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  • Encore un revenant de "la section des piques de 1793"...

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

    lafautearousseau

     À Paris, ce minot (terme non péjoratif) déclare à la télé qu'il veut "la retraite à 60 ans" : c'est pas beau, le bourrage de crâne façon "bobo/gaucho/fricos" ?
     
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    Écoutez-le parler ce "petit minot" (on dit "petit minot" pour ne pas dire ce "petit c.."). Encore un revenant de "la section des piques de 1793"...
     

     

  • La prédiction du mage Attali pour août 2023 : une immense crise financière

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

     
    Ce qui est marrant, enfin, pas pour tout le monde, c’est quand un gros bonnet de la finance nous annonce une crise financière majeure.

    On se dit : le gars, qui est juge et partie, il n’a rien pu faire contre le tsunami qui arrive, et dont lui et ses amis ont bien profité ?

    Une immense crise financière menace. À moins d’agir vite, elle frappera, probablement au cours de l’été 2023. Et si, par procrastination générale, elle est reportée, elle n’en sera, plus tard, que plus sévère. Nous avons encore tout pour la dominer vraiment, à condition de comprendre que c’est tout notre modèle de développement qui est en cause.

    La situation mondiale ne tient aujourd’hui que par la force du dollar, lui-même légitimé par la puissance économique, militaire et politique des États-Unis, qui restent le premier refuge des capitaux du monde. Or ils sont aujourd’hui menacés par une très grave crise budgétaire, financière, climatique et politique :

    La dette publique américaine atteint 120 % du PIB, sans tenir compte des garanties données par l’administration fédérale aux divers systèmes de retraites des agents fédéraux ni du financement nécessaire des futures catastrophes climatiques. Or, depuis la mi-janvier 2023 le Trésor américain a atteint la limite de ce qu’il a le droit d’emprunter ($31.4Tr) ; les salaires des fonctionnaires et de l’armée ne sont plus payés que par des expédients (que la Secrétaire au Trésor dit ne pas pouvoir prolonger au-delà de début juillet 2023). Les Républicains, qui contrôlent la Chambre des représentants, se préparent à proposer ce que la Maison Blanche dénonce déjà comme des « coupes dévastatrices qui affaibliraient la sécurité nationale tout en accablant les familles de travailleurs et de la classe moyenne ». Et le projet des Démocrates, qui vise à une réduction du déficit en 10 ans, par une hausse massive des impôts des plus riches, n’a pas plus de chance d’être adopté par le Congrès. Les Américains pourraient une fois de plus s’en tirer par une nouvelle hausse du plafond de la dette, dont personne ne veut. Et qui ne résoudrait rien.

    La dette privée n’est pas dans un meilleur état : elle atteint 16 900 milliards de dollars soit 2 750 milliards de plus qu’avant la crise du Covid-19 ; soit 58 000 dollars par adulte américain ; ou encore 89 % du revenu disponible des ménages américains. Une bonne partie ne finance que des dépenses de consommation et l’achat de logements ; en particulier, la dette immobilière atteint 44 % du revenu disponible des ménages américains, soit le plus haut niveau historique, supérieur à celui de 2007, quand elle a déclenché la crise précédente. Et les Américains les plus pauvres continuent d’emprunter, avec la garantie de la Federal Housing Administration, pour acheter des logements avec un apport personnel limité à 5 % mais des mensualités pouvant aller jusqu’à 50 % de leurs revenus ! Système intenable. (…)

    À cela s’ajoute un climat révolutionnaire, où plus personne n’exclut une crise constitutionnelle, pouvant même conduire, selon certains, à la sécession de certains États.

    […]

    Comment l’éviter ?

    Il y a à cela quatre solutions : des économies radicales, dans le même mode de développement, (qui ne feront que créer de la misère et de la violence) ; une relance budgétaire et monétaire (qui ne fera que reporter l’échéance) ; la guerre (qui conduira au pire, avant peut-être d’ouvrir des opportunités pour les très rares survivants).

    Lire l’article entier sur attali.com

  • Novak DJOKOVIC offre deux de ses raquettes de compétition au profit de la Fondation Jérôme Lejeune

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

    Novak Djokovic, fervent croyant
    Novak Djokovic, fervent croyant, remercie Dieu à chacune de ses victoires

    La Fondation Jérôme Lejeune organise le 4 mai 2023 une vente aux enchère, à l’hôtel Drouot, 9, rue Drouot, 75009 Paris, parrainée par Ari Vatanen, ancien pilote de Formule 1.

    Parmi les articles qui seront mis en vente, figurent deux des raquettes de compétition du joueur de tennis Novak DJOKOVIC, actuel numéro 1 mondial et vainqueur de 22 tournois du grand chelem (record partagé avec Raphaël Nadal) qu’il a utilisé en 2020 et 2021 en compétitions officielles.

    Chacune de ces deux raquettes sont estimée à 2000 à 3000 euros.

    Djokovic était déjà connu pour son opposition aux pseudo-vaccins contre le coronavirus qui l’a empêché de participer à plusieurs tournois, dont l’open d’Australie de 2022. On est heureux d’apprendre qu’il soutient concrètement la Fondation Jérôme Lejeune, du nom du scientifique qui a découvert l’origine de la trisomie 21 en 1958.

    Cette vente comprend en tout 120 lots. Le catalogue des lots et les modalités pour effectuer les offres d’achat sont disponibles sur le site de la fondation à l’adresse “https://www.fondationlejeune.org/venteauxencheres/”.

    Parmi les lots figures des peintures, des objets sportifs, des bijoux, des bouteilles d’alcool, etc.

    Outre son combat pour trouver des traitements contre la trisomie 21, la fondation est résolument pro-vie.

    Bon temps pascal à tous.

    Gontran PAUME

     

    Source : medias-presse.info

  • François Ruffin : l’arme fatale de Jean-Luc Mélenchon ?

    Publié par Guy de Laferrière le 15 avril 2023

    15 Avril 2023, 10:53am | Publié par Thomas Joly 

    François Ruffin, l’électron libre de La France insoumise, n’est pas méchant homme. Et c’est même avec une naïveté touchante qu’il affirme, ce 13 avril, sur BFM TV, à propos de la réforme des retraites : « Les gens avaient besoin d’amour. » Emmanuel Macron aurait dû leur parler « avec tendresse », estime-t-il. C’est le même François Ruffin qui, accompagné par notre confrère Pascal Eysseric, patron de la revue Éléments, lors de la dernière Fête de L’Humanité, lui dédicace en ces termes son dernier essai Je vous écris du front de la Somme (Éditions Les Liens qui libèrent) : « Pour Pascal, et pour qu’à la fin, c’est les gentils qui gagnent. »

    Mais la gentillesse est-elle une vertu, en politique ? C’est d’abord une vertu tout court : on parlait jadis de « gentilshommes » et cela n’avait rien de railleur ou de méprisant, bien au contraire. Ce n’est pourtant pas la qualité qu’on attend en premier chez un homme ou une femme politique. Un exemple ? Marine Le Pen. En privé, c’est la plus charmante des dames : elle confesse, d'ailleurs, apprécier le même François Ruffin pour sa courtoisie et avoir adoré son film, Merci patron !. En public, c’est évidemment une tout autre affaire, ses adversaires et concurrents en savent quelque chose.

    Dans les colonnes de la revue Éléments plus haut citée, elle affirme : « Il nous revient à nous, patriotes, qui sommes en quelque sorte les nouveaux tribuns de la plèbe, de pouvoir faire entendre la voix des sans-voix, la parole étouffée et méprisée de ces millions de Français, anonymes et silencieux, honnêtes et travailleurs, qui, en réalité, font battre le cœur productif et créatif du pays. » Là, est-elle gentille ou méchante ? Non. Elle fait simplement preuve d’empathie vis-à-vis des plus humbles de nos compatriotes. Tout comme François Ruffin qui, de l’autre côté de la barricade, met souvent à mal la ligne de son propre parti, plus enclin à célébrer les minorités sexuelles et sociétales. Bref, les deux aiment manifestement le peuple, cette forme de « gentillesse » en valant bien une autre.

    À l’évidence, deux personnes ne se sont pas trompées sur la personnalité de ce trublion : Laurent Gerra et Jean-Luc Mélenchon. Le premier, lors de la matinale de RTL, le dépeint en « gentil » garçon, poli et aimable - ce qu’il est. Le second est évidemment plus retors, qui vient de l’adouber, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2027. La Méluche n’est, bien sûr, pas un parangon de « gentillesse », mais au moins a-t-il un sens politique. En bon trotskiste, les retournements stratégiques ne lui font pas peur.

    Il a vu l’impasse où commencent à le conduire ces rapprochements hasardeux entre carpe et lapin : islamo-gauchisme et gaucho-féminisme. Selon le bréviaire marxiste, les contradictions ne valent que si l’on parvient à les surmonter, ce qui, d’un strict point de vue factuel, n’est pas faux. Mais dans le cas de la NUPES, elles deviennent de plus en plus insurmontables : le parti doit godiller entre néo-féministes parties à la chasse au mâle et salafistes pour lesquels la place des femmes est aux fourneaux et celle des homosexuels en enfer. D’où le recours à François Ruffin, personnalité assez consensuelle pour ne pas trop faire peur à la droite et à la gauche, pas plus qu’il ne saurait effrayer la France d’en haut ni la France d’en bas. Il est probable que le potentiel électoral de 21 % que lui donnent les sondeurs a dû aider à la réflexion.

    Seulement voilà, François Ruffin a beau être « gentil », il n’est pas nigaud pour autant, refusant tout aussi « gentiment » les avances de son ancien mentor : « Qui croit que, dans ce contexte, un petit gars, avec ses deux bras et son cerveau, va venir en super-héros résoudre tout ça ? » Bien vu. Et drôle, avec ça, comme le sont souvent les « gentils » qui peuvent aussi aller loin. C'est sans doute à quoi rêve, sous ses braves airs, ce galopin de François Ruffin…

    Nicolas Gauthier

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Édouard Philippe "personnalité préférée des Français"

    Publié par Guy de Laferrière le 14 avril 2023

    Édouard Philippe "personnalité préférée des Français" ? La bonne blague !!!!! Des médias, peut-être, et des journaleux qui y travaillent (?), mais sûrement pas des Français qui se souviennent qu’il a été le Premier ministre (entre autres "joyeusetés") :  

    • de la gestion catastrophique du Covid;

    • de la fermeture de Fessenheim;  

    • de la vitesse réduite à 80 km/h;

     de l’augmentation des taxes sur le carburant...

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    Source : lafautearousseau