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  • Orthographe française : la dernière cinglerie de foldingue de ces "pédagogistes" qui ont tué l'Enseignement :

    Publié par Guy Jovelin le 21 août 2025

    Orthographe française : la dernière cinglerie de foldingue de ces "pédagogistes" qui ont tué l'Enseignement :

    le CSEN veut supprimer l'accord du participe passé avec avoir, arguant du fait que seuls 20% des élèves le maîtrisent. Logique de fodingue imparable ! C'est difficile, DONC on supprime  Prochaine étape : supprimons les mathématiques, car les fractions, c'est compliqué. supprimons les Grandes écoles, car Polytechnique, Centrale c'est horriblement difficile...

    La réalité, c'est que le niveau a tragiquement chuté, là où il en reste encore un peu, et que ce sont cinquante ans de soi-disant "pédagogisme" qui l'a tué.

    Il faut arrêter les délires, et en revenir aux fondamentaux : on va, justement, à l'école pour apprendre ce que l'on ignore, et qui est parfois difficile; et l'on travaille; et l'on fait des efforts... et c'est tout cela qui, en fin de scolarité, a été formateur.

    Et, pour en revenir à la seule question de la réforme de l'orthographe, il faut carrément la refuser et en revenir à cette sagesse et raison que l'on vient d'énoncer.

    Ce court texte du grand Jacques Bainville (tiré de notre Catégorie "Lire Jacques Bainville") remettra - comme d'habitude avec lui - l'église au centre du village :

    Lire Jacques Bainville...(XII) : Réformer l'orthographe ?....

    Image

     

    Pour illustre notre entame de cette série... :

    accord du participe passé,orthographe française

    Source : lafautearousseau

  •  « C’est bien, vous les Brésiliens, vous vous adaptez bien et en plus de ça vous êtes chrétiens. » 

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2025

     « C’est bien, vous les Brésiliens, vous vous adaptez bien et en plus de ça vous êtes chrétiens. » 

    Il parait que cette phrase est raciste.

    Waldemar Kita, président du FCN, remettait, en marge de la rencontre entre le PSG et Nantes, un trophée à Marquinhos en l’honneur de la victoire des Parisiens en Ligue des Champions. Il lui a dit :

    « C’est bien, vous les Brésiliens, vous vous adaptez bien et en plus de ça vous êtes chrétiens. »

    Cette séquence a été vite supprimée.

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron : mégalomane bouffi d'orgueil.

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2025

    En pleines négociations de paix pour mettre fin au sanglant conflit en Ukraine, voici ce que notre taré de Président vient de déclarer : « Poutine est un prédateur, un ogre à nos portes qui doit continuer de manger pour survivre. »
    Ce mégalomane bouffi d'orgueil, en plus de faire honte à la France, est prêt à mettre en danger des populations entières pour assouvir ses délires idéologiques et sa soif de reconnaissance internationale.
    Il faudra bien que Macron réponde de tout cela un jour ou l'autre.
  • Pour un bien commun enraciné : reconquérir notre peuple, notre terre, notre foi

    Publié par Guy Jovelin le 17 août 2025

    synthesenationale

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    Julien Dir, Breizh info cliquez ici

    On nous parle sans cesse de “vivre ensemble”. Ce slogan, cette formule anesthésiante, c’est le cataplasme que le Système applique sur la plaie béante de notre civilisation. Derrière cette expression, il n’y a pas de fraternité réelle, pas d’amour véritable. Il y a la gestion froide et administrative d’un enchevêtrement de communautés qui ne se connaissent pas, ne se comprennent pas, et qui, trop souvent, se méfient les unes des autres. C’est l’anti-bien commun.

    Le vrai bien commun, celui qui élève et soude, ne naît pas d’un slogan publicitaire financé par Bruxelles ou par un ministère de la “Cohésion sociale”. Le bien commun naît du sol, des pierres, des croix plantées à la croisée des chemins. Il naît de la mémoire d’un peuple, de ses morts, de ses prières, de son sang versé pour que la maison tienne debout.

    Redonner le goût de vivre à notre jeunesse

    Regardez notre jeunesse : on lui vole ses racines, on lui détruit ses repères, on lui inculque la honte de son identité. On lui promet un avenir de “transition permanente” et de “crises inéluctables”, du climat à l’économie, en passant par la peur fabriquée de sa propre disparition. Alors elle se replie, elle se drogue, elle s’abrutit, elle fuit dans les écrans. Elle ne croit plus en rien.

    Le bien commun, c’est le contraire : c’est donner envie de vivre. C’est donner envie d’aimer, de fonder une famille, de transmettre un nom, une terre, un héritage. C’est rappeler à un jeune Breton que sa patrie, ce ne sont pas seulement des frontières sur une carte, mais un enchevêtrement d’églises romanes, de chapelles, de calvaires, de ports, de villages et de campagnes qui portent encore l’empreinte des siens.

    Foi, civilisation et fraternité réelle

    On ne bâtira rien de solide sans renouer avec notre foi, qu’elle soit pleinement catholique ou inscrite dans une spiritualité héritée de nos pères. Sans la transcendance, sans le regard tourné vers plus grand que nous, le matérialisme vide nos âmes et laisse la place aux marchands de rêves artificiels et aux politiciens cyniques.

    Le bien commun, c’est retrouver confiance en nous, en notre civilisation, et arrêter de courber l’échine devant ceux qui nous méprisent. C’est se serrer les coudes avec nos voisins, nos amis, notre famille, et préférer la compagnie de ceux qui partagent notre histoire, nos coutumes, notre langue, plutôt que de s’extasier devant l’effacement de tout ce qui nous définit.

    Conquérir, protéger, transmettre

    Le bien commun ne se quémande pas, il se conquiert. Il exige du courage, de la volonté et, parfois, du sacrifice. Cela veut dire protéger nos terres, nos métiers, nos traditions, notre sécurité. Cela veut dire refuser la dilution de notre peuple dans un grand magma mondialisé où plus rien n’a de sens. Cela veut dire transmettre à nos enfants non pas un pays épuisé, fracturé, honteux de lui-même, mais une patrie fière, sûre de sa place dans l’Histoire et prête à y rester.

    La Bretagne, comme toute l’Europe, ne retrouvera pas le sourire avec les slogans creux des communicants du régime. Elle le retrouvera le jour où ses clochers sonneront pour annoncer non pas la reddition, mais la renaissance.

    Le bien commun, ce n’est pas “vivre ensemble” avec n’importe qui, dans n’importe quelles conditions. C’est vivre debout, ensemble, enracinés dans notre terre et dans notre foi, unis par le sang, la culture et l’espérance.

  • VIVE LE NUCLÉAIRE !

    Publié par Guy Jovelin le 17 août 2025

     lafautearousseau

     Benoit Martin a raison :

    "Une seule tempête de grêle à Damon, au Texas, détruit des milliers d'hectares de panneaux solaires. Imaginez les dégâts au sol, l'impossible nettoyage, le désastre environnemental."

    (extrait vidéo 1'01)

    https://x.com/benoitm_mtl/status/1956378648790827383

    https://www.revolution-energetique.com/actus/une-centrale-solaire-de-400-hectares-aneantie-par-la-grele-au-texas/

     

    VIVE LE NUCLÉAIRE !