les 700 interpellations, une cinquantaine est issue de l’ultra-droite, dont 40 arrêtés de manière préventive à Paris, donc sans avoir causé la moindre violence ». Des chiffres éloquents ! Et sur la quarantaine de militants d’ultra-droite appréhendés à la sortie du bar où ils regardaient le match près de Pont Cardinet, dans le XVIIe, seulement 7 ont été présentés, samedi, devant le juge. L’audience a été renvoyée au 13 janvier. Les 7 militants qui comparaissaient sont ressortis libres sous contrôle judiciaire « léger ».

    Nous sommes loin, très loin de la fable inventée par les sbires de Moussa Darmanin, de Libération, de la NUPES, de madame Léa Salamé, suintant de haine sur France 2 face à Jordan Bardella,  pour accréditer une forme de « Nuit de cristal » (1) que l’on nous décrit avec force dans les médias complices du grand Remplacement en marche. La palme de la désinformation et de l’outrance revient avec les titres de la photo de Libération qui annonce : « Extrême-droite – Nuit bleue, Peste Brune » [Voir ci-dessus].

    Les faits, les vrais faits, rapportés par le ministère de l’Intérieur lui-même, les voici : 700 interpellations et 120 policiers blessés en France en trois jours et tous commis par des « jeunes » de banlieue et de leurs complices de l’ultra-gauche.

    Pour la seule nuit suivant la défaite de l’équipe de France face à l’Argentine, en finale de l’édition qatarie de la Coupe du monde de football 227 individus été interpellés. Paris, Grenoble, Nice, Lyon et Bordeaux, ont été le théâtre de débordements. Ce soir là 32 policiers et gendarmes ont été blessés, malgré les quelque 14000 représentants des forces de l’ordre déployées sur le territoire, dont plus de 2500 à Paris. A Lyon, sur la place Bellecour mais également dans le quartier « sensible » de La Guillotière, des casseurs s’en sont pris à une automobiliste et ont caillassé d’autres véhicules pendant une course-poursuite avec les forces de l’ordre. À Grenoble, des vidéos de jeunes s’en prenant à des véhicules circulent sur les réseaux sociaux.

    À Bordeaux, des rixes ont éclaté aux alentours de la place de la Victoire. Des individus ont fait pleuvoir des tirs de mortier sur les forces de l’ordre. À Nice, le journaliste local Grégory Leclerc constate le même soir que « 300 individus sont en ce moment aux prise avec les forces de l’ordre. Tirs de mortier contre lacrymos. Ici, à l’angle avec la rue Trachel et angle rue de Belgique. »

    Nous sommes bien en France, le 20 décembre 2022, à quelques jours de la fête de la Nativité de Notre Seigneur que nous avons encore le droit de célébrer cette année…

    Sources : Le Figaro / Boulevard Voltaire /Valeurs Actuelles / Sud-Ouest / Nice-Matin

    (1) Nuit de cristal : pogrom contre les Juifs du Troisième Reich qui se déroula dans la nuit du 9 au 10 novembre 1938 et dans la journée qui suivit.

  • Les infiltrations maçonniques dans l’Eglise

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    Les infiltrations maçonniques dans l’Eglise

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    Lifesitenews consacre un article aux infiltrations maçonniques dans l’Eglise. L’article date d’octobre et évoque le plan maçonnique d’infiltration de la hiérarchie de l’Égliseavec notamment une tentative de prise de contrôle des séminaires italiens dès les années 1960. La liste de Pecorelli de 1978 identifie 120 fonctionnaires du Vatican membres de la franc-maçonnerie, avec leurs dates d’entrée, leurs numéros de code et leurs pseudonymes.

    À la fin du XIXe siècle, un document demandait aux maçons d’entreprendre un effort d’un siècle pour miner l’Église catholique de l’intérieur. Le document stipule :

    Le pape, quel qu’il soit, ne viendra jamais dans les sociétés secrètes. C’est aux sociétés secrètes de venir à l’Église… L’œuvre que nous avons entreprise n’est pas l’œuvre d’un jour, ni d’un mois, ni d’une année. Elle peut durer de nombreuses années, un siècle peut-être, mais dans nos rangs le soldat meurt et le combat continue…

    Une fois votre réputation établie dans les collèges… et dans les séminaires – une fois que vous aurez gagné la confiance des professeurs et des étudiants, agissez de telle sorte que ceux qui sont engagés dans l’état ecclésiastique aiment à rechercher votre conversation… Alors peu à peu vous amènerez vos disciples au degré de cuisson désiré. Lorsque sur tous les points de l’état ecclésiastique à la fois, ce travail quotidien aura répandu nos idées comme la lumière, alors vous apprécierez la sagesse du conseil dont nous prenons l’initiative….

    Cette réputation ouvrira la voie pour que nos doctrines passent dans le sein du jeune clergé, et aillent jusqu’au fond des couvents. Dans quelques années, le jeune clergé aura, par la force des choses, envahi toutes les fonctions. Ils gouverneront, administreront, jugeront. Ils formeront le conseil du souverain. Ils seront appelés à choisir le Pontife qui régnera ; et ce Pontife, comme la plupart de ses contemporains, sera nécessairement imprégné des… principes humanitaires que nous allons mettre en circulation…

    Que le clergé marche sous votre bannière en croyant toujours qu’il marche sous la bannière des Clés Apostoliques. Vous voulez faire disparaître le dernier vestige de la tyrannie et de l’oppression ? Posez vos filets comme Simon Bar Jona. Posez-les au fond des sacristies, des séminaires et des couvents, plutôt qu’au fond de la mer… Vous vous réunirez en amis autour de la Chaire Apostolique.

    En 1877, la loge Propaganda Massonica, également connue sous le nom de Propaganda Due (P2), a été créée à Rome pour les personnalités politiques dont l’appartenance était tenue totalement secrète en raison des condamnations papales de la maçonnerie. Mais en 1917, à l’occasion de leur 200e anniversaire, les maçons défilèrent sur la place Saint-Pierre avec une bannière sur laquelle on pouvait lire : “Satan régnera au Vatican, le pape sera son esclave”.

    En 1961, le président de la Commission pontificale pour le patrimoine culturel de l’Église, Monseigneur Francesco Marchisano, qui portait le nom de code maçonnique FRAMA, a écrit trois lettres au grand maître du Grand Orient d’Italie (G.O.I.) concernant un projet de prise de contrôle des séminaires dans les régions du Piémont et de la Lombardie. Les séminaires de Trente, Turin et Udine ont été identifiés comme des lieux idéaux pour la tentative, où l’on savait qu’un bon nombre de compagnons francs-maçons s’étaient déjà infiltrés. Les lettres ont été obtenues et publiées en septembre 2002, par le père Luigi Villa, dans un dossier intitulé “Un scandale de nomination”, puis en septembre 2019, dans la revue fondée par le père Villa, Chiesa Viva. La publication de 2002 est intervenue en réponse à la nomination de Marchisano au poste de vicaire général pour la Cité du Vatican et de président des Œuvres de Saint-Pierre.

    Le 17 mars 1981, la police italienne, dans le cadre d’une enquête sur l’enlèvement présumé du banquier sicilien Michele Sindona, ont découvert des listes de 962 membres franc-maçons. Parmi les noms figurent 43 membres du Parlement, 3 membres du cabinet, 43 généraux, 8 amiraux, les chefs de toutes les forces armées italiennes, les chefs des services de sécurité, des diplomates, les chefs de la police des quatre plus grandes villes d’Italie et des fonctionnaires du Vatican. On a également découvert que ses membres avaient pris le contrôle de la banque du Vatican, ce qui a conduit le Saint-Siège au bord de la faillite lors d’un scandale financier qui a éclaté au milieu des années 80.

    Par ailleurs, les conclusions d’un audit de trois ans de tous les bureaux du Saint-Siège, mené par l’archevêque Edouard Gagnon, concernant les allégations selon lesquelles certains prélats et clercs de la Curie romaine étaient secrètement membres de la franc-maçonnerie, ont été présentées en personne au pape Jean-Paul Ier. Selon les mémoires du secrétaire de Mgr Gagnon, le père Charles Murr, “Mgr Gagnon a constitué un dossier exhaustif qui ne lui laissait aucun doute sur la véracité de ces allégations choquantes”. L’enquête avait été commandée par Paul VI en réponse à l’accusation particulière selon laquelle deux prélats de haut rang étaient francs-maçons : Annibale Bugnini et Sebastian Baggio. Bugnini était responsable de la Commission pour la réforme de la liturgie latine après le Concile Vatican II, qui a produit le Novus Ordo. Baggio était préfet de la Congrégation pour les évêques, responsable de la nomination et du choix des évêques dans l’ensemble du monde catholique. C’est pendant son mandat que l’âge de la retraite de 75 ans a été fixé pour les évêques. De nombreux sièges épiscopaux devinrent vacants lorsque les évêques de plus de 75 ans remirent leur lettre de démission. Cette situation a permis à Baggio d’avoir les coudées franches pour remplacer en très peu de temps l’épiscopat.

    Un autre nom important est celui du cardinal Agostino Casaroli, ministre des affaires étrangères sous Paul VI et secrétaire d’État sous Jean-Paul II. Casaroli est entré en maçonnerie le 28 septembre 1957, avec le numéro de code 41/076, sous l’acronyme CASA. C’est à Casaroli que l’on doit l’attitude ouverte du Vatican à l’égard des communistes sous le pontificat de Paul VI, une politique appelée Ostpolitik, qui a conduit le pape à destituer le cardinal József Mindszenty de son poste de primat de Hongrie, entraînant l’établissement d’une église d’État sous le contrôle des dirigeants communistes hongrois. Cette politique a été rejetée plus tard par Jean-Paul II, qui venait de derrière le rideau de fer, mais le mal était déjà fait pour l’Église d’Europe de l’Est.

     

    Source : lesalonbeige

  • Céret (66) : Plusieurs jeunes femmes passées à tabac à la sortie d’une discothèque. “Ces jeunes n’ont pas frappé pour faire mal mais pour massacrer”

    Publié par Guy de Laferrière le 19 décembre 2022

    “Ces jeunes n’ont pas frappé pour faire mal mais pour massacrer”

    L’Indépendant via fdesouche