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Le Parti de la France - Page 104

  • Éloge du patriarcat

    Publié par Guy Jovelin le 27 décembre 2024

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    Éloge du patriarcat
    Dans notre époque agitée par les revendications incessantes, les féministes les plus en vue se dressent avec une violence rhétorique sidérante pour dénoncer un patriarcat qu’elles considèrent comme le mal absolu. Ce concept, érigé en bouc émissaire universel, leur sert à masquer un discours souvent empreint de misandrie, plus soucieux de fracturer que de construire. La réalité est qu’à force de vouloir effacer toute trace d’une prétendue domination masculine, ces militantes en viennent à nier l’Histoire, les fondements culturels et même la nature des rapports humains. Plutôt que de chercher à établir une harmonie entre les sexes, elles se complaisent dans un ressentiment chronique, oubliant que la guerre des genres n’a jamais fait progresser une société. La caricature du patriarcat qu’elles brandissent comme un épouvantail ne résiste pourtant pas à une analyse honnête et dénuée d’idéologie.
    Car le patriarcat, loin d’être cette chimère oppressante, représente un socle éminemment structurant pour notre civilisation. Il a permis de créer un cadre stable où les sociétés ont pu prospérer, où l’ordre et la continuité des lignées ont été assurés. En privilégiant la responsabilité masculine – celle d’être le protecteur et le pourvoyeur –, le patriarcat a instauré une organisation qui, loin de marginaliser les femmes, leur a offert des espaces où elles pouvaient s’épanouir et participer à la construction d’un bien commun. Ce modèle a été le terreau fertile sur lequel les grandes civilisations ont bâti leurs temples, rédigé leurs lois et exploré de nouveaux horizons. Il a permis l’émergence de valeurs telles que le courage, la loyauté et le sens du devoir, qui ont forgé des sociétés résilientes et visionnaires.
    Aujourd’hui, dans un monde en quête de repères, le reniement du patriarcat s’accompagne d’une érosion des valeurs masculines fondamentales. La virilité, si souvent décriée, est pourtant un pilier essentiel de la construction individuelle et collective. La force, la responsabilité et la protection ne sont pas des reliques d’un passé archaïque, mais les bases sur lesquelles se bâtit un avenir solide et harmonieux. C’est en renouant avec ces principes que notre société pourra retrouver un équilibre, où hommes et femmes, chacun dans leur complémentarité, contribueront ensemble à une civilisation renouvelée. Le retour au patriarcat, loin d’être un recul, représente une voie vers une renaissance culturelle et morale nécessaire.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • "Ne jetez plus, recyclez !"

    Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2024

     Pour les cadeaux de Noël, les magasins de bricolage ont fait le plein avec leur slogan bien trouvé : "Ne jetez plus, recyclez !"

    Résultat : on n'a jamais fait autant de vieux avec du vieux !!!!!

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    Source : lafautearousseau

  • Mayotte, une terre étrangère à l’identité française

    Publié par Guy Jovelin le 23 décembre 2024

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    Mayotte est devenue française dans des conditions qui relèvent davantage de l’idéalisme postcolonial que d’une réflexion rationnelle. En 1974, lors d’un référendum sur l’indépendance des Comores, seule Mayotte choisit de rester française, isolée dans un archipel aspirant à l’autodétermination. En 2011, par une décision aux conséquences dévastatrices, Mayotte devient le 101ᵉ département français. Cette évolution administrative, loin d’être anodine, a entraîné des conséquences dramatiques pour la France métropolitaine.
    Mayotte, une terre étrangère à l’identité française
    Mayotte n’est pas la France. Ses habitants, majoritairement africains musulmans, ne partagent ni notre langue ni nos valeurs. Selon l’Insee, en 2022, seulement 55 % de la population parle - mal - le français, la majorité utilisant le shimaoré ou le kibushi. Leur mode de vie repose sur des coutumes souvent éloignées du mode de vie français, comme le droit coutumier et la polygamie. Peut-on raisonnablement intégrer une société aussi éloignée culturellement, historiquement et religieusement de l’Hexagone ? Mayotte, en vérité, n’a jamais rejoint la Nation française dans son âme.
    Mayotte, une porte ouverte à l’immigration illégale
    Mayotte est devenue le symbole du chaos migratoire qui gangrène la France. Chaque année, des milliers de clandestins débarquent des Comores et de toute l'Afrique. Selon le ministère de l’Intérieur, près de 50 % de la population mahoraise est étrangère, majoritairement en situation irrégulière. La densité démographique, une des plus élevées de France, est le fruit de cette pression migratoire insoutenable. Mayotte, en définitive, n’est qu’une brèche béante par laquelle s’infiltre une immigration incontrôlée qui coûte un pognon de dingue à notre pays et déstabilise profondément le territoire.
    Mayotte, un gouffre économique pour la métropole
    Mayotte est un fardeau financier sans retour sur investissement. Le PIB par habitant y est six fois inférieur à celui de la métropole et 77 % des Mahorais vivent sous le seuil de pauvreté. En 2022, l’État a transféré plus de 1,1 milliard d’euros pour couvrir les besoins sociaux et administratifs de l’île, une somme colossale qui aurait pu être investie dans des territoires métropolitains en difficulté. À cela s’ajoute l’absence totale de ressources naturelles ou économiques : Mayotte ne produit rien et vit aux crochets de la métropole.
    Toutefois, en conservant les îlots inhabités de l’archipel et en maintenant notre présence à La Réunion, nous protégerions nos droits maritimes stratégiques dans la région sans avoir à supporter le poids de Mayotte.
    Un référendum pour rendre Mayotte aux Comores
    L’annexion de Mayotte a été imposée aux Français sans jamais leur demander leur avis. Pourtant, c’est la métropole qui paye le prix de cette absurdité historique. Il est temps d’organiser un référendum national pour trancher cette question. Les Français doivent pouvoir décider démocratiquement si Mayotte doit rester un département français ou être restituée aux Comores. Un tel choix, loin d’être une abdication, serait une réaffirmation de notre volonté de recentrer l’action de l’État sur l’essentiel : la défense de notre identité, de notre sécurité et de nos intérêts.
    Mayotte n’a jamais été et ne sera jamais véritablement française. Ce territoire, étranger à nos coutumes et ruineux pour nos finances, doit retrouver son destin naturel auprès des Comores. En s’en libérant, la France ferait preuve de lucidité et d’une volonté de retrouver sa souveraineté sur des bases solides et cohérentes.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France