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Alerte dans le Pacifique et l'Océan Indien : nos ennemis "veulent" la Nouvelle Calédonie et Mayotte : ils s'appellent Chine, Azerbaïdjan (mais oui ! les "nazéris" !), Comores, Russie...
La France n'a que deux solutions : où elle défend ses territoires, ou autant vaut les "larguer" tout de suite, ce que nous refusons absolument, évidemment !
Quant aux populations de ces deux provinces ultra marines, qu'elles réfléchissent bien : la France, incontestablement, c'est très largement mieux que la Chine, ou les Comores ou la Russie... C'est en France - et avec la France - que l'herbe est la plus verte : l'imaginer plus verte ailleurs, avec des Chinois ou autres, cela ne ferait que promettre des lendemains qui déchanteraient fort...
Allez demander aux Algériens qui manifestent un peu partout contre la présence chinoise, par exemple sur les quais du port d'Alger...
"De Mayotte à la Nouvelle-Calédonie, les Outre-mer sont devenus la cible d’opérations d’ingérences ou de déstabilisation. La Russie, la Chine, l’Azerbaïdjan et les Comores sont parmi les plus actifs." (France info)
• deux porte avions, en remplacement du Charles de Gaulle, car l'un sera forcément "asservi" au Pacifique, ou alors la France n'a qu'à renoncer tout de suite à la Nouvelle Calédonie et à Mayotte, et les céder aux Chinois et aux Russes...
• et un budget militaire à 4% du PIB (ce qui ne fera que nous ramener à notre niveau de 1960 (encore le vrai chiffre serait-il de 4,,5%...)
Au mois de mars, Jeanne et Amélie, étudiantes à Toulouse, ont été surprises par une équipe de policiers, alors qu’elles étaient en train en train de coller un message contre l’avortement.
Elles ont été convoqués il y a 3 semaines et ont été auditionnées au commissariat. La mairie a porté plainte. Et elles doivent participer à une session de formation citoyenne afin de se réformer aux idées de la république…
Deux nuits plus tard, leur message a été recouvert par les militants pro avortement, qui eux n’ont évidemment pas connu le même sort.
Venant d’apprendre par la lecture du Salon Beige la condamnation à un stage de formation citoyenne de ces deux étudiantes toulousaines, l’association s’insurge contre des méthodes de lavage de cerveau dignes du Goulag et bien incompatibles avec ce qu’il reste de dits droits de l’homme dans notre pays. Si le fait de coller des affiches pro-vie expose à une condamnation c’est l’ensemble des manifestants des Marche pour la Vie qui pourrait être raflé. Dictature, dictature quand tu nous tiens.
Elle a vécu de longues minutes d’horreur, seule à seule, avec un prédateur. Une lycéenne de 16 ans a été victime d’une violente agression, lundi, en fin de journée. L’adolescente venait de terminer sa journée de cours et patientait à un arrêt de bus lorsqu’elle a été abordée par un homme.
Ce dernier a prétexté vouloir passer un appel afin qu’elle lui prête son téléphone. La jeune fille ne s’est pas méfiée. Rapidement, l’agresseur a sorti un couteau et s’est mis à menacer la lycéenne.
Il l’aurait contrainte à le suivre jusqu’à une voiture stationnée un peu plus loin et à monter dedans. Il l’a installée à l’arrière, l’a entravée avec la ceinture et un collier de serrage.
L’homme a ensuite pris le volant pour se rendre dans un lieu isolé, à l’abri des regards. Toujours muni de sa lame, il aurait contraint sa victime à un acte sexuel. Le suspect, âgé de 26 ans, a pu être interpellé et placé en garde à vue.
Après six mois de lutte héroïque – illustrée notamment par les nombreux blessés et amputés qui ne voulaient pas quitter le front, ou par les paras volontaires qui sautaient pour rejoindre leurs camarades alors que la bataille était perdue – et une résistance acharnée, parfois à l’arme blanche, face à des troupes supérieures en nombre (dix fois plus, à un moment), en matériel et envoyant des jeunes kamikazes, étant à court de munitions et bombardée sans cesse dans l’enfer de la cuvette, l’armée française (comprenant des légionnaires, des paras, des troupes coloniales, des combattants indigènes), fautes de renforts suffisants, dut décréter le cessez-le-feu.
A l’issue de cette bataille, 12 000 combattants de l’Union française furent faits prisonniers. Seuls 3 290 seront rendus aux autorités françaises… En quelques mois, les deux tiers des 12 000 captifs du Viêt-Minh moururent des mauvais traitements…
C’est toute une chevalerie massacrée vainement, et les coupables (secrétaires d’État, président du Conseil…) se lavaient déjà les mains du désastre dont ils étaient responsables. Trahissant le pays qui l’hébergeait, le politicien socialiste, apatride et franc-maçon Pierre Mendès France a joué un rôle important dans l’abandon de l’Indochine et de ses habitants. Militant de la destruction de l’Empire français et des départements français d’Algérie, il « négociera » avec le Viet-Minh à Genève, de concert avec l’URSS, les accords qui chasseront définitivement la France de la péninsule asiatique, où il faisait si bon vivre, la livrant à la barbarie communiste. Pierre Mendès « France » ne se préoccupa ensuite nullement, bien que président du Conseil, des milliers de Français prisonniers du Viet-Minh dans des conditions atroces.
Près d’un million de Viet-Namiens du Tonkin fuirent en désordre vers le Sud pour échapper au marxisme dont ils avaient déjà pu faire l’expérience.
La guerre d’Indochine fut aussi une lutte idéologique contre l’ennemi intérieur qu’est le communisme, qui, représenté à l’époque par le PC«F», collaborait ardemment avec le Viêt-Minh et s’est rendu responsable de la mort de nombreux soldats français : soutien à l’ennemi, organisation de grèves, déclenchement d’émeutes, sabotage du matériel militaire français dans les usines (par exemple grenades sabotées pour qu’elles explosent entre les mains des soldats français), envoi d’informations aux assaillants, diffusion de rumeurs destinées à saper le moral des troupes assiégées, comité pour accueillir les soldats de retour en métropole sous les injures… le PCF a fait de ce qu’il appelait la « sale guerre », sa propre guerre contre ses propres compatriotes. Quelle que soit l’époque, quel que soit le lieu, le véritable ennemi des peuples est toujours à l’intérieur.