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Le Parti de la France - Page 1078

  • L’état civil rejette le prénom occitan de sa fille

    Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2022

    TEMOIGNAGE. "L'état civil français rejette le prénom occitan de ma fille, alors que la Belgique l'accepte..."

    Julien, un Béarnais, et sa compagne, se voient refuser par l’état civil français le prénom occitan qu’ils ont donné à leur petite fille, née en mars dernier. De son côté, la Belgique, où vit le couple, l’a accepté sans problème.

    “Le 11 mars, après quatre ans de relation, nous avons eu la joie d’accueillir au sein de notre foyer notre premier enfant”, nous raconte Julien, un jeune homme originaire de Pau. Sa compagne est belge et le couple vit en Belgique. “Très attaché à la langue et la culture occitane, poursuit-il, il était important pour moi que notre petite fille porte un prénom originaire de chez moi”, explique le Béarnais. “Après des semaines de recherches et de discussions, nous avons donc décidé de l’appeler Lilòia (se prononce ‘Liloye’)”.

    Cependant, quelques jours avant la naissance de la petite fille, un ami du couple devient lui aussi papa. Il les prévient que l’état civil français a refusé le prénom Antòn, qu’il souhaitait donner à son fils, au motif que le “ò” ne fait pas partie de l’alphabet de la langue française traditionnelle. Julien et sa femme se doutent alors que les choses ne vont pas être simples…

    (…)

    www.ladepeche.fr via fdesouche

  • Toulouse : des policiers évitent à une adolescente de se retrouver séquestrée dans un squat par un migrant “mineur non accompagné”

    Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2022

    Toulouse : des policiers évitent à une adolescente de se retrouver séquestrée dans un squat

    Un mineur non accompagné a tenté de faire pénétrer de force une adolescente de 17 ans dans un squat malfamé près de la gare de Toulouse. Elle a été tirée de ce mauvais pas par l’intervention d’une équipe de nuit de la brigade canine.

    Une adolescente doit une fière chandelle aux policiers toulousains. On ne sait quel aurait été le sort de cette jeune fille si les fonctionnaires n’étaient pas intervenus pour la sortir d’un très mauvais pas

    .

    Les faits remontent au 24 mars. Il est minuit passé de quelques minutes, L’ado en question se trouve à proximité de la sortie de métro Marengo dans le quartier de la gare. Un jeune homme s’approche d’elle et commence à lui parler. Comme elle refuse de lui dire «bonjour», il lui vole sa casquette et s’enfuit en courant direction l’avenue de Lyon. Avec un ami, la jeune femme court après le voleur afin de récupérer son bien. Lorsqu’elle arrive à hauteur du voleur, il l’empoigne et tente de la faire pénétrer de force dans un squat particulièrement malfamé. (…)

    www.ladepeche.fr via fdesouche

  • La millionnaire Anne Sinclair veut « quoi qu’il en coûte » couper le gaz des Français pour punir Poutine

    Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2022

    Dans ce « quoi qu’il en coûte » il y a des millions de Français et d’Européens qui n’auront plus de quoi se chauffer, des millions d’emplois qui disparaîtront, des millions de nouveaux pauvres qui perdront leurs maisons, leurs économies et subiront les dommages collatéraux de la misère, l’alcool, la drogue, les divorces, suicides… Mme Sinclair ne se pose évidemment pas la question de son bien-être avec une fortune estimée 200 millions de dollars. L’héritière d’une grande lignée de marchands d’art peut voguer où bon lui semble, avec ou sans gaz. Madame aura toujours le cul au chaud dans ses différentes demeures à travers le monde contrairement aux petites gens qui fouillent déjà au fond de leur poche pour payer l’essence qui les emmènera au travail.

    Mais nous pouvons trouver des compromis. Est-ce que la rédactrice en chef du HuffingtonPost est décidée, « quoi qu’il en coûte », d’échanger ses tableaux de maîtres (Picasso, Renoir, Degas, Seurat) contre du gaz de schiste américain pour chauffer les Français ? Ce serait un beau geste de sa part.

    Le Média en 4-4-2

  • La Légion étrangère française est complètement vaincue à Marioupol

    Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2022

    Des mercenaires de la Légion étrangère française arrivés sur le territoire de l’Ukraine et qui tentaient de s’opposer aux unités russes et aux forces de la RPD ont été détruits juste à la périphérie de Marioupol. En témoignent les objets des membres de la Légion étrangère française découverts, des documents et autres objets personnels, indiquant que les mercenaires ont subi une défaite écrasante.

    « Après que les néo-nazis d’Azov (interdits en Russie – ndlr) aient été expulsés de l’aéroport de Marioupol, à proximité duquel les militants ont abandonné toutes leurs bases et leurs équipements, des mercenaires se sont très probablement repliés avec eux vers le port de la ville, « Légion étrangère », dont les effets personnels ont été retrouvés par les combattants de la RPD », rapporte le projet VarGonzo.

    Le nombre de membres de la Légion étrangère française liquidés à Marioupol reste inconnu.

    source : Avia-pro

  • Wall Street Journal : Zelensky refusa un accord offert par l’Allemagne avant la guerre qui aurait préservé la paix

    Publié par Guy Jovelin le 06 avril 2022

    Pendant que la bien-pensance tourne son regard vertueux vers le « massacre » de Boutcha abusivement associé aux Russes avant tout enquête sérieuse, d’autres informations d’importance émergent au milieu de toute cette propagande de guerre. Il en est une particulièrement qui éclaire le jeu dangereux de Zelensky, et sa responsabilité dans l’invasion actuelle que subit son pays.

    La persécution des minorités ethniques dans le Dombass est une des raisons invoquée par Poutine lors du lancement de l’opération spéciale de l’armée russe en Ukraine. L’expansion de l’OTAN à l’Est en est une autre.

    Or la chancellerie allemande était consciente depuis longtemps que cet élargissement du Traité atlantique vers les frontières russes par l’adhésion de l’Ukraine pouvait générer un conflit ouvert avec la Russie. D’où son opposition à l’entrée de l’Ukraine ce qui généra des désaccords entre Kiev et Berlin dès 2008.

    Pour Zelensky, toujours prompt à se poser en accusateur, la « politique d’échec » de Frau Merkel a été la graine qui a conduit au massacre de Boutcha. L’ancienne chancelière a répondu hier lundi 4 avril aux critiques en assumant « ses décisions du sommet de l’Otan de 2008 à Bucarest » et ravive les désaccords entre les deux pays. L’un dépendant du gaz de Moscou, l’autre en guerre avec Poutine depuis 2014.

    C’est pourquoi le rejet d’un accord destiné à rassurer Poutine, révélé par le Wall Street Journal, que Zelensky aurait présenté à Scholz cinq jours avant l’invasion russe de l’Ukraine n’est pas surprenant.

    L’opération militaire spéciale de l’époque ne figurait que dans les rapports de la CIA et des services de renseignement britanniques, mais les dirigeants des pays forts de l’UE, à savoir la France et l’Allemagne, faisaient déjà des allers-retours avec la Russie pour convaincre Poutine d’éviter une confrontation ouverte. 

    Selon le journal britannique, après un premier voyage aux États-Unis et un second en Russie, Scholz a proposé à Zelensky de déclarer publiquement la renonciation de l’Ukraine à l’adhésion à l’OTAN et d’accepter la demande de neutralité de Moscou. Le 19 février pourtant, le « serviteur du peuple », l’acteur devenu président, aurait refusé sur le champ. Et ce malgré le fait que le chancelier allemand avait imaginé une neutralité garantie par un large accord sur la paix de la région européenne :

    « L’accord – écrit le WSJ – aurait été signé par Poutine et Biden, qui ensemble auraient garanti la sécurité de Ukraine ».

    Le « non » de Zelensky aurait été dicté par le manque de confiance en Poutine, et plus probablement par les Etats-Unis enclins à empêcher constamment tout rapprochement entre l’Europe et la Russie, voire à affaiblir le Vieux Continent, et quoi de mieux pour cela qu’une guerre sur son sol et des sanctions économiques qui font plus de mal aux pays européens qu’à la Russie. Par ailleurs, le président ukrainien semble avoir été convaincu que « la majorité des Ukrainiens étaient favorables à l’adhésion à l’OTAN ». « Sa réponse a laissé les responsables allemands inquiets que les chances de paix s’estompent », écrit le WSJ. Et en effet, c’est ce qui s’est passé.

    Le 24 février, Poutine prononce un discours à la nation, lance l’opération spéciale pour protéger le Dombass, – sur lequel le gouvernement ukrainien, toujours en violation des accords de Minsk, a intensifié les bombardements depuis le 16 février et où il masse des forces armées considérables ce qui fait craindre une épuration de la population russophone (et cela explique comment Biden pouvait affirmer en février que Poutine allait entrer en Ukraine)-, « dénazifier » et « démilitariser » l’Ukraine. 

    La suite nous la connaissons. Bombes, missiles, l’avancée dans le Sud et l’Est du pays des Russes en Ukraine. Et puis les négociations, sur lesquelles il faut noter une chose : après des jours de bombardements, la Russie et l’Ukraine semblent avoir trouvé une possibilité d’accord grâce à la médiation d’Erdogan. Que prévoit-il ? Le renoncement à l’OTAN par Kiev, que Zelensky a admis en dénonçant sa « déception » face au manque de soutien aérien de l’Alliance atlantique pour créer une zone d’exclusion aérienne au-dessus de l’Ukraine. Et puis la neutralité : selon Vladimir Medinski, négociateur en chef russe, les parties se sont entendues pour renoncer à la prolifération nucléaire de Kiev, à sa neutralité non alignée, à l’interdiction des bases étrangères sur le sol national, à l’engagement de ne pas héberger de missiles offensifs et ainsi de suite. Tout cela, accompagné d’un système de « garanties de sécurité internationales » qui, en plus de la Russie, inclurait également certains pays de l’UE. 

    En pratique les mêmes conditions que l’accord proposé par Scholz, seulement après des milliers de morts.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info