Publié par Guy de Laferrière le 21 septembre 2024
D'AcideLeRevenant, sur "X" :
GJN1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Publié par Guy de Laferrière le 21 septembre 2024
D'AcideLeRevenant, sur "X" :
Publié par Guy de Laferrière le 21 septembre 2024
En Géorgie, une loi limitant la propagande arc-en-ciel, vient d’être approuvée. La législation, adoptée mardi par le Parlement géorgien et soutenue par le parti au pouvoir, le Rêve géorgien, vise à protéger les « valeurs familiales ».
Le parlement géorgien a adopté la loi sur « les valeurs familiales et la protection des mineurs » qui limite la propagande lgbtqi+
Le 17 septembre dernier, le parlement géorgien, en troisième et dernière lecture, a adopté la loi sur « les valeurs familiales et la protection des mineurs » qui interdit la « propagande LGBTI, les opérations de changement de sexe, et réitère l’interdiction existante du mariage des duos d’invertis et l’adoption de mineurs par ces derniers.
La loi fournit une base juridique aux autorités pour interdire les événements tels la Gay Pride et les expositions publiques du drapeau arc-en-ciel LGBT, la représentation des relations homosexuelles dans les médias et dans les écoles, et pour permettre la censure des films et des livres fortement marqués par l’idéologie homosexualiste.
Les dirigeants du parti au pouvoir, le Rêve Géorgien, estiment que cette mesure est nécessaire pour préserver les normes morales traditionnelles en Géorgie, où l’Église orthodoxe, profondément conservatrice, est très influente.
L’Union Européenne crie à la stigmatisation des « personnes LGBT+ »
Lors d’un vote boycotté par l’opposition, les députés du parti au pouvoir, le Rêve géorgien, ont voté par 84 voix sur 150 députés en faveur de la loi, qui, selon Bruxelles, porte atteinte aux droits fondamentaux des Géorgiens et à la voie européenne de Tbilissi.
Les partis d’opposition sont pourtant divisés sur la question et tentent d’éviter de perdre des voix potentielles auprès des électeurs conservateurs. Ils ne déclarent pas ouvertement que l’initiative est « antidémocratique », mais plutôt « inopportune ». Ils ont accusé le gouvernement de prendre ses distances avec l’Occident en se rapprochant des positions conservatrices et « homophobes » de la Russie.
Du côté des gay-friendly Union Européenne et organisations de défense des droits de l’homme, sans étonnement, cette mesure a été critiquée. Ces structures très idéologisées affirment que la loi géorgienne entraverait les droits fondamentaux des personnes LGBT+ et augmenterait la stigmatisation. Et Bruxelles menace la Géorgie de ne pas la laisser entrer au sein de l’Union Européenne.
Il faut maintenant que la Présidente Salomé Zourabichvili, en désaccord avec le parti au pouvoir, le Rêve géorgien, promulgue la loi. Elle pourrait s’y opposer, bien que le peuple géorgien dans sa large majorité soutienne la loi. Mais ainsi va la « démocratie » dans les pays occidentaux : les citoyens ne sont écoutés que quand ils vont dans le sens de la pensée unique actuelle, homosexualiste et arc-en-ciel.
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
Publié par Guy de Laferrière le 20 septembre 2024
Publié par Guy de Laferrière le 19 septembre 2024
On ne sait plus quel(s) terme(s) employer, tant l'odieux le dispute au ridicule...
Pendant que les Français souffrent (augmentation des pauvretés, "mal logement", précarité...); que la France vit dans l'insécurité permanente (bientôt, ce sera un assassinat par jour, à ce rythme-là...); qu'elle ne cesse de reculer, au plan mondial, dans quasiment tous les domaines... la classe politique fait mu-muse : La France Islamiste, pour faire oublier que la guerre civile a commencé en son sein) lance une grotesque procédure de destitution du semble-président; le PS accepte et "vote pour" qu'on la présente mais déclare qu'il ne la votera pas ! Mais de qui se moquent-ils, ces "bien nourris" du Pays légal ? Avec leurs très confortables salaires assurés à la fin du mois, et tous les très confortables avantages qui vont avec, alors que - pour de plus en plus de Français - les difficultés matérielles continuent d'augmenter, inexorablement...
Eh, bien ! De nous ! Oui, ces bouffons du Pays légal se moquent de nous, des Français, de la France !
Publié par Guy de Laferrière le 19 septembre 2024
Louis de Bourbon, duc d’Anjou, rend hommage à Louis XVIII sur “Boulevard Voltaire” :
Voilà 200 ans que s’éteignit le roi Louis XVIII, dernier souverain de France à être mort sur son trône. Le parcours de ce monarque, bien que très largement méconnu, mérite pourtant qu’on s’y attarde. En effet, pour moi, comme pour les Français et notamment leurs dirigeants, il peut être une figure exemplaire et positive. Alors que son avènement, en 1795, s’est fait dans les humiliations et les affres de l’exil, il n’a jamais renoncé ni à ses devoirs ni à ses droits. En 1814, accédant au pouvoir, conscient de la charge qui lui incombait, il fit tout ce qui lui était possible pour ramener l’ordre et la justice dans un pays en proie aux dérives les plus sanglantes et aux aventures militaires les plus périlleuses, bien que celles-ci fussent auréolées d’une gloire certaine. En effet, rarement notre patrie ne fut si proche d’un démembrement pur et simple au sortir des guerres napoléoniennes. Vingt-cinq ans d’errement avaient mis la France à genoux, saignée à blanc par des guerres intérieures et extérieures continues. Lorsque Louis XVIII accéda à la réalité du pouvoir, il put reprendre consciencieusement le travail multiséculaire des Bourbons : redonner à la France une place dans le concert européen grâce à une diplomatie audacieuse, œuvrer au maintien de la paix sur le continent et, enfin, ramener la concorde et l’unité dans un pays déchiré. Ainsi, la figure royale allait à nouveau s’imposer comme un vecteur de paix sociale, d’harmonie européenne, en adaptant la monarchie aux exigences du temps, comme cela se fit depuis les origines capétiennes. Avec Louis XVIII, et plus que jamais dans l’Histoire de France, le roi a alors parfaitement incarné sa fonction de père pour nombre de Français qui n’aspiraient qu’au repos et à la prospérité.
Comment ne pas se référer, aujourd’hui, à une telle figure alors que l’aura de la France décline à l’international dans un contexte général de réarmement et de multiplication des conflits, notamment aux marges de l’Europe ? Où est passée la légendaire force diplomatique française ? Quel diplomate aura l’envergure de Talleyrand pour rendre à la France une crédibilité face à nos partenaires et nos adversaires ? Gouverner implique de s’entourer d’un personnel compétent, capable d’assurer à la France sa destinée de nation si particulière aux yeux du monde. De la même manière, le souci du vieux monarque pour la paix et l’unité de son pays ne peut que nous faire réfléchir sur la nécessité de trouver la force de la justice mais aussi du compromis pour ramener l’ordre et la prospérité dans un pays fatigué par des divisions délétères.
Autant de points dont les actuels gouvernants pourraient s’inspirer pour redonner un souffle vital à la France. Autant de points qu’il est juste de mettre au crédit de Louis XVIII qui, par là même, marcha dans les pas d’Henri IV, roi si cher à la mémoire des Français. Ce bicentenaire, au-delà des commémorations, doit nous faire comprendre que le passé peut être un flambeau qui éclaire notre marche du temps présent, résolument tournée vers l’avenir. Ce règne nous invite à ne jamais étouffer les nombreuses espérances qui sommeillent dans nos cœurs à tous. Une ferme détermination, l’expérience des erreurs et des malheurs du temps et, enfin, le souci de la France et des Français au-delà de nos personnes sont des ingrédients nécessaires pour rebâtir patiemment notre pays et lui redonner la place qu’il n’aurait jamais dû quitter. Puissent les règnes des rois qui ont fait la France toujours nous servir de modèle et d’inspiration.
Source : lesalonbeige