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L'Autoroute A69 entre Toulouse et Castres ? Résolument contre... On va engloutir les meilleures terres agricoles du Languedoc, abattre des dizaines d'arbres centenaires, bétonner encore plus et couper en deux des villages... et tout cela pour faire gagner quinze minutes (même si les "pro" disent que ce sera trente...), pour un prix exorbitant et faire un nouveau cadeau aux concessionnaires privés... Même si les "voisins d'opposition" ne sont pas forcément notre tasse de thé, ne laissons pas la révolte contre un projet "du passé/dépassé" aux mains des casseurs/terroristes/révolutionnaires...
Le point de vue de Reporterre (dont nous ne partageons pas toujours les points de vue, justement) :
Le 13 avril, un scooter monté par trois mineurs, âgés de 17, 14 et 13 ans, dont l’un ne portait pas de casque, a "refusé d'obtempérer" (c'est la mode, maintenant...) : trois infractions en même temps !
Poursuivi par une voiture de police, il a fini par chuter.
Évidemment, "on" s'en prend à la police !
Évidemment deux enquêtes ont été ouvertes, dont une à l’IGPN !
Évidemment, les trois policiers qui ont fait leur tavail sont accusés, mis en garde à vue, le chauffeur suspendu !
CE SYSTÈME POURRI EST EN PLEINE "RÉVOLUTION", AU SENS PREMIER DU TERME :
DÉFENDRE LES DELINQUANTS,
AU LIEU DE SOUTENIR CEUX QUI MAINTIENNENT
(OU ESSAYENT DE MAINTENIR)
NOS RUES SÛRES ET SANS DANGERS POUR LES CITOYENS...
Le nombre de restaurants y a été multiplié par quatre en vingt ans. De nouvelles enseignes tentent de profiter de ce raz-de-marée qui n’épargne aucune classe sociale.
Plus d’un repas sur deux, hors domicile, est désormais pris dans un fast-food. Près d’un sandwich sur deux est un burger ; chaque année, il s’en vend 2,6 milliards en France ! Hamburgers, bagels, burritos, wraps, sushis, pizzas, tacos, kebabs, poke bowls… Il n’y a jamais eu autant de restaurants rapides dans le pays : 52 500 au total – contre 13 000 il y a vingt ans -, selon le cabinet spécialisé CHD Expert-Datassential. La France a beau être le pays de la gastronomie, c’est aussi un marché porteur pour le fast-food, qui fait saliver les grandes chaînes comme les indépendants. De nouvelles enseignes américaines se préparent à débarquer dans notre pays, convaincues que le marché est loin d’y être saturé.
La mairesse de Nantes Johanna Rolland a un véritable don pour transformer en sombre daube tout ce qu’elle touche – y compris la campagne des socialistes en 2022 qu’elle a dirigée, avec 1.78% des voix à l’arrivée.
Cette fois, suite à la grève des éboueurs, le retour à la normale est interminablement long à Nantes, de quoi énerver riverains et commerçants qui comptent les rats et essaient de nettoyer comme ils le peuvent – Breizh Info leur donne la parole.
Un commerçant remarque, “pour ma part, j’ai ramené mes nasses à rat de la campagne, tous les soirs ou presque je vais noyer un rat ou deux dans l’Erdre, c’est dire. Et ils sont de bonne taille, on devrait lancer un élevage municipal, on pourrait appeler ça les rattus nantus johannicus – ça serait toujours une meilleure façon pour Johanna de marquer l’Histoire qu’avec les 1.78% de la campagne de son amie Hidalgo l’an dernier ! ».
Les éboueurs cravachent pour rattraper le retard. Mais du fait du stock accumulé dans les rues, autour des bennes, puis chez les gens, un camion-benne vide actuellement deux rues au lieu d’une vingtaine, et un camion-grue ne relève que dix à quinze colonnes, et les éboueurs passent du temps à récupérer tous les sacs – voire les régiments de bouteilles au garde à vous – alignés autour. Plus de 4000 à 6000 T se sont accumulées pendant la grève – en plus des 3000 T collectées habituellement dans la métropole en une semaine. La panne d’un four d’une usine d’incinération de déchets et un nouveau blocage d’un site ont aussi participé à perturber le ramassage.
Le 14 avril dernier, l’opposition En Marche a critiqué vertement la mairie : « les rats pullulent et les odeurs sont immondes. En tout c’est presque 4000 T de poubelles, de déchets, qui se sont accmulés sur les trottoirs et dans la rue. C’est la conséquence des grèves que vous soutenez et des blocages illégaux [notamment de sites d’incinération] que vous ne dénoncez pas ».
Une démarche qui suscite l’ironie dans les rues de Nantes. « Tous les soirs, je file un ou deux sacs à mes employés qui habitent hors de l’agglomération, c’est ça où ils bossent avec l’odeur des sacs qui s’empilent dans la réserve, les gugusses de l’opposition, ils se sont bougés pour nettoyer au moins un peu, ne serait-ce qu’une benne ou deux ? », ironise un restaurateur de l’hyper-centre.
Pour cet habitant du Bouffay, « municipalité, opposition, éboueurs, il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. La première est complètement dépassée comme d’habitude, donc elle fait l’autruche en accusant le gouvernement, la seconde arrive après la bataille, enfonce toutes les portes ouvertes au bélier et brasse du vent – on devrait les brancher au réseau électrique, des vraies éoliennes, ces girouettes ! Et les éboueurs ont fait une grève inutile, perdu du pognon en pure perte, galèrent pour rattraper les dégâts…sauf que la réforme est passée et que les déchets sont toujours là».
La viande est-elle trop bon marché ? En pleine inflation, la question peut paraître provocante. Pourtant, plusieurs études scientifiques affirment que le coût social et environnemental des produits carnés est nettement sous-évalué. Ces derniers jours, la Cour des comptes européenne (CCE) a mis le sujet sur la table en faisant une proposition inédite : intégrer le coût de la souffrance animale dans le prix du transport et, in fine, dans le prix de la viande.