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  • Des élus PCF détournent l’argent public pour faire grève

    Publié par Guy de Laferrière le 13 février 2023

    lesalonbeige

    Des élus PCF détournent l’argent public pour faire grève

    Selon Omerta :

    Alors que les syndicats, les partis politiques de gauche et les grévistes indépendants mobilisent des moyens pour manifester, plusieurs élus de gauche, majoritairement issus du PCF, mobilisent l’argent public pour manifester leur opposition au gouvernement.

    Des pratiques répandues

    Visiblement, un procès en détournement de fonds publics n’est pas pour effrayer les élus de gauche : ils vont même jusqu’à communiquer sur leurs pratiques illégales. Pour exemple, le maire PCF de Noisy-Le-Sec (93) Olivier Sarrabeyrouse va jusqu’à tweeter pour communiquer sur l’horaire de départ des cars. Il en est de même pour Christian Métairie, maire EELV d’Arcueil (94).

    Pourtant, affréter des cars est loin d’être la seule pratique mise en œuvre. En effet, des élus, plus nombreux encore, ont décidé de la fermeture de leur mairie lors des jours de grève. Il en a été ainsi de l’inénarrable Anne Hidalgo. La maire de Paris, qui s’est récemment félicité des nombreux départs des Parisiens chaque année, a visiblement agi à nouveau pour conforter cette dynamique : déployant de grandes banderoles « mairie solidaire avec le mouvement social » en-dessous des drapeaux ukrainiens, devant l’Hôtel de ville, elle a décidé de la fermeture de la mairie le 31 janvier, jour où les manifestations ont atteint leur pic.

    Pierre Garzon, maire PCF de Villejuif (94), a également rejoint cette ingénieuse idée : le 31 janvier, les services publics de la ville étaient en grève et les cars étaient disponibles. Il en avait été de même d’Olivier Sarrabeyrouse ce même jour. Encore au PCF, ce sont Philippe Bouyssou, maire d’Ivry sur Seine et Pierre Bell-Loch maire de Vitry-sur-Seine qui ont décidé de la mise en grève des services publics de leur ville le 31 janvier. On pourrait égrener longtemps ces mairies grévistes, mais toutes ont un point commun : elles sont tenues par la gauche, et sont dans l’illégalité.

    Des poursuites judiciaires possibles, mais improbables

    Si ces pratiques sont illégales, c’est notamment grâce à la décision du Conseil d’État du 19 novembre 1990 qui stipule qu’elles ne présentent pas « un caractère d’utilité communale », appuyé en cela par le principe de neutralité du service public. En théorie, des procédures judiciaires pourraient tout à fait être engagées pour non-respect de ce principe et pour détournements de fonds : après tout, qui sait combien on coûté les banderoles de la mairie de Paris ? Pourtant, il reste peu probable que ces élus soient un jour poursuivis, et ce pour deux raisons. De façon pragmatique, parce que cela exacerberait sans aucun doute les tensions sociales que le gouvernement souhaite atténuer, de façon juridique, parce que le tribunal administratif chargé de ces affaires ne peut statuer dessus en si peu de temps.

  • Carpentras (84) : la lutte d’une ville provençale contre l’emprise du trafic de drogue

    Publié par Guy de Laferrière le 12 février 2023

    “Il faut tenter” : à Carpentras, ville provençale où le trafic de drogues étend son emprise, le maire, des travailleurs sociaux, des policiers et des habitants refusent la fatalité et luttent à coups de lettres, de patrouilles ou de pinceaux.

    (…) Mais non loin du centre-ville, à l’entrée du quartier pauvre du Bois de l’Ubac où vivent quelque 600 personnes, choufs (guetteurs avertissant de l’arrivée des policiers) et charbonneurs (revendeurs de drogues) sont installés depuis 2022 avec canapés, chaises et braséros.

    Ce drive (point de vente de drogue) est très fréquenté comme ceux de deux autres quartiers, les Amandiers et Pous-du-Plan, alors qu’en France la consommation de cannabis est une des plus élevées d’Europe et que l’usage de cocaïne augmente.

    (…) Dans le Vaucluse, 2022 a été marquée par “un conflit violent entre clans pour le contrôle des points de deal de la cité des Amandiers à Carpentras” avec “une série de fusillades”, a souligné cette semaine la préfecture dans son bilan sécurité.

    “Je veux que ça se règle avant qu’il y ait des morts”, lance le maire, Serge Andrieu, ex-entrepreneur en BTP divers gauche qui a battu l’extrême droite.

    “La République a abandonné ces quartiers sous prétexte qu’il y en a d’autres ailleurs. Tout le monde s’en accommode, ce n’est ni possible ni entendable”, insiste-t-il.

    (…) Le Point via fdesouche

  • Nanterre (92). « Nous tenons à ce que tout se passe bien » : des dealers affichent un règlement de bonne conduite pour les habitants d’un immeuble

    Publié par Guy de Laferrière le 12 février 2023

    Les trafiquants ont affiché un règlement dans le hall d’une tour du quartier Pablo Picasso, dans lequel ils demandent aux habitants de «bien vouloir respecter les consignes»

    C’est une affiche qui suscite de vives réactions dans le quartier Pablo Picasso. Un règlement rédigé par des dealers à destination des habitants a été imprimé puis affiché dans le hall de la tour Certains y voient une forme de «provocation».

    «Chers voisins, chères voisines», interpellent d’abord les dealers en lettres capitales. Puis dans un texte ponctué de fautes d’orthographe, ils s’engagent à «ne pas laisser de déchets, pas de tapage et personne ne va fumer dans la tour». Ils garantissent qu’il n’y aura «aucun manque de respects» envers les habitants. «Nous ne sommes pas là pour perturber votre quotidien, uniquement pour travailler. Nous tenons absolument à ce que tous (sic) se passe bien pour vous et nous», clament ceux qui se présentent comme «la direction».

    En retour, les trafiquants exigent de la part des habitants de «bien vouloir respecter les consignes et les employers (re-sic). Rien ne sert de leur hurler dessus. Si vous avez une requête ou autres n’hésiter (re-re-sic) pas à communiquer avec nous.» Et d’ajouter, en se présentant en Bon Samaritain: «Si vous avez besoin de quoique (re-re-re sic) ce soit, nous sommes là avec grand plaisir.» 

    Le Figaro via fdesouche

  • Montpellier. Plus de 15 000 manifestants pour défendre la tauromachie et la ruralité face aux «écolos bobos»

    Publié par Guy de Laferrière le 12 février 2023

    Les manifestants dénoncent de récentes atteintes à des coutumes qui non seulement forgent leur identité mais contribuent aussi au développement économique de leur région.

    De 13 000 à 15 000 personnes, parmi lesquelles se trouvaient également de nombreux chasseurs en chasubles orange, se sont réunies au pied du Corum, le palais des congrès de Montpellier, répondant à l’appel d’élus de la région, d’éleveurs de taureaux et de membres de clubs taurins qui pratiquent la « bouvine », ces jeux tauromachiques du sud-est de la France sans mise à mort. leur identité mais contribuent aussi au développement économique de leur région.

    C’est une tribune publiée en janvier dans le quotidien Le Monde qui a mis le feu aux poudres, d’autant plus que parmi la cinquantaine de signataires figuraient des élus de Montpellier. 

    Source via fdesouche

  • Clémentine Célarié : « Je suis noire, je suis née en Afrique donc je suis attirée par la peau noire. Je n’ai pas vécu [les discriminations] mais enfin si… »

    Publié par Guy de Laferrière le 12 février 2023

     

    Source : fdesouche