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  • Refoulé par les autorités mauriciennes, un navire de migrants sri-lankais fait cap vers La Réunion

    Publié par Guy de Laferrière le 10 février 2023

    Migrants. Ce lundi matin, le navire de pêche sous pavillon sri-lankais transportant 18 ressortissants, dont trois enfants, était annoncé proche des côtes réunionnaises. Les autorités mauriciennes ont finalement intercepté et accompagné le navire jusqu’à Port-Louis sous surveillance continue des autorités locales. Hier soir, après un plein d’essence, le bateau a finalement repris son périple en mer à destination de La Réunion.

    (…) Clicanoo via fdesouche

  • Labarthe-sur-Lèze (31) : un enfant de 10 ans menace d’égorger ses camarades avec un cutter

    Publié par Guy de Laferrière le 10 février 2023

    INFO LA DEPECHE "Je vais t'égorger" : au sud de Toulouse, un enfant de 10 ans menace ses camarades avec un cutter

    Deux élèves de l’école élémentaire Trois Moulins de Labarthe-sur-Lèze, au sud de Toulouse en Haute-Garonne, ont été menacés avec un cutter par l’un de leurs camarades dans la cour de récréation. L’agression a choqué. Des mesures ont été prises.

    “Je vais t’égorger”. Deux enfants, un garçon et une fille âgés de 8 ans et 9 ans, scolarisés à l’école élémentaire Trois Moulins de Labarthe-sur-Lèze, dans le Muretain au sud de Toulouse, ont eu très peur ce lundi 30 janvier lorsqu’ils ont été agressés à l’heure de la cantine par l’un de leurs camarades.

    “Notre fils jouait quand un élève est venu montrer un cutter qu’il aurait trouvé, relate la maman du petit garçon. Quand sa copine est arrivée, il lui a mis le cutter sous la gorge en disant qu’il allait l’égorger”.

    www.ladepeche.fr via fdesouche

  • À 76 ans, Jeannine travaille tout en faisant les poubelles pour survivre

    Publié par Guy de Laferrière le 10 février 2023

    lesobservateurs

    Publié le 9 février 2023

    Jeannine, 76 ans, travaille encore pour "essayer de survivre" car "les retraites ne sont pas assez élevées".

    Ménage, cours de français, s'occuper de personnes âgées (sic).., Jeannine se débrouille comme elle peut.

    « La vie devient de plus en plus dure ! »

    Jeannine a travaillé de 14 ans à 65 ans, et elle est confrontée à des défis financiers causés par l’augmentation des coûts de la vie, tels que les loyers, les mutuelles, le gaz, et l’électricité. C’est pourquoi elle doit trouver une source de revenu supplémentaire pour survivre. Et, malgré les défis, elle s’efforce également d’aider les personnes de son âge qui sont en difficulté.

    Courageuse et déterminée, Jeannine ne se plaint jamais et poursuit ses activités sans crainte. Elle mérite le respect et l’admiration pour sa détermination à aider les autres malgré les difficultés qu’elle rencontre.

    lemediaen442

  • Les hommes meurent sur la route… sauf s’ils portent du vernis à ongles : la Sécurité routière vous informe !

    Publié par Guy de Laferrière le 10 février 2023

    La nouvelle campagne de publicité de la Sécurité routière a de quoi laisser pantois. Forte d'incontestables statistiques selon lesquelles 80 % des victimes d'accidents de la route sont des hommes, l'officine gouvernementale a logiquement dû en déduire que la « masculinité toxique » était à l'origine des comportements dangereux. Ce ne sont donc pas les comportements au volant qu'il faut éduquer, ce sont les hommes qu'il faut déconstruire. Limpide. Le choix du tout dernier spot télévisuel de prévention s'est donc attelé à ce symbole d'un patriarcat fantasmé : la voiture, ou plutôt à ce symbole d'un « voituriarcat » fantasmé : le patriarche.

    La scène est dans une maternité. Une femme donne naissance à un bébé qui est, la voix off nous l'apprend, un garçon. Son père le prend dans les bras, et c'est évidemment un très beau spectacle, comme tous les accouchements qui se passent bien. Bon, le papa barbu a des boucles d'oreille et il est tatoué comme un mur de WC sur une aire d'autoroute, mais franchement, ce n'est pas si important, se dit-on. Un slam gnangnan, avec des rimes de mirliton et une musique minimale, nous fait partager ce qui passe par la tête du père. Au début, c'est bien. Le père parle à son fils. On voit à peine le visage de la mère. Rapidement, un plan de coupe montre le même nourrisson, dans la même salle, dans les bras d'un autre homme (un autre papa ?), barbu lui aussi mais plus âgé, et portant des lunettes. Doit-on en déduire que ce bébé est né par GPA au profit d'un couple d'hommes ? C'est interdit en France, au passage, mais poursuivons.

    Parmi les nombreux conseils que le papa (appelons-le n° 1) donne à son fils, il y a « Peins-toi les ongles, dessine-toi sur le corps »... pourvu que tu sois heureux, ou à peu de chose près. Le spot s'achève sur le papa n° 1 s'éloignant dans le couloir de la maternité, son fils dans les bras, et la « chanson » qui s'achève sur ces mots : « Deux hommes meilleurs sont nés aujourd'hui. » S'il n'y avait pas le message de la Sécurité routière, on ne saurait pas trop ce qui est promu, dans ce spot publicitaire. Heureusement, ainsi, on comprend mieux. Explication de texte : si les hommes ont plus d'accidents, c'est à cause de l'injonction à la masculinité toxique, qui leur dit de rouler vite pour être de vrais hommes. Quand on se « peint les ongles », bref, quand on déconstruit les stéréotypes sociaux de genre, pour parler la langue woke, on a moins de risques d'avoir un accident. Deux hommes meilleurs sont nés, car papa n° 1 va faire attention sur la route, puisque son dernier enfant (achat ?) est né aujourd'hui, tandis que le bébé, qui a la chance de naître dans un monde moderne (et dans un couple homosexuel ?), sera prudent parce qu'il n'aura pas à prouver sa virilité sur la route.

    Où la Sécurité routière a-t-elle pris que, dans l'opinion commune, il fallait faire n'importe quoi au volant pour être considéré comme un homme, un vrai ? Un bon père de famille ne fait-il pas plutôt attention - parfois exagérément - à la route et à la sécurité ? Un homme qui, même sans enfants, aime sa femme ou sa petite amie tient-il absolument à multiplier les freins à main et les dépassements abusifs pour lui montrer qu'il est solide ? On voit bien que c'est, en fait, du camp wokiste, dont on se désole au passage qu'il soit subventionné par le contribuable, que viennent les véritables stéréotypes. De plus - mais ce débat nous emmènerait loin -, ce ne sont peut-être pas, statistiquement, les mâles blancs qui ont le plus de comportements à risque au volant (cannabis, go fast, excès de vitesse, rodéos, mariage, course-poursuite...). Demandez à votre agent de police le plus proche. Enfin, statistiquement toujours, si les femmes ont moins d'accidents, ne serait-ce pas parce qu'elles prennent moins le volant ? Ou alors y aurait-il des vertus de prudence, de vigilance et de modération systématiquement présentes chez les femmes ? Ce serait sexiste ? Non, pas quand on essentialise les femmes pour leur attribuer toutes les qualités, apparemment.

    Tous les moyens sont décidément bons pour promouvoir, fût-ce d'une manière presque parodique, l'anti-morale et l'anti-culture. Ce ne sont donc pas les gens qui doivent se comporter correctement en général : ce sont les hommes, et eux seuls, parce que tout le mal vient d'eux, qui doivent désapprendre à être des hommes, puisqu'il est bien connu que vitesse au volant et masculinité sont indissociables l'une de l'autre. Les Français, branchés H24 sur le téléviseur qui leur vomit à la face, savent-ils encore faire la part des choses ? Rien n'est moins sûr.

    Il serait par ailleurs intéressant de demander aux femmes si ce sont des hommes aux ongles peints, élevés par deux papas, qu'elles cherchent à rencontrer pour fonder une famille. Comment ? Que dites-vous ? Elles ne veulent plus de famille ? Ah, dans ce cas, le problème est réglé. Hommes déconstruits et femmes sans désir pourront donc, demain, continuer à tourner en rond, en dessous des limites de vitesse, sur le morne carrousel de leur vie en deux dimensions. Pour la France qui fume des clopes et roule au diesel, pour reprendre l'une des nombreuses punchlines du sympathique et honnête Olivier Véran, ce n'est plus seulement une question de carburant, c'est carrément une question de conduite. Merci à la Sécurité routière de creuser un peu plus le sillon de notre sécession mentale d'avec ce pouvoir central absurde et cette propagande.

    Arnaud Florac

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Utiliser les personnes en état de mort cérébrale comme usine à bébé : la nouvelle idée folle des mondialistes

    Publié par Guy de Laferrière le 10 février 2023

    Une idée sorti tout droit d’un film d’horreur ? Non, une étude scientifique fait par une Professeur de l’université d’Oslo en Norvège propose d’utiliser le corps des femmes en état de « mort cérébrale » comme mères porteuses!

    Notre mère est sans aucun doute la personne humaine à qui nous sommes le plus attaché, en particulier dans l’enfance, et charnellement avant la naissance.

    Rien n’est plus naturel qu’une mère qui s’occupe de son enfant. Cette idée si évidente ne fait cependant plus l’unanimité. Déjà depuis plusieurs années, sous la pression de coteries, la loi de la république maçonnique permet à des invertis d’avoir des enfants. Faisant face à une impossibilité biologique, la raison ne les pousse pas à renoncer à leur projet absurde, mais à s’approprier le ventre de femmes pauvres vivant dans d’autres pays comme l’Inde ou l’Ukraine. Le « couple » récupère ensuite l’enfant, la femme recommence — jusqu’à l’épuisement, pour nourrir les siens. Cet esclavage moderne est malheureusement de plus en plus répandu, et promu sous le nom atroce de « Gestation pour autrui ». Quand leurs concepts sont monstrueux, la créativité ne leur manque pas pour les maquiller derrière un jargon technique…

    Visiblement cette situation déjà inquiétante n’émeut pas les autorités. Cela pousse au contraire des docteurs Frankenstein à imaginer des choses encore plus monstrueuses: utiliser le corps de femmes en état de « mort cérébrale » comme usine à bébé. Leur matérialisme est sans limites…

    Qu’est-ce que la « mort cérébrale » ?

    La mort cérébrale est définie comme « l’état d’absence totale et définitive d’activité cérébrale chez un patient. » Donc le cœur bat encore, les cellules continuent de faire du métabolisme, le sang circule… le corps fonctionne parfaitement. Si le corps fonctionne, il est évident que l’âme y est toujours présente, le terme de mort cérébrale est donc un concept absurde voire mensonger… aux conséquences très dangereuses.

    Cette idée d’utiliser le corps des femmes en état de « mort cérébrale » met d’ailleurs un terme définitif au débat : ces personnes sont bien vivantes!

    Comment alors peut-on considérer une personne vivante comme morte ? Il s’agit là d’un prétexte pour faire de l’esclavage, légitimer des homicides pour des prétextes utilitaristes…

    Du point de vue moral, cette idée est absolument indéfendable. En effet, l’Église ne permet la procréation que dans le cadre du mariage. Or le mariage est un accord entre l’homme et la femme souhaitant se marier. Donc une personne en état de « mort cérébrale » ne peut pas consentir à quoi que ce soit vu qu’elle n’a pas l’usage de la raison. C’est évident, mais visiblement pas pour tout le monde…

    De plus cela va contre la vertu de prudence. Quelle est l’espérance de vie d’une personne en état de « mort cérébrale » ? Comment pourrait-on être sûr que la grossesse arrive à son terme et que le bébé ne se retrouvent pas emporté dans cette horrible expérience ? Visiblement nos « scientifiques » sont plus préoccupés par la « théorie du genre » que par la vie de l’enfant.

    Enfin, cette idée diabolique met en avant un paradoxe :

    Dans la loi, est considéré comme morte une personne en « mort cérébrale ». Cela permet de légitimer le don d’organe : la personne étant morte on peut prélever ses organes.

    Sauf que, si un bébé peut se développer (dans quelles conditions… ?) dans le corps d’une femme en état de « mort cérébrale », cela signifie qu’elle n’est pas morte. En effet, si la maman meurt, le bébé dans son ventre ne peut plus se développer…

    Donc les personnes en « mort cérébrale » ne sont pas mortes matériellement, leur corps fonctionne, et si le corps fonctionne, l’âme y est encore présente (sinon il ne fonctionnerait pas…). Donc prélever un organe vital sur une personne en « mort cérébrale » est un homicide.

    Comment peuvent-ils défendre le don d’organe sur les personnes en « mort cérébrale » et en même temps vouloir utiliser ces corps pour élever des bébés ?

    Léon Bossdraft

     

    Source : medias-presse.info