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  • C’est à l’Algérie de rembourser la France

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2025

    synthesenationale

    Centenaire de l'Algérie française (1830-1930) — Wikipédia

    Bernard Lugan - Article paru sur le site du Nouveau Présentcliquez ici.

    Le gouvernement algérien ose demander à la France une réévaluation de la valeur locative de ses emprises diplomatiques en Algérie et le remboursement de loyers prétendument « sous-payés », alors qu’il s’agit de bâtiments construits par la France avec l’argent des Français sur des terrains qui appartenaient à la France avant 1962…

    Sans parler des centaines de milliers d’immeubles, d’appartements, de villas, de fermes, de commerces, d’entreprises, de véhicules et de machines volés aux Français lors de l’indépendance de 1962.

    Sous la France, 1 lit d’hôpital pour 300 habitants !

    Sans parler non plus de l’héritage exceptionnel que la France légua à l’Algérie en 1962, à savoir 54 000 kilomètres de routes et pistes (80 000 avec les pistes sahariennes), 31 routes nationales dont près de 9000 kilomètres étaient goudronnés, 4300 km de voies ferrées, 4 ports équipés aux normes internationales, 23 ports aménagés (dont 10 accessibles aux grands cargos et dont 5 qui pouvaient être desservis par des paquebots), 34 phares maritimes, une douzaine d’aérodromes principaux, des centaines d’ouvrages d’art (ponts, tunnels, viaducs, barrages etc.), des milliers de bâtiments administratifs, de casernes, de bâtiments officiels, 31 centrales hydroélectriques ou thermiques, une centaine d’industries importantes dans les secteurs de la construction, de la métallurgie, de la cimenterie etc., des milliers d’écoles, d’instituts de formations, de lycées, d’universités avec 800 000 enfants scolarisés dans 17 000 classes ( soit autant d’instituteurs, dont deux-tiers de Français), un hôpital universitaire de 2000 lits à Alger, trois grands hôpitaux de chefs-lieux à Alger, Oran et Constantine, 14 hôpitaux spécialisés et 112 hôpitaux polyvalents, soit le chiffre exceptionnel d’un lit pour 300 habitants. Sans parler d’une agriculture florissante laissée en jachère après l’indépendance, à telle enseigne qu’aujourd’hui l’Algérie doit importer du concentré de tomates, des pois chiches et de la semoule pour le couscous…

    Tout ce que la France légua à l’Algérie avait été construit à partir du néant, dans un pays qui n’avait jamais existé et dont même son nom lui fut donné par la France. Tout avait été payé par les impôts des Français. En 1959, toutes dépenses confondues, l’Algérie engloutissait 20% du budget de l’Etat français, soit davantage que les budgets additionnés de l’Education nationale, des Travaux publics, des Transports, de la Reconstruction et du Logement, de l’Industrie et du Commerce !

    La seule réponse à l’arrogance des dirigeants algériens serait donc de leur présenter la note… 

  • Injustice républicaine

    Publié par Guy Jovelin le 11 août 2025

    Un français brûle le coran : prison ferme. Un marocain insulte la mémoire de nos ancêtres : sursis. L'(in)justice républicaine, vous en pensez quoi ?

     

    Source : lafautearousseau

  • C’était un 10 août… 1792 : naissance de la République dans un massacre

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2025

    Depuis la fuite de Varennes, le roi Louis XVI et sa famille sont assignés à résidence au palais des Tuileries (aujourd’hui disparu), à l’ouest du Louvre.
    La tension est vive et, excitée par Danton, une foule de sans-culottes se masse aux abords du palais.

    La résidence royale est défendue par 900 gardes suisses et quelques centaines de gardes nationaux.
    Louis XVI les passe en revue. Selon l’usage, les Suisses et les gardes nationaux crient : « Vive le roi ! ». Mais les artilleurs et le bataillon de la Croix-Rouge crient de leur côté :
    « Vive la Nation ! ». Situation confuse.
    Le roi gagne là-dessus une terrasse et observe la foule des Parisiens massés. Ceux-ci l’insultent : «À bas le veto ! À bas le gros cochon !».
    Apeurés, le roi, la reine et le dauphin traversent le jardin des Tuileries et vont chercher refuge au sein de l’Assemblée.
    Devant le palais, l’émeute enfle. Une porte est malencontreusement ouverte. Un flot de sans-culottes s’y engouffre. Les gardes suisses ouvrent le feu et provoquent un reflux éperdu vers le Carrousel.
    Les émeutiers évacuent la place. Ils semblent près d’abandonner la partie.

    Mais vers dix heures, un groupe de volontaires marseillais parvient à s’introduire à l’intérieur des Tuileries. Le combat reprend de plus belle.
    Le roi griffonne un billet ordonnant aux Suisses de déposer à l’instant les armes et de se retirer dans leurs casernes. Grave erreur du trop bon Louis XVI.
    Obéissants, les gardes se replient vers la place Louis XV (l’actuelle place de la Concorde).

    Mais ils sont bientôt encerclés, capturés, conduits à l’Hôtel de Ville puis massacrés. Mêlées à la foule, les poissardes des halles se livrent à de honteuses mutilations sur les cadavres.
    Les émeutiers envahissent maintenant les Tuileries et lynchent pêle-mêle gardes, serviteurs et fidèles avant de piller le palais.
    Six cents Suisses ainsi que deux cents aristocrates et gens de maison perdent la vie en ce jour du 10 août.

    L’Assemblée législative, enhardie par le succès de l’émeute, prononce la « suspension » du roi. Elle convoque par ailleurs une Convention nationale en vue de prendre toutes mesures « pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l’égalité », et instaure pour la première fois le suffrage universel (masculin). Après une nuit de fortune, la famille royale est emmenée au donjon du Temple pour y être emprisonnée.
    La période appelée « la Terreur » allait commencer.
    Fin d’un régime millénaire qui avait construit la France mais était certes affaibli de l’intérieur.
    Naissance de la République.

     

    Source :contre-info

     

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2025

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  • Le Conseil constitutionnel contre la maîtrise de l'immigration

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2025

    synthesenationale

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    Un communiqué de Pierre-Nicolas Nups 
    Secrétaire général du Parti de la France
     
    Le Conseil constitutionnel vient de démontrer, une fois de plus, qu’il est l’un des principaux remparts du système contre toute politique de maîtrise de l’immigration et visant à favoriser notre sécurité.
     
    En censurant la loi dite « Philippine », qui visait à prolonger la durée maximale de rétention des étrangers dangereux jusqu’à 210 jours, cette institution a clairement choisi de protéger les délinquants étrangers plutôt que la sécurité des Français.
     
    Sous la présidence de l’immigrationniste acharné Richard Ferrand – lui-même poursuivi pour prise illégale d’intérêt avant que les faits ne soient prescrits – le Conseil constitutionnel se comporte en véritable verrou idéologique.
     
    Rappelons que son actuelle composition s’est faite avec l’aval de la présidente du Rassemblement National, bien peu remerciée ensuite.
     
    Il compte, parmi ses membres, non pas des magistrats professionnels mais des politiciens recyclés et des repris de justice comme Alain Juppé, condamné pour prise illégale d’intérêts.
     
    Ces profils sont à mille lieues de l’impartialité et de l’expertise juridique que nous sommes en droit d’attendre d’une telle institution.
     
    Le Parti de la France réaffirme que cette situation n’a que trop duré.
     
    Nous exigeons que la composition du Conseil constitutionnel soit limitée à de véritables juristes professionnels et confirmés, disposant d’une expérience reconnue dans l’application du droit. Par ailleurs, son avis ne devrait plus être contraignant mais uniquement consultatif, afin que la volonté du peuple, exprimée par ses représentants, ne soit plus bafouée par une poignée de notables politisés.
     
    La sécurité des Français et la maîtrise de notre souveraineté migratoire ne doivent plus être entravées par des institutions dévoyées et composées de voleurs.